Kininvie 17 ans – 1996 – Batch 001

42.6% alc./vol.

André 85%
Beau mélange de grains de céréales mielleux nappé d’un coulis de fruits rouges. Fruits séchés, pommes, céréales maltées, une touche citronnée, abricots, crème à saveur de vanille. En bouche, je suis ambivalent… Oranges, pommes, poires, agrumes, miel, fruits secs, cerises, vanille et caramel avec une légère touche épicée et poivrée. Le nez m’attirait beaucoup mais la bouche me laisse un peu froid. Finale moyenne-longue, poivre et gingembre, miel, agrumes.

Patrick 91%
Une distillerie longtemps gardée cachée, et qui produit du whisky qui gagnerait à être mieux connu, tel ce superbe single malt. Un scotch tout en finesse. Nez : Du caramel fruité, de la vanille onctueuse, le tout enveloppé d’arômes floraux. Appétissant. Bouche : De belles épices venant du chêne, de la vanille et du beau xérès chaleureux. L’ensemble présenté un profil de saveurs sucrées et épicées, présenté sur une délicieuse texture huileuse. Finale : D’une belle longueur, et marquée par les épices du chêne.

Martin 86%
Nez: Céréales et fruits séchés. Un bel amalgame de vanille, de crème et de pommes. Bouche: Herbeux, vert et fruité. Pommes vertes mielleuses, salade de fruits au sirop. Caramel salé et chaud. Finale: Bien maltée et boisée, avec des épices qui nous transportent sur des vagues de crème et de coulis de petits fruits, dans une assiette de cuir tanné. Franchement bien! Équilibre: Taux d’alcool bien maîtrisé. Une belle trouvaille d’une autre distillerie qui gagnerait à être mieux connue.

Nikka Whisky From The Barrel

51.4% alc./vol.
(Corrigé par la SAQ à 51.8% avec un gros marqueur noir) Élaboré à partir des single malts et whiskys de grain des distilleries Miyagikyo et Yoichi, incluant des fûts d’ex-bourbon, ex-sherry et refill hogshead.

André 85%
Confiture de cerises, pommes et oranges, chocolat au lait et caramel Écossais, de fruits séchés et de raisins. La bouche est puissante, poivrée et épicée, toute-épices, gingembre, oranges, raisins secs, pommes caramel, prunes et chocolat au lait. Quelques notes de bois brûlé aussi qui pave la finale de bonne longueur. La texture est onctueuse et moelleuse, nappe bien la bouche et est agréablement ronde malgré les bonnes épices. La finale est musquée, épicée et offre de bonnes vagues de xérès sucré et épicé à la fois.

Patrick 84%
Mes attentes étaient très élevées envers ce whisky et je dois admettre être plutôt déçu. Peut-être est-ce la batch que la SAQ a obtenu? Nez : Du chêne, du caramel, du sucre, des pommes, une touche de fumée discrète et un peu de whisky de grain. Bouche : Du bois épicé, de la fumée de tourbe, de la cendre et, de façon discrète, du sel et des fruits. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par le bois épicé et la cendre.

Martin 87%
Nez: Oranges, vin rouge et bois. Vanille, chocolat et butterscotch. Raisins, épices et gingembre. On sent une petite pointe d’alcool qui est plutôt annonciatrice de ce qui s’en vient en bouche. Bouche: Malt, miel, épices endiablées, bois et fruits. Touche de tourbe herbeuse. Bien agréable et dans le thème, mais la rapidité avec laquelle le degré d’alcool nous assimile est surprenante. Finale: Longue, bien épicée et plaisante. Notes de chêne, de vanille, de miel et de tourbe végétale. Équilibre: Excellent. Un autre bel exemple du savoir-faire japonais. Ils ont étudié le scotch et l’ont scientifiquement perfectionné. Aw yissss!

Nikka Miyagikyo Single Malt

45% alc./vol.

