Mackmyra Special #07 Framtidstro (Hope)

45.8% alc./vol.
Mélange de la recette « Smoke & Elegant » vieillie dans plusieurs fûts variants de 30 à 200 litres puis affinés dans des fûts de premier remplissage saturé de vin de fruits sauvages (cloudberries). Située dans la province du Gästrikland, la distillerie Mackmyra ouvre ses portes en 1999. Unique à plus d’un titre, Mackmyra est la seule distillerie suédoise à produire du whisky. Elle utilise une orge d’origine suédoise pour élaborer ses single malts. L’eau provient d’une source souterraine alimentée par les monts Valboåsen. Une partie du stock de whisky repose en fûts de 100 litres. Mais Mackmyra utilise également des ex-fûts de bourbon de premier remplissage qui une fois remplis sont entreposés à 50 mètres sous terre dans la mine de «Bodäs». Elle utilise également des fûts de chêne neuf suédois issus d’une forêt située sur l’île de Visingsö, plantée il y a plus de 160 ans afin de pourvoir aux besoins en bois pour les vaisseaux de la marine militaire.

André 86%
Nez doux et liquoreux; bananes, vanille et poires. Fond alcoolisé bien sucré. Belle fraicheur en bouche, on ressent plus intensément les notes de bois neuf et l’alcool également. Les fruits sont bien là mais relégués en arrière plan, les céréales ont elles aussi gagné en importance. L’ensemble est beaucoup plus sec. Finale plus pointue sur des notes de vin blanc s’affublant de rafales de bois sec.

Patrick 89%
Au nez, gâteau forêt noire (chocolat et cerise)… Sucré, très doux. En bouche, nous sommes surpris car le nez laisse présager quelque chose de sucré… On y retrouve plutôt la sève habituelle de Mackmyra avec une amertume de noix. L’ensemble, astringent, donne l’impression d’être plus alcoolisé qu’il ne l’est vraiment. La finale est relativement longue et marqué par les noix (en fait, la « peau » des noisettes). Original, bien équilibré.

Martin 90.5%
Belle couleur jaune paille foncé. J’ai soif. Nez: Citron, fruits des champs et gomme de sapin. Léger avec un fond d’herbe, de vanille et de noisettes. Bouche: Fruits et épices dominés par la signature de poire Mackmyra. Excellent. Finale: Épicée, longue et joyeuse. Organique, le genre de finale qui nous rend heureux du fait d’être plus homme que machine. Équilibre: Framtidstro, espoir comme dans « j’espère que la bouteille n’est pas vide ». Rafraîchissant à l’extrême. Ça doit bien passer avec des pétoncles.

RV 88.5%
Une belle féline, moins rapide mais avec de l’élégance. Plus rond autant au nez qu’en bouche, le chimique de Mackmyra y est toujours mais plus en arrière-plan. En bouche plus affirmé, le grain fait rapidement oublier le feutre. Plus juteux, moins poivré, l’édition spéciale est domestiquée et par conséquent plus douce. Enfin, l’aftertaste qui ne se pointe que 2 minutes après la dernière gorgée est surprenante.

Mackmyra Special #04 Double Dip Bourbon

53% alc./vol.
Procédé de double maturation. Première période en gros fûts de bourbon et seconde période de maturation en petits fûts de 30 litres fabriqués à la main.Cette édition est vieillie dans la mine de Bodas située sur l’île de Fjäderholmarna.

André 85.5%
Nez très doux, mélange de vanille au citron, de poires, tout de nuances et en douceur. Tout le contraire en bouche de par sa puissance en alcool, ses fortes épices et les saveurs de bois sec. Le sucre apporté par le fût de bourbon est bien perceptible en bouche mais je m’attendais à quelque chose de plus prononcé comme éléments sucrés. L’alcool semble un peu trop fort pour la délicatesse des saveurs, ce qui est encore plus évident en finale où la conjonction épices-bois sec et alcool annihile les saveurs plus délicates. Une fois l’alcool dissipé, les fruits reviennent, mais la bouche, bousculé par les puissantes vagues d’alcool et épices, ne pourra pas en apprécier les qualités, toujours un peu engourdies par la force de ces dit éléments.

