Signatory Vintage Dallas Dhu 19 ans 1978-1997

43% alc./vol.
Distillé le 30/06/78, embouteillé le 09/97 depuis le fût #1850, bouteille 209 de 450.

André 90%
Pommes vertes, menthe et fruits, l’herbe est de retour. En bouche, le poivre est puissant mais bien balancé par les notes de vanille et de miel. Herbe verte coupée et légère tourbe très discrète. Pommes vertes et finale d’herbe fraiche mentholée. L’équilibre de ce whisky est définitivement plus significatif que dans les 4 autres embouteillages goûtés en même temps. En bouche, on retrouve ces mêmes arômes et saveurs typiques, l’herbe verte, une touche de menthe, la pomme, rehaussé d’une pincée d’épices. La finale est calme et longue, sans brusquerie. Une édition représentant bien les saveurs de la distillerie, qui ne tombe pas dans l’excès et le tape-à-l’œil.

Patrick 89%
Un superbe whisky original et savoureux qui devraient plaire aux amateurs les plus blasés, ceux qui ont l’impression d’avoir tout vu/bu. Malgré qu’il ne soit définitivement pas dans ma palette de saveurs, j’ai adoré, c’est donc vous dire! Nez : Menthe et herbe baignant dans du « jus de céréales ». Parfum assez intense et original. Bouche : intéressant et particulier. De belles herbes, de la belle menthe et du beau poivre, le tout avec des beaux copeaux de chêne. Intense, bien balancé, savoureux, ce whisky est simplement beau. Finale : D’une belle longueur, épicée et légèrement mentholée.

Martin 89%
D’un blanc vino verde qui nous fait presque douter de son âge. Nez: Orge gazonné à la manière de certains Arran. Menthe, coriandre et poire. Vanille et pommes. Bouche: Orge mielleuse, épices et herbe. Petits fruits rouges, vanille et une touche de chêne. Finale: Pommes, chêne et cuir avec la plus légère des fumées. Posée et d’une bonne longueur, elle reflète bien l’idée générale qu’on peut se faire d’un scotch de cet âge. Équilibre: Intéressant et plein de saveur, c’est un embouteillage qui livre la marchandise, sans vouloir trop engorger le paysage d’artifices inutiles.

Signatory Vintage Dallas Dhu 19 ans 1982

43% alc./vol.
Distillé le 18 mars 1982, embouteillé le 9 mai 2001, fût #354, bouteille 56 de 802.

André 79%
Herbe verte poivrée et toujours cette tendance verdâtre, une touche de rubber et de menthe poivrée. En bouche, herbe coupée et bonbons mentholés, touche vanillée avec quelques accents épicés. Le whisky est débalancé et les saveurs très bizarres. Touche de sherry et de fruits rouges en toile de fond en finale de bouche avec une forte présence de toffee. Finale très courte et épurée, presque vide. L’amalgame de saveurs est douteux et la finale qui coupe abruptement en bouche l’amputeront de précieuses notes.

Patrick 77%
Douteux au niveau du goût, pas vraiment balancé… Bref, un bel exemple de whisky « botché ». Nez : Mélange douteux de menthe et d’herbe qu’on aurait saupoudré de poivre pour cacher le fait qu’ils sont passés date. Bouche : Toujours l’herbe, la menthe et le poivre, le tout présenté sur une tranche de pain blanc mouillé. L’ensemble présenté n’importe comment. Finale : Presque absente, à part une petite note poivrée.

Gordon & MacPhail Dallas Dhu 23 ans Vintage 1982

40% alc./vol.

André 87%
Très grassy et vert, orienté sur les céréales, un nez entre les Highlands et les Lowlands. Nez un peu citronné et verdâtre. Belles influences de vanille tirées du fût, petit côté sucré réconfortant. En bouche, mielleux et très texturé, soyeux et hyper doux. Salade de fruits et oranges, léger citronné. J’aime beaucoup la quiétude de ce whisky, inspire une escapade style pique-nique dans les champs des Lowlands pendant une chaude journée d’été. Poires juteuses et pommes vertes, touche d’orange, avec une fine touche de noisettes sautées à la poêle. La finale est douce mais de bonne longueur, axée sur la salade de fruits et les éléments verts (herbe et feuilles) et parsemé de quelques épices.