André 92%
Beau sherry opulent, fruits séchés, cerises, framboises, caramel, chocolate malt, bois toasté. La bouche est vraiment solide, onctueuse texture et des saveurs bien statuées. Gâteau aux bananes, gâteau aux fruits, pelures de pommes, cannelle, confiture de cerises et pommes, chocolat au lait. L’équilibre et la texture générale sont parfaites. Le toffee et le caramel arrondissent les épices qui se bonifient au fil des gorgées. Les notes de céréales maltées enrobées de chocolat au lait mênent vers la finale, moyenne longue, est épicée et hyper fruitée.

Patrick 91%
Comme pas mal tous les whiskys de Nikka, celui-ci est d’une complexité et d’une balance exceptionnelle. À moins de 100$ (et disponible via notre monopole d’état favori), c’est simplement ce qui se fait de mieux comme whisky japonais. Nez : Un superbe parfum de xérès sucré avec une touche de caramel, de vanille, de sel et de fumée de tourbe très discrète. Bouche : Du xérès, une discrète fumée de tourbe, du chêne, de la vanille et une pincée de sucre. Le tout est porté par une belle texture huileuse. Finale : D’une belle longueur, fruitée, salée, sucrée et fumée.

Martin 92%
Nez: Fruits séchés et sherry, crème fouettée et essence de vanille. Caramel salé, chêne et légère tourbe. Bouche: Sherry tourbé, épices, bois et fruits en compote. Fruits des champs plus spécifiquement. Vanille et pommes sur une texture juste assez veloutée. Finale: Chêne et cannelle, muscade, clou de girofle et infime fumée. Noix enrobées de chocolat noir. Équilibre: Complexité incroyable, surtout pour un japonais à moins de 100$ en SAQ. Un bel exemple moderne de savoir-faire japonais, doux sherry, fumée d’inspiration écossaise. Ya beau pas avoir de age statement, c’est bon en ta…

Shieldaig Speyside 12 ans

40% alc./vol.
Single Malt Scotch Whisky

André 77%
Pommes vertes et rouges, sherry discret, sirop de poires, melon au miel et d’agrumes peut-être. Pour être franc, faut être imaginatif pour trouver et élargir la palette aromatique. Bouche sans passion, diluée et sans structure globale. Fruits séchés et fruits tropicaux, une pointe de xérès, une pincée de poivre, tarte au citron et meringue, vanille, touche de bois de chêne. Très courte finale, cosses de pommes, fruits tropicaux, citron, miel, vanille.

Patrick 79%
Sans être mauvais, je ne peux pas dire que ce fut plaisant à boire. Je ne répéterai pas. Nez : Orge maltée, de l’herbe et des épices. Bouche : Très boisé, avec de l’orge, une bonne dose d’herbe et quelques épices. Porté par une texture en bouche pas très agréable. Finale : D’une longueur moyenne, et épicée.

Martin 77%
Nez: Panier de pommes sucrées, salade de fruits et sucre en poudre. Un peu de céréales, sinon bien peu d’autres arômes sont décelables. Bouche: Texture fade et aqueuse, notes de citron, de malt, de sirop simple pas assez sucré. Poivre et crème, sherry dilué. Quelques fruits tropicaux. Bien pâle. Finale: Courte et légèrement épicée. Bois, sucre blanc, poivre et fruits, toutes ces saveurs y sont, mais trop diluées dans leur essence. Triste. Équilibre: Palette plus ou moins variée, couplée à un manque cruel de puissance et de colonne, pour un spiritueux final plate. Pas nécessairement mauvais, mais plate en maudit.

Shieldaig – The Classic Finest Old

40% alc./vol.
Blended scotch compose de plus de 25% de single malts provenant de distilleries des Highlands, vieillis en Ex-Bourbon casks.

André 78%
Nez très générique. Vanille, grains de céréales, toffee et miel, une touche infime de sherry en background. Bouche très ronde et j’avoue, agréable. Amandes, miel, vanille, fruits secs lointain, céréales séchées au soleil, sirop de salade de fruits, se terminant pas des notes de tourbe terreuses passagères. Très courte finale, ou la tourbe prédomine, beaucoup d’accents de bois et une bonne astrigence.

