Kilchoman Original Cask Strength Quarter Cask Matured

56.9% alc./vol.

André 94%
Fasten your seatbelt… Wow, hallucinant. Le meilleur de ce qu’un whisky peut offrir; taux d’alcool, tourbe prononcée, saveurs maritimes, fruits tropicaux et exotiques, équilibre parfait. Une histoire bien racontée en saveurs. Nez de fumée de tourbe médicinale et grasse mais très raffinée, saveurs maritimes avec embruns salée et fraicheur du large, caramel et vanille onctueux, fruits tropicaux de poire, d’ananas, la banane flambée, le miel. La bouche développe encore plus ces saveurs et offre maintenant de l’orange, de la crème brûlée, des vagues de citron et de sorbet au limoncello, s’enroulant dans des draps de tourbe phénolique et maritime. On dirait que ce whisky est porté par la mer et l’essence même de son lieu de conception. La finale de bouche est un mélange de chocolat noir, de sel de mer et de fumée médicinale alcoolisée. Superbe texture, hyper sensuelle préservant la bouche de la morsure d’alcool. La finale est longue, bien tourbée qui s’évapore lentement sur la langue et l’alcool qui titille les papilles. Les fruits sont savoureux, la texture délectable. 160$ en SAQ vous vous dites… pour un whisky de 6 ans? Oui… et après avoir goûté cet échantillon, je vais définitivement en acheter une bouteille! Du grand Kilchoman, comme quoi, certains No Age Statement whiskies peuvent botter le cul de bien des whiskies avec mention d’âge…

Patrick 93%
Un extraordinaire whisky, complexe, superbement balancé et meilleur de gorgée en gorgée. Toujours trop cher à mon goût (surtout pour un whisky de 6 ans de vieillissement seulement), mais si vous en avez les moyens, n’hésitez pas à vous gâter ! Nez : La belle tourbe sale d’Islay que j’aime tant ! Algues, fruits tropicaux, goudron, notes médicinales, agrumes, miel et poche de hockey après les séries. Bouche : Fumée, poivre, tourbe, orange, citron, sel, sel, sel et un peu de caramel. Genre, juste assez pour que le whisky soit sublime. Finale : Longue, salée, sucrée, pleine d’agrume et de … heu… de saveurs ! Wow !

Martin 94%
Nez: Plus doux que mes attentes. Tourbe maritime, orge, algue, citron, pierre lavée avec une touche d’asphalte et de fleur de sel. La tourbe est dodue et élégante à la fois. Bouche: Miel chaud, épices, tourbe iodée, pierre lavée, citron, encore épices, caramel salé. C’est complexe en sale et àa prend un certain temps à assimiler. Finale: Épicée, chaude, sucrée et salée. Tourbée à souhait et d’une longueur exquise. Équilibre: Bien que Kilchoman soit une distillerie relativement jeune, ses embouteillages ne cessent de nous surprendre. De vraies rock stars!

Glen Garioch 16 ans – The Renaissance 2nd Chapter

51.4% alc./vol.

André 77.5%
Très dénaturé, on a peine à deviner le whisky sous l’étoffe fruitée très intense. Avalanche de raisins, Kool Aid aux raisins en poudre, pruneaux séchés, petits fruits séchés, dattes, chocolat noir. La bouche est plus épurée, texture un peu floue et malhabile, plus crémeuse que le laissait supposer le nez, plus épicée aussi avec les pointes de gingembre de bonne force. Les fruits secs et le raisin prédominent et se drapent d’écharpe d’épices un peu frivoles, quelques cosses d’oranges au passage avec de savoureuses notes de toffee, de céréales maltées et de crème brûlée. La finale de bouche livre les secrets du taux d’alcool qui demeurait très discret jusqu’à cette étape de la dégustation. Outre le fait que ce whisky verse dans l’excès de saveurs qui le dénaturent, ce whisky offre une mauvaise pléiade de saveurs dont l’agencement laisse à désirer. Pour un Glen Garioch c’est le dépaysement total, définitivement du jamais vu. Ça bouscule comme présentation. Ce whisky trouvera probablement un public cible mais à mon avis les omniprésentes saveurs de raisins et de fruits cachent toutes les nuances qu’aurait pu présenter les saveurs.

