SMWS 48.43 Balmenach 12 ans

55.5% alc./vol.
“Pepper trop-dusted over orchards” – Distillé de 1er octobre 2001 et vieilli en ex-fût de bourbon, 115 bouteilles.

André 85.5%
Belles influences du bourbon cask; ananas, crème et vanille, agrumes et fruits tropicaux. La bouche est fruitée, beaucoup d’oranges, de fruits rouges et d’épices, de saveurs d’ananas et crème Française, nappée de miel. Étonnant de douceur malgré son taux d’alcool. La finale est très poivrée et épicée ce qui tranche beaucoup avec les saveurs de fruits et d’orange de la bouche. Sécheresse prononcée en finale de bouche avec la conjonction de l’alcool et des épices poivrées. Je trouve que cela lui enlève sa douceur et sa rondeur qu’apportaient les saveurs de la salade de fruits et de la vanille crémeuse.

Patrick 85%
Un grand mélange de saveurs complexes, portées par un spiritueux avec une belle texture huileuse. Nez : Ananas, oranges et notes de bois de chauffage fraîchement fendu. Bouche : Saveur poivrée, piments, miel, caramel, fruits et touche de thé. Très complexe. Finale : Longue et savoureuse.

Martin 87%
Ultra pâle, presque translucide. Nez: Bien portant sur l’orge, avec une belle dose de fruits mûrs. Une infime vague de cookies & cream se dessine à l’arrière-plan. Bouche: Fruits rouges et épices. Bois de chêne poussiéreux et gorgé de bourbon. Fort goûteux grâce à des notes de sucre brun et de miel. Finale: Langoureuse, forte de son taux d’alcool et de son héritage de bourbon cask. Notes fantomatiques de cacao et de café au lait. Équilibre: Un très bon embouteillage. Le seul problème, c’est que vu que mon premier Balmenach est un SMWS, ça risque d’être dur à battre.

SMWS 53.184 Caol Ila 19 ans

60.4% alc./vol.
“Fairground on the beach” – Distillé le 13 juillet 1993 et vieilli en ex-fûtailles de xérès, 505 bouteilles.

André 91.5%
Tourbe médicinale et cendres de feu de plage mal éteint, zeste de citron. Le nez est malgré tout très rond, presque délicat malgré ces saveurs qui démontrent beaucoup de personnalité. Belle fraicheur un peu camphrée en approche de bouche, touche herbeuse et de miel vanillé, puis vague de fumée de tourbe, de poivre noir. La texture est d’une superbe qualité, huileuse et fluide, chaleureuse sans être brûlante. Finale souple et huileuse, tourbée à souhait, médicinale et accompagnée d’agrumes. Un whisky à la texture hallucinante, aux saveurs typiques et à l’histoire sensorielle unique. Une belle prise pour la SMWS!

Patrick 91%
Encore une réussite de la SMWS, débordant d’intensité et d’une grande balance. J’en veux plus svp! Nez : Cendre, tourbe, chocolat noir et pointe très subtile d’agrumes. Bouche : Très chaleureuse, avec de la fumée de tourbe, de la cendre, des épices, du chocolat et une pointe de sucre fruité. Finale : Longue, marquée par la cendre et une note subtile de sucre fruité et de citron.

SMWS 53.190 Caol Ila 17 ans

56.8% alc./vol.
“A fishing village up Whisky Cove” – Distillé le 24 août 1995 et vieilli en ex-fûts de bourbon, 263 bouteilles.

André 90%
J’ai l’impression de redécouvrir cette distillerie qui passe trop souvent sous le radar de mes achats. Tourbe puissante au nez, encore le feu de plage mal éteint, côtier, beaucoup d’épices, le bord de mer après un orage. En bouche; souple et texture délicate, prononcé sur la fumée de tourbe et les divers éléments maritimes, le fût de bois poussiéreux qui traine dans un warehouse humide, cannelle et clou de girofle, zeste de citron, relents de garage qui change les pneus en série au printemps et un accent « sour » qui me dérange un peu. Le taux d’alcool est bien niché et se confond superbement bien entre la plantureuse texture et les saveurs aux accents de port de pêche et de marché d’épices orientales. Finale relevée par les épices et l’alcool et les notes de tourbes trapues.