Patrick 85%
Un très bon whisky, mais le faible taux d’alcool et la finale un peu courte lui font perdre de nombreux points. Nez : Herbeux, foin et chêne. Sent la grange! Après environ une heure, des notes fruitées et de caramel apparaissent. Bouche : Toujours la grange remplie de foin et d’herbes… Mais une grange située au pays de Hansel et Gretel, bref, une grange aussi pleine de sucre. Finale : un peu courte (probablement à cause de la dilution à 40% d’alcool), mais tout de même agréable grâce à sa petite touche épicée.

Martin 85%
Jambes assez larges, mais d’une pâleur maladive. Nez: Frais et herbeux, plein d’orge et de vanille. À peine de fruits et de chêne. Manque un peu de profondeur. Bouche: Texture intéressante, avec des notes de cantaloup et de miel. Salade de fruits même. Quartiers de clémentine et cuir fumé. Apporte une belle dimension qui était absente au nez. Finale: La fraîcheur et la verdure continuent avec les saveurs précédentes tout en les accentuant de quelques épices. Équilibre: Assez étrange pour un whisky de 23 ans d’exhiber les qualités d’un malt de 10-12 ans. Mais bon, on doit se contenter de ce qu’on a, à condition que le prix soit juste.

Douglas Laing Executive Decision Glenrothes 26 ans

53.3% alc./vol.
Distillé en juin 1987, embouteillé en décembre 2013 depuis le fût de sherry de 2e remplissage #DL10141, 288 bouteilles.

André 87%
Venant de Glenrothes, le nez est tout à fait dans la ligne de la distillerie ; plein de note de sherry rehaussés de douces épices, toffee, miel, gâteau aux fruits, oranges nappées de chocolat au lait avec en background une touche boisée très intéressantes. Cachous sautés à la poêle peut-être ? En bouche ; toffee et miel, chocolat, vanille, oranges et sherry un peu vieillot. En arrivée de bouche, le whisky est très soyeux mais la conjonction des épices et de l’alcool rehausse ce whisky de façon inattendue. Les notes primaires des épices sont vites calmées par le chocolat et le miel qui réussiront tout de même à revenir de façon musclée en finale de bouche qui est fortement épicée en rendant la bouche un peu sèche. Je détecte même une touche de poivre noir qui apparaît en toute finale. J’avais été conquis par le nez exceptionnel. Mais les fortes épices et le poivre déstabilisent un peu la bouche et tranchent farouchement avec les saveurs plus douces et tendres.

Patrick 88%
Un chef d’œuvre d’équilibre et d’extase. Exquis! Nez : Sublime parfum de xérès, de vanille et de chêne. Le tout est complété par une bouchée de gâteau aux fruits recouvert de caramel. Bouche : Superbe arrivée en bouche, avec un mélange de fruits mûrs, de sucre brulant et d’épices chaleureuses. Le tout est complété par des notes de gâteau au chocolat et un trait de miel. Finale : D’une belle longueur, s’étire sur les notes épicées du chêne ainsi qu’une touche d’orange.

Martin 89.5%
Nez: Beau xérès brun, raisins, dattes, tabac, pelure d’orange, cassonade et chêne. Toffee, miel, gâteau aux épices et miel. Cacao. Bouche: Caramel, toffee et épices. Miel et cacao. Le taux d’alcool est beaucoup moins agressif qu’on pourrait le croire et laisse amplement le temps au dégustateur de se faire sa propre opinion. Finale: Longue et sèche, à la hauteur des attentes d’un sherry cask de cet âge. Équilibre: Tous les aspects de ce 26 ans sont bien maîtrisés. Un malt d’exception. Bravo à Douglas Laing.

Ballantine’s 30 ans

40% alc./vol.