Patrick 83%
Un bon whisky, d’un style très différent de ce que je suis habitué de voir venant de Glen Garioch. La balance laisse toutefois un peu à désirer. On dirait qu’on a utilisé un fût qui n’était pas au top dans le mix… Le Glen Garioch que j’ai le moins aimé depuis qu’on a revampé la marque. Nez : Parfum très fruité, avec un mélange de fruits frais et de fruit mûrs, avec une touche de caramel réchauffé et quelques fleurs. Bouche : Très chaleureux, fruits très mûrs, caramel, miel, bruyère, abricots, céréales et quelques notes de bois brûlé. Finale : Longue, marquée par les fruits mûrs et un sucre très chaleureux.

Old Particular Glenrothes 16 ans

56.4% alc./vol.
Distillé en octobre 1997, embouteillé en août 2014 depuis le fût #DL104587 Refill Hogshead, 277 bouteilles.

André 85%
Superbe texture en bouche, liquide mais concentré, huileux à souhait, débutant par une vague massive de fruits rouges, les raisins secs, les bananes, suivi pas d’étonnantes épices et de poivre. La bouche est bien soutenue, fruitée à souhait, raisins secs, mélange de bananes en purée et pomme poire, melon au miel, se stabilisant dans des draps de sherry bien campés. La finale est peu off-key mais l’ensemble de saveurs est agréable et se marie bien ensemble. Un Glenrothes agréable mais qui démontre bien l’ambivalence que peut démontrer cette distillerie dans ses embouteillages. J’aimes les saveurs et arômes variés, la texture amoureuse et la quiétude des saveurs fruitées (malgré le léger off-key de la finale).

Patrick 82%
Un whisky qui s’annonce bien au nez et à l’arrivée en bouche, mais dont l’expérience se gâte rapidement. Dommage, c’était bien parti. Je ne comprends pas l’idée de mettre en vente un tes single cask (et ce, à un prix si élevé !) pour une qualité qui est somme toute, bien moyenne. Définitivement, il y a des acheteurs à la SAQ qui ne font pas leur job quand on pense à tous les produits extraordinaires qu’ils ne considèrent pas assez bien pour les québécois. Nez : Savoureux et riche parfum, avec du caramel, des raisins secs, de petits fruits rouges et une bonne dose de vanille. Bouche : Très fruité, avec de beaux raisins secs, du caramel, une bonne dose d’épices, un peu de pommes vertes et du sucre d’orge. Finale : D’une belle longueur, épicée, avec des notes de cassonade… Et un je-ne sais-quoi de mal balancé. Dommage.

Old Particular Dalmore 17 ans

55.5% alc./vol.
Distillé en mai 1997, embouteillé en août 2014 depuis le fût #DL10247 Refill Hogshead, 237 bouteilles.

André 83%
Hors norme pour un Dalmore; tarte au citron, meringue flambée, toffee, vanille, petits fruits sauvages discrets. La bouche est soutenue, bien alcoolisée. Encore ces saveurs de citron et meringue, beaucoup d’influences du fût de chêne, la vanille est veloutée et crémeuse, le caramel agréable, ce qui cache bien les fortes épices. La finale est portée par les épices et les saveurs du bois de chêne, lit de saveurs citronnées et baffe d’alcool. Ce whisky offre une belle alternative au sherry opulent de habituellement préconisé par Richard Paterson, ce whisky riche à l’extrême, qui ne plait pas à tous. On a droit ici à une version plus posée et réfléchie, moins tape-à-l’œil qui revient peut-être même aux racines de la distillerie.

Patrick 80%
Je ne suis pas un fan de Dalmore (à cause de leur style « vendeur de parfums cheaps ») et ce whisky me conforte dans cette voie. Je ne comprends pas qu’on ait fait un single cask avec ce whisky, on aurait plutôt gagner à le noyer dans un blend quelconque. Nez : Agrumes, fudge, vanille et sciures de bois. Bouche : Belles épices boisés, citron et une touche de poivre. Finale : Belle finale sèche et épicée, avec une bonne dose d’agrumes.

Jack Daniel’s Single Barrel #13-3558

47% alc./vol.

André 89%
Superbe, à tout point de vue. Ce whisky a définitivement la trempe des Booker’s… Nez intense et entier. Réglisse rouge, fruits sauvages, cerises rouges bien mûres, pelure de pomme rouge avec cire dessus, cannelle, gingembre, épices. La bouche est grasse et très ronde, vraiment texturée, les saveurs très intenses et le taux d’alcool semble dépasser le 50%. L’aventure débute avec le bois légèrement brûlé, pluie de fruits rouges et de cerises noires, encore la pelure de pomme que ceinture une pléiade d’épices soutenues. Ce qui étonne c’est la dose de sucre qui balance les épices. Cela rend le whisky très agréable à boire et relativement facile d’approche. Légère sécheresse en finale, picotement de l’alcool comme des petits feux d’artifices sur la langue, avalanche de fruits rouges, de cerises, de poivre et d’épices. Ça coule en bouche comme du bon sirop.