Patrick 94%
Wow, Caol Ila à son meilleur! Quel délice! Sublime whisky, parfaitement balancé, dont on ne sent presque pas la force de l’alcool. Nez : La mer et les fruits de mer! En fait, une soupe aux poissons et aux fruits de mer très salée, avec un morceau de caoutchouc qui trempe dans le bol! Bouche : Toujours la mer et la soupe aux fruits de mer, mais avec aussi une pincée de citron, de bois brûlé et de cuir. Finale : Longue et savoureuse, avec des notes de porc salé et brûlé et une pointe d’agrumes.

Martin 92%
Très bel ambre doré classique. Nez: Doux fruits, citron, vanille, algues, tourbe et sel. Délicate céréale, épices et Fisherman’s Friend, restant de filet de pêche. Bouche: Tourbe et sel, cages à homard. Léger feu du cask strength. Pierre et air maritime. Succulent. Finale: Époustouflante finale de feu de camp sur le bord du phare par temps douteux. Interminable. Équilibre: Un superbe crescendo. Nez bien exécuté, bouche incroyable, finale encore mieux. Mon coup de coeur de la soirée, à date. À boire sur un quai ou sur un bateau.

SMWS 53.210 Caol Ila 24 ans

53.3% alc./vol.
« Fantastic Stuff » – Distillé le 19 décembre 1989, 240 bouteilles

André 87%
Tourbe phénolique médicinale à la Laphroaig, fruits de mer et poissons fumés. Éléments verts et herbeux en toile de fond, pommes vertes au miel, épices. Avec une goutte d’eau, gomme d’épinette, sel de mer. En bouche, très doux en approche mais après un p’tit côté edgy camphré et de menthol, pastilles casse-grippe assez prononcé. Côté cendreux et poivré laissé après le passage de l’alcool et les saveurs de tourbe. Finale pausée mais persistante, très axée sur les saveurs maritimes et de fumée de tourbe. Bel amalgame de saveurs, chacune tirant profits des autres mais j’aimes moins le côté aiguisé rugueux de cendre de la finale.

Patrick 89%
Un très bon scotch, mais qui ne réinvente rien. Pour un 24 ans, il faut dire que j’avais placé la barre assez haute. Nez : Parfum classique d’un scotch d’Islay avec la fumée de tourbe, quelques algues, des notes poivrées et une touche de saumon fumé. Bouche : Belle texture soyeuse. Le whisky est enveloppé d’un nuage de fumée grasse, de caramel, de chips sel et vinaigre et d’une pointe d’épices asiatiques. Finale : D’une belle longueur, salée et épicée.

Martin 89%
Pâleur à la hauteur de la plupart des malts d’Islay, avec en prime une richesse foncée qu’on ne retrouve souvent que dans les très vieux fûts. Nez: Tourbe terreuse et médicinale, sur un fond d’algues, de miel et de pommes. Quelques accents minéraux d’une pierre lavée par l’eau de mer se dégagent à la fin. Caramel salé. Bouche: Tourbe salée, épices et caramel. Pomme de tire et cannelle. Mélange de bois de chêne et de bois de pin. Gomme balloune et pierre maritime. Tout qu’un voyage! Finale: Comme on les aime sur Islay. Feu de camp sur la plage, algues et pierre salée. Équilibre: Ce malt brille entre les mains de la SMWS. Un whisky qui passe autant de temps en barrique doit être servi à la force de fût pour en apprécier la valeur.