André 92%
Nez capiteux et velouté. Poires, miel, vanille crémeuse, une fine touche d’herbe verte, pincée d’épices. En respirant, le nez dévoile de subtiles arômes de fumée et de sherry de style gâteau aux fruits ainsi qu’un bon bol de salade de fruits. La bouche est soyeuse, les poires en arrivée, suivie d’une belle et lente progression de sherry légèrement épicé, de toffee et de miel, voile diaphane de fumée puis épices soutenues sans être puissantes. Finale poivrée avec parcimonie, qui s’allie très bien avec les épices et la touche fumée. Pour les amateurs de blends et de complexité, ce whisky est un plaisir à déguster et à analyser. Les saveurs sont bien présentées et balancées et la surprise de la fumée et du poivre d’une une tournure inattendue à la dégustation. Quand simplicité et complexité forment un couple parfait!

Patrick 77%
Un blend bin ordinaire qui m’a laissé totalement indifférent. Si vous avez les moyens de vous payer cette bouteille, consultez www.quebecwhisky.com pour de meilleures suggestions! 30 ans? Pas grave, le fond de mon verre a quand même fini dans le lavabo. Nez : Herbe verte, poires, gâteau aux fruits et épices. Bouche : Les épices du chêne en premier lieu, avec un caramel subtil, des poires vertes, du miel, un mélange d’herbes et une fumée si discrète qu’elle n’a aucune chance de déclencher le détecteur de fumée le plus sensible au monde. Finale : Courte et épicée.

Martin 90.5%
Nez: Poires, melon et miel. Assez subtil et velouté. Légère fumée, accompagnée de raisins et d’orange. Joli fruitcake rappelant certains single pot still whiskeys. Bouche: Douceur vénérable, poires, miel, céréale grillée, légères épices, herbe verte, menthol et fleurs blanches. Bois de chêne. Finale: Bien présentée, elle nous transporte sur des vagues de poivre et de xérès, le long d’une planche de chêne légèrement poussiéreuse. Équilibre: On dit souvent que dans un whisky l’âge n’est pas toujours gage de qualité, mais quand ça l’est et que c’est bien fait, on a droit à tout qu’un dram.

Singleton of Dufftown 18 ans

40% alc./vol.

André 84%
Tarte pommes et bananes, beaucoup de vanille fraiche nappant un monticule de petits fruits sauvages. Le nez est superbe et hyper équilibré, doux, sans prétention mais avec beaucoup de complexité bien cachée. En bouche le whisky est toujours aussi doux, axé sur la pomme et les fruits sauvages, poires et fruits tropicaux, un brin de sherry, enrobé de vanille et de toffee. Les céréales au miel sont aussi perceptibles en fond de bouche. Le choix du taux d’alcool me laisse un peu ambivalent ; d’un côté la douceur des arômes et des saveurs s’en accommodent parfaitement, d’un autre côté, le dégustateur se sent peut-être un peu lésé par la mollesse un peu paresseuse du whisky. Peu importe, l’expérience dans son ensemble est intéressante en autant que ce soit le type d’expérience que vous recherchez. Finale presque expéditive, fruitée à souhait et sucrée avec une belle livraison de miel, de vanille et de toffee. Un bon whisky d’une simplicité juste et réussie.

Patrick 85%
Je me confesse: Je m’en suis servi un second verre dès que le premier fût terminé. Pas qu’il s’agisse d’un grand dram de dégustation, mais il est méchamment facile et agréable à boire! Je le qualifierait en fait de « whisky de voyage », la bouteille qu’on achète à la première boutique hors-taxes qu’on croise à notre départ, et qu’on ne prévoit pas ramener à la maison. Nez : Délicat parfum de malt, avec des notes d’agrumes, de fruits exotiques ainsi qu’un soupçon de caramel. Bouche : Orge et caramel, avec quelques fruits, des notes lointaines de chêne et une bonne dose de sucre blanc. Finale : Un peu courte à mon goût, mais tout de même agréable.