Patrick 80%
Somme toute un bon whisky si vos attentes demeurent très basses. Enfin, c’est aussi une bonne raison pour rester sobre. Nez : Parfum sucré, avec des biscuits à l’orge, une touche de vanille subtile et une bonne dose de whisky de grain. Bouche : Dominée par le whisky de grain, qui masque presque les biscuits à l’orge et la vanille. Le tout est accompagné par une touche très discrète de poivre. Finale : Assez courte, marquée par les céréales.

Martin 77%
Nez: Biscuits thé social, touche d’orange et de cassonade. Vanille et un peu de miel. Peu convaincant. Bouche: Texture assez légère, bonnes notes de miel et de sucre brun. Poivre rose et pointe de cannelle et de chêne. Finale: La puissance du grain nous fesse, maladroitement certes, mais nous rentre dedans pareil. Au moins ça ne dure pas. Équilibre: Au nez et en bouche, on espère avoir de quoi de potable, mais le reste de la dégustation fait patate en bout d’viarge.

Grangestone Double Maturation Bourbon Cask Finish

40% alc./vol.
Highland Single Malt Scotch Whisky

André 79%
Ananas et poires, crème à la vanille, oranges, abricots, essence de bois de chêne. La bouche est un peu molle et sans passion, grosses notes d’oranges et d’abricots, pincée de cannelle, ananas nappés de crème à la vanille et au miel, fruits secs, cerises. Aucune texture malheureusement, ensemble hyper liquide avec une touche boisée et épicée en finale de bouche. Finale hyper courte, avec des saveurs délavées de fruits.

Patrick 78%
Un whisky biiiin ordinaire. À éviter. Nez : Un mélange hétéroclite de fleurs et d’épices. Bouche : Des épices, du bois brûlé, quelques fleurs… L’ensemble n’étant pas très emballant. Finale : Un peu courte, et boisée.

Martin 78%
Nez: Chêne, touche de malt, un peu de vanille et de fruits tropicaux éventés. Crème, fleurs blanches et miel. Retour du malt grillé. Bouche: Texture passable, fruits bien sucrés, cassonade et sucre à glacer. Bois et poivre rose. Finale: Chaude mais courte comme jamais. Fruits fades, bois et poivre. Équilibre: Super ordinaire. J’imagine que ça peut faire l’affaire de certains mais come on… Mais bon, je sais qu’au moins je vais vite l’oublier celui-là…

Johnnie Walker Black Label – The Director’s Cut – Blade Runner 2049

49% alc./vol.

André 88%
Tellement plus complexe que l’édition régulière. Je pensais avoir droit à une passe de marketing à la Game of Thrones (bah, c’est probablement ça aussi) mais c’est une belle surprise. Miel et vanille, un fond de fumée de tourbe relativement discret, compote de pommes, oranges et fruits tropicaux, puis d’intenses notes de caramel brûlé dans la poèle. La texture est superbe en bouche. Tourbe un peu industrielle et organique, poivrée et gorgée de toute-épice, anis, caramel, ananas, fruits tropicaux, oranges, pommes. Définitivement bien ficelé. Finale un peu courte, portée par les notes de tourbe et de poivre desquelles se détachent les notes de fruits divers livrés en bouche. J’en ferais un dram de semaine pour les saveurs mais pas pour le prix surfé sur la wave du film.

Patrick 89%
Wow, Johnnie ne m’a pas habitué à ce niveau d’intensité. De la tourbe intense, un whisky riche et savoureux, vraiment très bon! Nez : Légère fumée de tourbe, chêne et savoureux, des épices et, de façon très discrète, de la vanille et des fruits mûrs. Bouche : Oh, la belle texture huileuse! Et de la belle fumée de tourbe, de la cendre, des épices, des fruits mûrs, des grains… Intense! Finale : D’une superbe longueur, fumée et épicée.