SMWS 53.222 Caol Ila 13 ans

58.4% alc./vol.
« The Three Little Pigs » – Distillé le 7 décembre 2000, 284 bouteilles

André 89%
Tourbe et phenols, les mêmes pommes vertes que dans l’édition 53.210 et toujours cette touche herbeuse et de tourbe grasse, iodée et phénolique. Je suis surpris de la sensation en bouche, que je trouve beaucoup plus douce que le 24 ans d’âge. Le whisky est très rond malgré sa force alcoolisée, mais on ressent toujours cette petite sensation de cendre et d’épinette en fond de bouche et laisse un film salé marin sur les lèvres. Beaucoup influencé par les saveurs tirées du fût de bourbon, le whisky dégage de bonnes vagues de miel, de mashmallow, de vanille et un brin de coconut. La finale est bien balancée, la tourbe équilibrée, belles saveurs maritimes et de camphre, de chlorophylle.

Patrick 90%
Un excellent scotch offrant le punch qu’on s’attends d’un Caol Ila, mais avec une petite note sucrée qui rend le tout très agréable, complexe et savoureux. Pour mateurs de bacon. Mmmmh, bacon. Nez : Tourbe, goudron, fumée de BBQ, sauce asiatique, le tout avec une touche de bacon fumé. Mmmmh, bacon. Bouche : Belle vague de sel et de fumée intense, avec un touche de poivre et une belle note de bacon gras au sirop d’érable. Mmmmh, bacon. Finale : Longue et savoureuse, avec une belle note poivrée et de bacon. Mmmmh, bacon.

Martin 90%
Autant désaturé que le veulent son âge et sa provenance. Nez: Tourbe végétale et herbeuse, fumée de charbon, hareng fumé, bacon. Bien que quelques touches sucrées font surface au loin, on comprend pourquoi ils ont appelé ce whisky ainsi. Bouche: Fruits et sel, tourbe et charbon, caramel et épices. Il se passe beaucoup de choses, mais le tout semble plus ou moins ordonné. Finale: Tourbe, cannelle, chocolat au lait et chêne. Belle longueur sur des traces de charbon cendré. Équilibre: L’ensemble est très porté sur l’univers du BBQ. Bien qu’à quelques endroits ce malt peut sembler chaotique, le résultat final n’en est pas moins succulent.

SMWS 66.35 Ardmore 9 ans

58.2% alc./vol.
« Savoury smoke and spicy sweetness » – Distillé le 17 juillet 2002 et vieilli en ex-fûts de xérès, 696 bouteilles.

André 89%
Nez bien épicé (gingembre, clou de girofle), herbe, et tourbe médicinale terreuse. Le sherry cask, étant prédominent apporte une dimension fruitée et sucrée, plus ronde et veloutée au nez et aidera le toffee à éclore de l’ensemble… Côtes levées avec sauce sucrée. Léger manque de structure en arrivée de bouche, mais le mélange de sherry sucré et de tourbe est vraiment superbe, les épices s’émoustilleront coquinement en finale de bouche ou la texture générale se sera stabilisée. Finale d’un mélange sucré et épicé ceinturé d’un bon corset de tourbe et rétro olfaction à saveur de liqueur aux fraises pétillante.

Patrick 90%
Nez : Intenses fruits et fumée, quelques noix et une touche d’épices pour couronner le tout.  Plutôt impressionnant comme parfum.  Bouche : Toujours la fumée et les fruits, un peu de goudron et des notes médicamenteuses.  Finale : S’étire longuement et délicieusement sur les notes de fumée et de goudron.  Balance : Superbement équilibré et complexe, un dram dans la catégorie « à apporter sur une île déserte » ou encore dans le « camp » dans le bois pour le boire en taquinant la truite ou au coin du feu.

Martin 88.5%
Orangé séduisant, ambre qui tire sur henné. Nez: Très fruité dès qu’on lève le verre au nez. On tire les couvertures très brusquement vers le raisin. Une fumée plutôt boisée accompagne le tout, évoquant un baril carbonisé comme on s’en fait tant parler. Bouche: Les fruits continuent de plus belle, avec un accompagnement de fumée et de chêne beaucoup plus marqué qu’au nez. Les raisins sèchent et deviennent pruneaux, saupoudrés des épices du fût de xérès. Finale: Relativement longue, s’étirant sur des notes médicamenteuses de raisin caramélisé. Amertume bien dosée, comme le meilleur des espressos. Équilibre: Un vrai dram qui réchauffe. Videz le caribou dans l’évier parce que quand vous revenez de pelleter la plus récente bordée de février, c’est un SMWS 66.35 que ça prend.