Martin 84.5%
Coloris or et ambré somptueux qui a tendance à vouloir tirer au orangé. Nez: Melon au miel et tarte aux pommes. Fruits secs et granola dans un yaourt à la vanille. Vraiment agréable, quoiqu’un peu simpliste. Bouche: Caramel, melon et miel surfent malheureusement sur une texture très aqueuse et diluée. Quelques notes d’agrumes tentent une percée. Finale: Plus longue et intense que ce à quoi je m’attendais. Pointes d’épices à steak, de fruits sucrés et de miel. Équilibre: Une belle réussite, malgré le fait que sa texture ne rende vraiment pas justice à son âge.

Kilchoman 2008 Vintage

46% alc./vol.
La ferme-distillerie de Kilchoman, sur Islay, continue la série des millésimes débutée en 2013 et lance cet automne Kilchoman 2008 Vintage, leur plus vieux single malt à date. Distillé en 2008 et embouteillé en 2015, il est le fruit de l’assemblage de plusieurs ex-fûts de bourbon.

André 92%
Typique Kilchoman au nez, cette tourbe grasse et maritime, sensation huileuse soyeuse, beaucoup d’agrumes et de citron, sel de mer mélangé de miel vanillé. La bouche est puissante et costaude, mais avec une douceur huileuse vraiment agréable. Ouverture sur la tourbe fruitée, puis mélange de miel, de vanille et d’agrumes huileux, puis une pointe d’oranges et d’ananas. Longue finale, la tourbe est encore une fois puissante, l’ananas, les agrumes et les oranges s’étirent longuement. Superbe texture unique à Kilchoman comme on l’aime.

Patrick 92%
Un autre excellent Kilchoman, tout en retenue, mais dont on sent tout de même la puissance. Toutefois trop cher, mais si vous décidez de vous gâter, il ne vous décevra pas. Nez : Fumée de tourbe intense, un peu d’épices, une touche de chocolat et de vanille, avec deux gouttes d’agrumes. Bouche : Fumée de tourbe enveloppante, avec des fruits tropicaux sucrés et une touche très subtile de chocolat. Finale : D’une belle longueur et épicée.

Martin 92%
Nez: Tourbe herbeuse et touche de fruits. Citron, miel et pointe herbacée. Superbe. Bouche: Belle texture qui transporte les saveurs de tourbe, de cendre, d’herbe séchée et d’agrumes. Miam miam certain. Finale: Chaude et épicée, mais surtout tourbée et cendrée. On a l’impression que le taux d’alcool est supérieur à ce qu’il est réellement. Équilibre: Un grand dram, tourbé et fruité à souhait, encore une fois comme il ne s’en fait plus.

Laphroaig 10 ans Cask Strength Batch #5

57.2% alc./vol.
Embouteillé en février 2013.

André 94%
Incompréhensible de ne pas trouver ces éditions Cask Strength sur les tablettes en éditions phare…. Intensément Laphraoig et d’une douceur incroyable malgré le taux d’alcool. Mélange de tourbe phénolique que la barrière d’agrume, de poires au caramel, de plaster Band-Aid et de feu de pneus sur la plage. On y retrouve aussi quelques relents de fruits rouges tirés des fûts de sherry, genre discrète confiture de fruits sauvages. Hallucinant la texture huileuse en bouche pour un whisky si vif en alcool. En bouche, texture hyper huileuse, fumée fruitée, chocolat noir, cuir élimé, tourbe terreuse, iodée et médicinale, vagues de miel et de vanille se roulant dans des nuages d’épices. Bonbons Fisherman’s Friend et eucalyptus, bonbons casse-grippe au miel, oranges, agrumes. La finale est douce et posée, quoi que très affirmée. Tourbée et maritime, médicinale et verte, un peu terreuse et fruitée. J’adore cet embouteillage, équilibre parfait, belles nuances fruitée, moelleux de la vanille, notes de chocolat noir, fumée de tourbe.. La totale…

Patrick 93%
Nez : Intense fumée de tourbe salée. Chêne, vanille et poivre viennent compléter le tout. Bouche : Tourbe, poivre, fumée, sel…. Puis le chêne et la vanille. Pointe de chocolat noir. Finale : Longue et intense. Marquée par le sel et la tourbe. Balance : Brutal, sans subtilité et intense. Bref, Laphroaig comme on l’aime.