Martin 90%
Nez: Plus ample et raffiné que le JW Black régulier. L’idée de crinquer le taux d’alcool à 49% est peut-être un gimmick au départ, mais dans l’absolu ça sert la cause admirablement. Malt, raisins et vanille entourés de douce fumée. On sent à peine le grain. Miel et pommes, cacao et cuir. Très bel assemblage. Bouche: JW Black sur les stéroïdes. Miel et vanille, épices et chêne. On sent bien la rampe d’alcool, le choix de le laisser à plus de 40% est la meilleure décision qu’on pouvait prendre. Les saveurs sont on ne peut plus riches et omniprésentes. Fumée et cuir au loin. On goûte un fond de Caol Ila vers la fin. Finale: Belle et douce descente sur la planche de chêne. Épices, vanille, cuir, orange, raisins et pommes bien croquantes. Thé noir, réglisse et poivre. Légère tourbe qui perdure malheureusement juste pas assez longtemps. On en redemande! Équilibre: Ce qui pouvait sembler n’être qu’un coup de marketing au départ se dévoile finalement comme un blend d’une qualité surprenante! Taux d’alcool audacieux, savoir-faire d’un des plus grands fabricants de blends au monde, branding futur-noir… Il n’y a rien ici pour me déplaire! Après tout je suis autant une pute à Johnnie Walker qu’une pute à Phil K. Dick… It’s too bad she won’t live. But then again, who does?

SMWS 66.128 Ardmore 12 ans

57.6% alc./vol.
« Great Fun » – Distillé le 21 juin 2005, 1st fill charred red wine barrique, 229 bouteilles

André 90%
Grosse tourbe terreuse emmitouflée dans un foulard de fruits rouges intenses, anis et réglisse rouge, figues et raisins secs, framboises, compote d’oranges, compote de pommes. Le nez est intensément attirant, alliant un ensemble de saveurs fruitées savamment bien mariées de fumée de tourbe terreuse. La rondeur générale du whisky camoufle bien le bon taux d’alcool. Cette rondeur demeure en bouche au départ avant d’être balayé par la foudre d’alcool et de tourbe puissante. Les fruits rouges demeurent – pommes, fruits sauvages – mais s’allient maintenant de saveurs plus typiques des fûts de bourbon, poires, ananas, orange, vanille. La tourbe migre maintenant vers une sensation cendreuse et sèche, réglisse, bois brûlé, anis. L’agencement des fortes épices et de l’alcool rend l’expérience assez brusque tout de même. Finale sur la barre de chocolat noir échappée dans la cendre de feu de foyer.

Patrick 94%
Nez : J’ai l’impression de manger une barre de chocolat Hershey’s aux fruits des champs, assis sur le bord d’un feu de camp sur lequel André, qui est parti chercher du bois, a oublié des toasts qui sont en train de brûler. Bouche : Finalement, André a oublié le bois, et a plutôt ramené une poignée de fruits des champs… Pendant ce temps, le feu a eu le temps de s’éteindre, et tout ce qu’on goûte est la fumée et la cendre… Avec un arrière-goût de la barre de chocolat qu’on avait mangé plus tôt. Finale : Fruitée, chocolatée, épicée et fumée, beaucoup plus longue que le feu qui s’est éteint à cause d’André qui a complètement oublié le bois.

Martin 90.5%
Nez: Belle subtilité, cacao et framboises. Tourbe certes, mais terreuse et discrète à la fois. bois et vanille. Bouche: Tourbe cendrée et terreuse, plus “continentale”. Belles épices bien goulues, raisins et cuir. Retour du chocolat. Finale: Puissante et persévérante. Chêne, poivre, cannelle, vanille et tourbe crasseuse. Équilibre: Superbe qualité et intensité de saveurs, bien que l’équilibre final me semble un tout petit petit peu malhabile. J’aurais aimé aimer ça autant que Pat. Quand même solide.