SMWS 66.36 Ardmore 10 ans

58.2% alc./vol.
« Milano salami and a tropical fruit kebab » – Distillé le 17 juillet 2002 et vieilli en ex-fûts de xérès, 702 bouteilles.

André 83.5%
Mélange de sherry épicé et tourbé, l’accent sucré est plus discret mais fait bien parti de l’équation au final. J’aurais aimé voir le sherry plus insistant et je crois que la qualité du sherry laisse un peu à négliger. C’est un peu fade et monotone comme bouche et même les saveurs de tourbe assaisonnées au sherry et au raisin n’égayeront pas la fête. Finale molle ou le sherry est encore plus tordu mais qui cache bien son taux d’alcool.

Patrick 90%
Nez: Salami italien, ribs fumés au BBQ hickory et quelques fruits. Bouche : Le BBQ au hickory, les ribs accompagnés d’une bonne saucisse grasse un peu trop cuite et les fruits très mûrs. Aussi un peu de bruyère et de poivre. Finale : Longue et huileuse, comme on les aime! Balance : Un bon dram gras et un peu sale comme de l’huile à moteur usagée. Plus viril que ça, t’as tellement de poils, tu peux sortir dehors tout nu l’hiver.

Martin 86%
Brun-roux assez saisissant pour son jeune âge. Nez: Franc et sans compromis, avec de peu subtiles notes de sherry épicé et fruité baignant dans un beaume de charcuteries salées et fumées. Fond de céréale. Bouche: Vanille, caramel salé et sauce barbecue goûteuse. Xérès et épices restent en arrière-plan. On se croirait dans les cuisines de Henry’s Hi-Life. Finale: Belle chaleur, longue et bien ancrée. Tous les arômes précédents reviennent en force. Équilibre: Trop effronté peut-être? Ce ne sont pas des flaveurs souvent rencontrées chez Ardmore. On aime bien la nouveauté, mais personne n’aime être trop secoué.

SMWS 70.8 Balblair 7 ans

59.4% alc./vol.
« Youthful and zesty – yet complex » – Distillé le 19 mai 2006, 206 bouteilles.

André 85%
Purée de poires, raisins verts, sac de pelouse tout juste tondue, avec accents un peu maritimes, jus de citron et des agrumes. Je n’aurais pas deviné la distillerie à l’aveugle mais en sachant ce que c’est, je dirais que cela respecte la ligne directrice que nous livre normalement la distillerie. La bouche est onctueuse et fraiche, la vanille pétillante et épicée et mielleuse avec quelques sauts d’humeur de bois de chêne et les fruits du nez. Finale qui est plus sur les agrumes, les oranges et le raisin, l’alcool est relativement doux et la palette de saveurs intéressante. Une belle découverte qui démontre beaucoup de maturité venant d’un whisky si jeune.

Patrick 88%
« Youthful and Zesty » : Ce whisky porte admirablement bien son nom.  Nez: Crème brûlée, vin blanc, citron et touché de miel.  Bouche : Chêne, pommes, raisins et zeste d’agrumes.  Très complexe.  Finale : D’une longueur moyenne, fraiche et marquée par les agrumes.

Kim 80%
Étrangement, ça sent le sake avec une très légère pointe de fumée. Le goût cependant est très différent de ce à quoi je m’attendais à l’odeur, plus riche. L’alcool est assez présent, mais on décèle des épices, un peu de fruits confits, d’agrumes et de verdure. Il se passe un peu trop de choses en même temps à mon goût.