Bruichladdich Links 15 ans Valhalla

46% alc./vol.
Bouteille #7483 de 18000

André 83.5%
Petits fruits rouges, blood oranges, fruits tropicaux, sherry, chocolat noir, petite fumée discrète en toile de fond qui s’accompagne d’un filin de sel de mer. L’arrivée en bouche s’exprime via une texture huileuse, le sherry fruité est très épicé, à la limite aiguisé et franc. Mélange de fruits tropicaux, de sherry épicé, d’oranges avec une finale de bouche fumée, poivrée et salée. La sensation poivrée et épicée s’accroche au palais et non sur la langue. Le whisky migre par la suite sur des notes de caramel desquelles s’extirpent de bonne vagues d’épices(cannelle et muscade) poivrées sans se départir de son écharpe de sherry.

Patrick 84%
Un bon dram riche, savoureux et surtout très chaleureux. Mais qui ne me jette pas non plus en bas de ma chaise. Nez : Parfum riche et profond, avec des notes vineuses assez intenses, recouvrant l’orge, le chêne et un peu de glaçage de gâteau à la vanille. Bouche : Fruits mûrs, épices, chêne brûlé, orange, vanille brûlante et pointe subtile de caramel. Finale : Longue, savoureuse et intense.

Martin 86.5%
Beau brun orangé, été indien. Nez: Exquis d’entrée de jeu. Orange sanguine, raisins, sherry, vin et chocolat noir. Légère fumée. Bouche: Texture huileuse et savoureuse. Raisins, toffee, épices et caramel. Cuir et fruits bien rouges, enveloppé par de la tourbe et du poivre. Muscade et cannelle. Finale: Chaude et longue, en gardant toutes les notes classiques du sherry cask, sans toutefois être trop sèche. Équilibre: Un dram très solide, qui encore une fois n’est qu’une édition limitée. Parfait autour du feu.

Macallan 25 ans Sherry Oak Cask (2015)

43% alc./vol.

André 94%
Raisins secs, pâte de fruits, cerises noires, vieux sherry poussiéreux. Sherry excessif, mais pas extrême, oranges roulées dans le chocolat noir, caramel. En bouche, encore la pâte de fruits et les cerises noires, dattes et prunes dans leur emballage de cellophane. Texture soyeuse et veloutée, très texturale. Une intensité contrôlée, qui frôle l’extrême du sherry. Petite touche de fumée en fond de bouche, un secret de tourbe murmuré. Les saveurs sont peut-être un peu trop limitées mais l’intensité de celle-ci ne peut que vous séduire. Finale où les épices sont plus volatiles mais la discrétion est de mise, les fruits s’étirent sans fin. La similitude avec le Rare Cask (goûté récemment) est directe. Encore un retour sur le sherry qui a séduit les vieux amateurs comme moi voilà plus d’une décennie et qui est manquante des nouveaux embouteillages (même le Ruby). La qualité des fûts de sherry est indéniable et le rendu final est digne de l’extase. À 1600$ la bouteille, on attend rien de moins que de presque toucher la perfection.

Patrick 90%
Un superbe whisky que j’aimerais bien recevoir en cadeau! Je n’en ferais toutefois jamais l‘achat, car c’est plutôt cher pour une bouteille qui a autant été diluée à l’eau! Dommage. Pour richissimes-trippeux-mais-pas-connaisseurs. Nez : Tsunami de xérès boisé, de vanille, de cuir et de caramel onctueux. Bouche : Suave et chaleureuse, marquée par le xérès, les fruits mûrs, le bois brûlé, le cuir, quelques épices (dont une note de clous de girofle et de cannelle), ainsi que de la vanille brûlante. Finale : Longue et savoureuse, portée par la chaleur des fruits mûrs.