Patrick 88%
Nez frais marqué par le citron, la poire, la vanille et une touche épicée. En bouche, les saveurs se bousculent : citron, bananes, poires, orge, vanille et un caramel épicé. On ne sent définitivement pas la force de l’alcool, ou en plutôt juste assez! La finale s’étire sur un sucre épicé d’agrumes. Une superbe balance, une fraîcheur incroyable, encore une réussite de Mackmyra!

Martin 90%
Nez: D’une légèreté exacerbée. Gros chêne à peine sucré. Image de pommes vertes et de vanille. Touche de vernis à ongles. Bouche: La vanilline des fûts de bourbon prend toute la place à l’aube pour être sommairement mise au rancart au profit d’une ambiance de New Make. Finale: Longue et chaude. L’influence du bourbon reste jusqu’au bout, un vrai soldat. Équilibre: Il fait bon y revenir à chaque gorgée. Assez doux au goût et fort en alcool, parfait pour initier un néophyte aux expressions Cask Strength.

RV 91.5%
Whisky, Fruits, Défi. Nez à l’opposé de l’indifférence, est-ce que ce whisky est trop fruité? Et puis non, puisqu’agrémenté de caramel tout aussi doux. L’arrivée est timide puis les prunes et les groseilles se mettent à se chamailler dans une chaleur digne du taux d’alcool, sans retenue. Finale étrange où le grain et le sucre continuent le combat dans un feu sec et majestueux, et un aftertaste où ce qui reste du liquide est un peu disparate mais délicieux. Certes challengeant, pas nécessairement pour les débutants mais ce whisky est mon genre d’expérience en tant qu’amoureux de whisky.

Mackmyra Brukswhisky (The Swedish Whisky)

41.4% alc./vol.
Même recette nommée « Elegant », maturation en fûts de bourbon et afin d’y apporter un côté épicé, transférés dans une combinaisons de fûts de plus grande et de plus petite capacité.

André 88%
Mackmyra a su comment se démarquer et s’attribuer des arômes distinctives d’entre tout les autres whiskies. Cette édition est tellement représentative du style Mackmyra, c’est est étonnant. Superbe au nez; lime et citron, agrumes. Un nez distinctif et bizarre comme seul Mackmyra peut le faire. En bouche, texture huileuse et fluide à saveurs de poires, de myrtille et de fruits sauvages (ces même fruits que l’on retrouve dans l’édition 07). La finale se poursuit de la même façon et sur les même notes en descente lente et posée. Un whisky simple et très agréable surtout par une belle et chaude journée d’été.

Patrick 90%
Nez très léger, très frais, marqué par les agrumes, avec un soupçon de Spécial K aux fraises. En bouche, les agrumes sont très présentes, avec du raisin vert, des myrtilles et un superbe sucre. La finale est très sucrée et feuillue. Une impressionnante diversité de saveurs dans une balance idéale. L’un des meilleurs rapport qualité/prix pour les single malt.

Martin 94%
Nez: Très frais et estival. Images de ponton. Fraises et crème fouettée. Poire et caramel. Céréales et petits jujubes à 1¢. Ça me rappelle le Perrette. Bouche: Huileux et onctueux. Un brin plus fort qu’au nez, mais le côté sucré fait pardonner bien des péchés. Chêne, bourbon, fruits au sirop. L’eau à la bouche, on en veut toujours plus. Finale: Feutrée, pas invasive. Cacao, raisins blancs, vanille et épices déscendent harmonieusement dans ma bedaine. Équilibre: Un whisky vachement bien construit. La base des Mackmyra, mais bon dieu qu’ils visent haut. Pas mauvais du tout avec quelques fromages forts de pauvre… Un Mack & Cheese comme je les aime.

RV 87.5%
Même si je garde en tête leurs filles blondes, j’oublie le hockey et les autos douteuses: pour moi la Suède c’est le whisky bizarre et délicieux. Débute avec des oeufs à la coque écrasés avant de les mettre dans les petits sandwichs en triangle, des fleurs et un soupçon de chimie qui fait penser à la Suède (ou plutôt son whisky). En bouche, sur un fond d’épices le whisky huileux pousse son étrange tourbe. Super typique, la finale présente les myrtilles, les raisins, le feutre et le cure-pipe de l’établissement. Une excellente et représentative édition; un très bon placement, autant au niveau de son prix que de son goût.