SMWS 72.31 Miltonduff 29 ans

48.3% alc./vol.
« Something Old, Something New » – Anniversary Cask 1983-2013, distillé le 15 décembre 1983, 206 bouteilles.

André 86%
Nez effacé ou pas agréable disons. Mais en lui laissant du temps; pommes, vanille, toffee, poires et notes de céréales au miel et vanille. Texture douce (trop douce) en bouche, noix de macadam, vanille, toffee. Me fait penser à quelques nuances de certains Balvenie, en plus épuré. La finale est une lente descente en vol plané, sans turbulence; miel, noix, vanille et céréales. Pas un mauvais whisky, juste un whisky, lui ou un autre bon whisky?

Patrick 89%
Quelle texture exceptionnelle!!  J’ai rarement vu dram si huileux.  Nez: Vernis à plancher sucré, feuilles de tabac et touche de beurre.  Bouche : Tellement huileux qu’il rappelle du beurre!!  On discerne quelques fruits au travers des planches bois.  Finale : Longue, sucrée et épicée à la fois.

Martin 86.5%
Ambre doré plutôt fade. Nez: Un voile de décapant à peinture se lève pour faire place à un peu de miel, de vanille et de poire. Ce n’est pourtant pas assez pour en oublier le solvant. Bouche: Texture huileuse à souhait, belle douceur, céréales et noix, miel. Pas grand-chose, sinon que ça reste un malt agréable sans complications. Finale: Assez sèche compte tenu de sa bouche huileuse, mais relativement longue, sur des notes de beurre, de céréales, de bois et de noix. Équilibre: Bien agréable, fait la job, comme on dit, mais sans obtenir toutefois la note parfaite.

SMWS 76.105 Mortlach 19 ans

59.3% alc./vol.
« A continuous snow-fall of curiosities »

André 86%
Nez qui ne me rejoint pas du tout. Très herbeux, feuillu, le sherry s’est essoufflé et n’offre qu’une timide performance fruitée. Poires et vieux cuir mouillé, raisins. Heureusement, sa texture hallucinante en bouche sauvera la mise. Le whisky est hyper huileux et suave, ponctué de gingembre et de poivre, le fût de sherry s’exprime via des notes de fruits rouges un peu plus évidentes. Les épices sont elles aussi plus volubiles, elles paveront d’ailleurs la voie à la finale, de bonne longueur, bien épicée et poivrée.

Patrick 93%
Spectaculaire réussite! Une complexité rarement vue, une balance exceptionnellement bien maîtrisée. Mes attentes envers Mortlach et la SMWS sont élevées et n’ont pas été déçues. Nez : Délicieux fruits qui baignent dans un sirop sucré… En fait, le sucre mel rappelle du sucre à glaçage. Le tout est accompagné d’une touche de cuit subtile. Bouche : Arrivée très fruitée et sucrée, qui évolue ensuite vers le chêne épicé, puis vers une note de viande carbonisée et enfin revenir sur les notes fruitées initiales. De vraies montagnes russes de saveurs! Finale : Longue, savoureuse, et témoin d’une délectable bataille entre les épices et les fruits.

Martin 88%
La maturation en fûts de xérès, surtout pendant 19 ans, ne colle pas avec cette teinte diaphane. Nez: La longue période de vieillissement semble avoir dilué les notes de sherry pour les remplacer par des touches sulfureuses bien affirmées. Céréales, vanille, vinaigre et planche de chêne. Fruits secs et cuir fumé au loin ramènent un peu le sherry dans la « game ». Bouche: Texture opulente, ample et riche à souhait. Raisins, miel, épices, vanille, chêne, poivre et fruits rouges. Retour en grande pompe du fût de sherry pour notre plus grand bonheur. Finale: Longue et épicée, on est soulagés que les notes de la bouche perdurent au lieu de celles du nez. Équilibre: Un nez décevant peut-être, mais qui n’est qu’un voile devant la splendeur du reste de ce panorama. Un parfait exemple du proverbe « Ne jugez pas un livre à sa couverture ».