58.5% alc./vol.
Bottled 12/2022.
André 88%
Beau nez de tourbe végétale et verdâtre, cendre froide de feu de foyer, fruits de mer, oranges, citron, bananes et poires. Notes d’antiseptique et de désinfectants que l’on retrouve dans les hôpitaux. La texture en bouche est hyper crémeuse, vu le taux d’alcool. Crème à la vanille nappée de confiture de citron, cendre froide, iode, tourbe végétale, eucalyptus, terre noire et poivre moulu. Finale de pommes vertes, de bonbons casse-grippe à l’eucalyptus, de cosses d’oranges, zeste de citron, poivre accompagné d’une rétro-olfaction salée maritime.
Patrick 92%
Ceux qui se plaignent « que les whiskys étaient bien meilleurs il y a 25 ans » oublient qu’un tel scotch n’existait que dans nos rêves les plus fous à l’époque (oui, je fais des rêves bizarres!). Nez: Un mélange de fumée de tourbe et de feu de camp, le tout en bord de mer, en dégustant des fruits tropicaux assis sur une planche de chêne séchée. Bouche : Ici, le sel est au premier plan, mais la fumée de tourbe n’est pas très loin derrière. J’y retrouve aussi une bonne dose de chêne séché et épicé, ainsi qu’une discrète goutte de vanille. Le tout est porté par une délicieuse texture. Finale : D’une belle longueur, fumée et boisée.
Martin 89%
Nez: Iode, fumée médicinale, goudron frais et bacon fumé, adoucis par une touche de vanille et de zeste de citron. Bouche: Puissante et riche, avec une attaque tourbée intense, des notes de braise, de sel marin, de cuir, de clou de girofle et de malt toasté. L’alcool est bien intégré malgré la force, laissant passer des nuances de réglisse noire et d’herbes séchées. Finale: Longue, sèche et résineuse, sur le feu de camp, les épices brûlées et la tourbe huileuse. Équilibre: Un monstre parfaitement dompté. Brutal, franc, mais nuancé, ce Laphroaig exprime toute sa personnalité sans filtre. Un classique sauvage pour amateurs avertis.