The Rich Spicy One

40% alc./vol.
Un assemblage de single malts, soit 50% de Tamdhu Spanish Oak Sherry Butts,10% de Tamdhu bourbon dump hogsheads, 10% de Highland Park Spanish Oak Mature Butts, 20% de Glenrothes Spanish Oak Sherry Butts et 10% de Bunnahabhain American oak sherry puncheons.

RV 82%
Mielleux et finement épicé, avec un peu de l’olfaction usuelle de plusieurs bourbons, avec une certaine cire de chandelles. Arrive de manière assez convaincante, tout en épices, et semble prendre de l’expansion entre la langue et le palais. On retrouve le mielleux en début de finale, mais il est graduellement remplacé par les épices avant de terminer un peu rapidement. Un vatted difficile à sizer, mais qui se prend très bien, relax et tranquille, sans faire trembler quiconque. Quelques points vont par ailleurs à son bel équilibre, après tout il s’agit d’un mélange qui aurait pu être davantage débalancé.

The Smokey Peaty One

40% alc./vol.
Un assemblage de single malts, soit 5% de Caol Ila refill casks – ex American oak bourbon barrels, 12% de Laphroaig American oak bourbon barrels, 17% de Bunnahabhain American oak sherry, 9% de Bunnahabhain oak bourbon barrels, 26% de Highland Park Spanish Oak Sherry butts, 14% de Highland Park oak hogsheads, 9% de Ledaig oak bourbon barrels et 8% de Bowmore oak bourbon barrels.

André 87.5%
Définitivement Islay au nez, qui est à la Caol Ila. La tourbe se révèle avec force, le sel lui est fugace mais aussi présent quoique discrètement…au nez du moins. L’arrivée en bouche est très fluide, tellement qu’il nous fait abaisser nos barrières gustatives de part sa douceur. C’est en fait pour mieux nous endormir afin d’être submergé pleinement par la tourbe sucrée Islayesque et le piquant légèrement anesthésiant de l’alcool. La finale, tout en sel de mer, est très veloutée et d’une belle longueur. Idéal comme introduction avant de passer aux single malts plus musclés de l’ile d’islay.

RV 87%
Tourbé mais pas très fumé au nez, avec un petit quelque chose de sucré. Belle arrivée en bouche, très tourbée et légèrement goudronnée, avec un peu de fumée qui meure dans une finale plus longue que dans mes souvenirs. Toutefois, trop peu d’aftertaste pour être qualifié de merveilleux. Il ne faut pas se laisser décourager par le nez, c’est un très beau vatted bien conçu, à un prix qui vaut le détour pour essayer le produit de l’effort de trois trippeux . De plus, c’est peut-être le genre de bouteille à servir à quelqu’un pour commencer une dépendance aux scotches d’Islay.

Duncan Taylor Regional Collection Islay Blended Malt

40% alc./vol.

André 88.5%
Un nez à la Kilchoman; j’adore ! Du charbon sale, ça sent la suie et les anciens trains à vapeur. L’attente est grande car au nez, il ne peut renier ses origines. Un p’tit côté sucré et salé agrémente le tout. Catastrophe… l’arrivée en bouche est molle mais ce n’est que de façon temporaire car il explose par la suite en bouche avec des attributs de kiwi et de fruits de la passion s’enveloppant d’une écharpe de tourbe et de suie de charbon. Belle longueur en finale même si l’effet n’est ressentie qu’en bout de langue plutôt qu’avec son effet enveloppant propre aux whiskies plus âgés, mais je suis loin d’être déçu mis à part l’arrivée en bouche où il se dépouille de quelques points.