SMWS 10.119 Bunnahabhain 9 ans

59.3% alc./vol.
« The Chimney in a Beehive » – Distillé le 10 décembre 2007, Refill hogshead, 242 bouteilles

André 88%
Un bon BBQ sur la plage avec de bonnes viandes grasses dont le jus coule sur les braises et un pot-au-feu de fruits de mer et de la tarte aux pommes pour desert. La bouche est tendre et sucrée, enbruns de sel de mer, miel chaud, une touche citronnée et une belle tourbe docile bien terreuse, vanille, beurre. Belle et longue finale, sur la fumée de tourbe suave et le sel de mer.

Patrick 91%
Un Bunnahabhain tourbé comme j’ai rarement vu ça! Superbement délicieux, savoureux… Wow. Le genre de whisky que j’aimerais boire à chaque jour. Nez : Mmmm! De la fumée de tourbe, de la cendre, de la vanille et une touche sucrée savoureuse. Bouche : Du savoureux sel de mer, de la fumée de tourbe, de la cendre, du miel et une touche de vanille. Finale : D’une délicieuse longueur, avec de la fumée de tourbe, du sel et du bois brûlé.

Martin 92.5%
Nez: Oh, c’est du solide ça. Tourbe cendrée, ribs BBQ, vanille et caramel cramé. Bouche: Vanille, miel et sel marin. Belle fumée iodée sur un lit d’épices à steak et de poivre rose. Finale: Hoo Ha! Ça reste en bouche sur des fruits tropicaux, de la tourbe médicamenteuse et un gros tri-tip bien juteux et fumé. Équilibre: On ne sait jamais si un grand Bunnahabhain c’est un accident ou pas. Je ne sais pas ce que vous faites, mais don’t stop.

SMWS 135.14 Loch Lomond (Inchmoan) 13 ans

55.4% alc./vol.
« Tripping the Light Fantastic » – Distillé le 18 mars 2005, 1st fill red wine barrique, 247 bouteilles

André 77%
Nez sournoisement discret, sur les fruits tropicaux et les tranches d’ananas roulées dans la terre mouillée, cosses d’oranges, petits fruits sauvages, herbe verte légèrement mentholée, sel. Très étrange présentation. La bouche est déséquilibrée et y’a définitivement un off-key dans la barrique. C’est oxidé et râpeux au goût, la tourbe est franche et sans subtilité, aucune souplesse ou de profondeur. Côté saveur c’est difficile à dire avec la conjonction de l’alcool puissant et des saveurs de fût oxidé qui se mélange à de grosses épices pas subtiles. Avec beaucoup d’attention, un peu de citron et de saveurs maritimes, tourbe médicinale et hyper terreuse, une teinte de chloroplylle et beaucoup de poivre et d’épices des Caraibes. Trop longue finale méga bizarre de tourbe indescriptible. À 13 ans, ce Inchmoan est encore un ado boutonneux. On aurait dû lui laiser la chance de (peut-être) s’améliorer, c’était difficile de faire pire. J’ai jeté le reste de mon échantillon.

Patrick 89%
Définitivement, Loch Lomond a changé quelque chose ces dernières années dans leurs procédures et ce, pour le mieux! Wow, c’est gros, c’est savoureux, c’est plein de bonheur! Nez : Salé, sucré, fruité et fumé. Et tellement appétissant! Bouche : De la belle fumée de tourbe médicinale, du sel et de beaux fruits mûrs un peu trop discrets. Finale : D’une belle longueur, tourbée et avec une touche de bois brûlé.

Martin 81%
Nez: Un peu bizarre comme tourbe, plus près de la poche des Lowlands qu’autre chose. Les fruits arrivent prestement pour étouffer cette bizarre impression pour notre plus grande satisfaction. Bouche: Sucré salé, fumée iodée, quelques fruits. Épices et tannins du bois, avec une astringence moins hot qui nous guide vers la finale. Finale: Bois, épices et le reste des saveurs ne perdurent pas très longtemps, encore une fois mais pas pour les mêmes raisons pour notre plus grande joie. Équilibre: Quelques fausses notes gâchent malheureusement cet embouteillage. Au prix qu’on paye ces expressions de la SMWS, je trouve cela un peu dommage.