RV 85%
Du beau petit gibier, facile à capturer et dévorer. Et un vrai Islay. Tourbe salée, un peu mince mais bien là. Appétissant, léger en bouche mais le sel demeure stable malgré la tourbe qui joue du coude. Finale de poivre blanc, assez longue pour un blend. Une réserve spéciale Islay pour la visite qui s’en tire très bien un soir seul lorsque le chasseur de single malt n’est pas à l’affût d’une très grosse prise.

Patrick 86%
Fumée poivrée et tourbe jaune. Tourbe jaune très intense, suivi de fumée aux stéroïdes et de sel. Belle finale. On dirait un single malt par son intensité!

Douglas Laing Double Barrel Macallan & Laphroaig

46% alc./vol.
5e édition. 8 ans d’âge.

André 86%
Pour reprendre la phrase désormais célèbre de Fred Laroche ” Mélanger du Laphroaig avec du Macallan, c’est comme donner une quéquette à une fille ?!” En tout cas, au nez, c’est tout à fait Laphroaig; maritime, phénolique, médicinal, avec un parfum plus velouté en toile de fond. Il y a un peu de retenue dans le nez, ce qui est plutôt intriguant pour un Laphroaig, Un peu bizarre en bouche, texture un tantinet rocailleuse, de sel marin puis médicinal pour ensuite passer aux notes plus sucrées de chocolat et de fruits. Ces même notes fruitées s’éclipsent rapidement en finale et laissent les saveurs maritimes et tourbées du Laphroaig s’occuper de la finale. L’ensemble manque de punch même si l’expérience est intéressante.

RV 83.5%
Les opposés ne s’attirent pas toujours. Curieux mélange où le Laphroaig est trop fort et donne un aspect de fleurs pourries au trop doux Macallan. L’arrivée en bouche donne un feeling agréable et doux avant la cendre du Laphroaig. La finale est correcte, lorsque décortiqué il est bien, mais je reste avec le feeling que c’est davantage un mariage forcé que d’amour véritable.

Patrick 84%
Nez très peu subtilement tourbé-à-la-Islay. Avec de la fumée. En bouche, l’arrivée en bouche semble avoir été noyée dans l’eau. En fait, l’expérience au complet semble diluée. Dommage. Les saveurs sont excellentes, mais la sensation en bouche manque d’un petit quelque chose. Tourbe, sel, sucre, fruits rouges… Finale un peu courte. Les bonnes saveurs sont présentes, bien équilibrées entre elles, mais on dirait qu’un voile vient en masquer la pleine dimension. On sent le degré d’alcool plus élevé, mais on a aussi l’impression qu’on a ajouté trop d’eau dans mon verre. Bon. On a un peu gâché 2 bons whiskys ici selon moi. Bonne idée, mais était-il réellement besoin d’en faire autant de bouteilles?

Angel’s Envy

43.3% alc./vol.
Kentucky straight bourbon whiskey affiné en barriques de porto.

André 82%
Salade de fruits, oranges, sous une étoffe très soyeuse au nez. C’est un bourbon ça ??? En respirant, oui, peut-être… avec ses arômes distinctifs de fruits sauvages rouges et cette typique touche d’épices. Ça ressemble à ces feuilles de pâte de fruits que l’on achète et que les enfants roulent pour manger. En bouche, c’est plus ambivalent avec une tendance vers le bourbon (les fruits rouges et les épices) et une texture quelque peu cireuse en finale de bouche. La finale confirme le statut de bourbon, affublé d’un voile orangé et de fruits épicés.

RV 81%
La corne d’abondance se réduit à ce point à mesure qu’on s’y enfonce? À l’image de la bouteille, beaucoup de personnalité, avec un fond de Glen Garioch, de miel, de trèfle et de lilas, mais déjà à l’olfactif on peut se douter que le caramel va pousser trop fort la note. En bouche, d’abord le sirop caramélisé, puis le fût, et enfin le bourbon standard qui domine jusqu’en finale où du blé remonte. Pas vraiment impressionné par ce qui semble du Knob Creek au blé.

Patrick 79%
Nez très léger de bourbon, épices et chêne, avec touche de fruits. En bouche, gros chêne brûlé, épices et jus de fruit. La finale est épicée avec une touche de sucre. Le porto n’est définitivement pas un plus. L’ensemble manque d’équilibre.

Douglas Laing Double Barrel Bowmore & Highland Park

46% alc./vol.
Ce Double Barrel résulte de l’assemblage de deux fûts des distilleries Bowmore et Highland Park. La gamme Double Barrel a été lancée par les frères Laing en août dernier. Issue de la technique du « vatting », c’est-à-dire de l’assemblage de fûts, Fred et Stewart Laing ont sélectionné pour chacune des mises en bouteille des distilleries iconiques : Laphroaig et Macallan, Bowmore et Highland Park. Comme son nom l’indique, Double Barrel résulte de l’assemblage de deux fûts de deux distilleries.

André 94%
When Orkney meet Islay. Un Tango langoureux, passionné et un brin animal où la douce tourbe d’Islay et le miel de bruyère des îles Orkney mènent le bal chacun leur tour. Suave et amoureux en bouche, agrumes – principalement les oranges – et la vanille très crémeuse accompagnée d’un soupçon de sel marin. La bouche est extraordinaire et les vagues successives des éléments distinctifs d’Islay (sel, douce tourbe) et les traits distinctifs de Highland Park (miel de bruyère, chocolat) prennent le relais chacun leur tour, comme un ballet de vagues interminable. La finale est incroyablement longue, ce qui accroit la surprise car jamais on aurait pensé qu’une concoction aussi douce pouvait garder une si longue persistance en bouche. Léger retour sur la poussière de pierre salé en rétro-olfaction que le miel et la vanille réussit toujours à adoucir. Une vraie petite perle créée du meilleur des deux mondes. Le « bad boy » a finalement rencontré sa « girl next door ».

RV 84.5%
Boxe avec 2 pugilistes de talent semblable, simplement un qui est 2 fois plus pesant que l’autre. Olfactivement, plein de bon Bowmore bien salé mais aussi avec la cendre du Laphroaig, et un fond d’herbe de bord de rivière. En bouche, c’est la puissance du Bowmore qui domine toujours au-dessus d’une faible dose de chocolat. Peu de développement en bouche avant une offensive du HP rapidement écrasée par le trop fort Bowmore. Le combat se termine en KO dans une finale toute juste assez longue mais aussi peu goûteuse. Drôle de match.

Patrick 80%
Woooooo! Ok, un mélange peu orthodoxe de tourbe, fleurs, fruits, cendre et herbes. Je suis un peu débalancé par le nez… En bouche, la tourbe prends le dessus, tout en laissant en arrière plan des notes florales, cendreuses et vanillées plutôt étranges. La finale s’étire longuement sur une tourbe bizarre. Globalement, l’équilibre est… étrange? Définitivement un mélange que je fantasmais de voir. Mais, comme bien des fantasmes, il est souvent mieux de les confiner à notre imagination.

Haig Dimple Pinch 15 ans

43% alc./vol.

André 75%
Un peu le nez du Compass Box Hedonism mais en pas mal moins sophistiqué. Épicé – Gingembre ? Le nez est meilleur (ou moins désagréable) que la bouche. Le sucré apparait au nez à mesure que l’on laisse respirer le verre mais une fois en bouche, aucune trace du sucré. Manque de personnalité et pas dans ma palette gustative personnelle. La présentation de la bouteille est superbe mais le contenu lui…. Une fille en belle robe de soirée mais qui ne se rase pas le pouelle de d’sours des bras pis qui sacre sans vergogne. La classe est dans le contenu et non seulement dans le contenant. Une belle bouteille, bien présentée, mais les amateurs ne se laisseront pas nécessairement duper par de si faciles apparences.

RV 75.5%
Vanille, très doux et calme. Pointe de fumée sur la langue et des épices assez tranquille, c’est en début de finale qu’il est a son meilleur mais l’aftertaste n’est qu’une wave décroissante. Ok mais sans plus. Un demi-point parce que c’est c’est un blend avec boite et une belle bouteille.

Patrick 76%
Nez très léger, orge, vanille épices et fumée. Au goût, les épices prennent plus de place. Il semble y avoir un léger sherry mais qui est rapidement emporté par une finale où une pointe de fumée, mais qui disparaît un peu trop rapidement.