Patrick 88%
Une très bonne batch de single barrel, complexe, intense et superbement balance. Nez : Parfum de bois brûlé, de belles épices avec une touche de cerise. Bouche : Épices et cerises, bois épicé, vanille et un sucre succulent. Finale : Longue, marquée par le bois brûlé et une touche de poivre.

Jack Daniel’s Single Barrel #13-2778

47% alc./vol.

André 83%
Fruits habituels du style, crayon de cire, cannelle, réglisse rouge, cassonnade. Relativement commun mais superbe agencement de saveurs. En bouche, pleine bouchée de cerises rouges, réglisse noire et rouge, cannelle, pelure de pomme. La texture est malheureusement un peu éparse et molle, un peu anonyme et n’a pas la chaleur amicale des habituels JD single barrel… Finale plus épicée, la cannelle est plus prononcée et s’affuble de quelques notes de poivre noir broyées en supplément. Bon, l’idée des single cask est d’offrir des variantes entre chacune de leurs parutions. Celle-ci est en légèrement en dessous des standarts habituels mais demeure un bon whisky à siroter sur la galerie l’été par une soirée humide et orageuse.

Patrick 80%
Un bon whiskey, mais vraiment moins bien balancé que les Single Barrels habituels. Nez : Parfum de maïs sucré, de cerise et de bois. Bouche : Belles épices sucrées, maïs, bois brûlé avec un peu de vanille et de cire ? Finale : D’une belle longueur, sucrée et épicée.

Jack Daniel’s Single Barrel #16-5530

47% alc./vol.

André 90%
Je suis parfaitement d’accord avec Patrick sur cet embouteillage, wow.. Quelle belle expérience, du nez à la finale. Le nez est très fruité, avalanche de réglisse rouge et de pelure de pommes, beau rye poussiéreux et cireux, belle rondeur apportée par le maïs sucré et fondu. On remarque la contribution de chacune des céréales utilisées, le tout sans flafla et avec rien qui ressort et vole le show, tout en équilibre et en nuances. La bouche est hyper fruitée, texture grasse et ronde en bouche, encore la réglisse rouge et les pelures de pommes, belles nuances apportées par les épices du rye, sensation cireuse de résidus de crayons de cire, s’accompagnant d’une généreuse morsure d’alcool (pas féroce du tout par contre). On en redemande à chacune des gorgées, savoureux, typique mais pas quétaine ni prétentieux dans la présentation. Finale sur les influences des céréales, les fruits rouges, fruits sauvages et savate rouge, épices. Superbe embouteillage et toujours étonnant de voir les variances selon les fûts.

Patrick 90%
Wow, on dirait que ce whiskey s’améliore à chaque baril ! Un superbe whiskey « in your face ». Nez : Le beau parfum de maïs sucré, de caramel et de petits fruits. Bouche : Wow ! Chocolat amer, fûts de bourbon, fruits mûrs, vanille. Le seigle prends ici le dessus sur le maïs. Finale : D’une belle longueur et marquée par le bois brûlé.

Martin 90%
Nez: Très rond et fruité. Maïs, caramel et réglisse, avec un punch d’épices qui pourrait en décoiffer plus d’un. Chêne et charbon. Bouche: Texture superbe, tapis de réglisse rouge, de maïs et de vanille. Un beau mélange de caramel, de bois et de cannelle fait le reste. Finale: Chêne carbonisé, seigle épicé et fruits rouges. On en redemande… Équilibre: Si vous aimez Jack Daniel’s, il est grand temps que vous allongiez le 20$ supplémentaire pour une bouteille de ce calibre.

Catoctin Creek Roundstone Rye

46% alc./vol.

André 87.5%
Savoureux au nez; campé dans le style rye mais sans excès mais plutôt le contrôle des éléments. Le nez présente les saveurs primaires du seigle, ces saveurs habituelles de réglisse rouge, cerises noires, la cannelle et une présentation cireuse très funky avec une bonne dose d’épices. Le whisky est au départ satiné en bouche, la texture est encore une fois cireuse, la table est mise tout en douceur mais le rye s’accroche rapidement dans la nappe pour faire dérayer ce beau souper de saveurs. Bam… beaucoup de cannelle et d’épices, de poivre, réglisse rouge, raisins, cerises, gâteau aux fruits, les prunes. Le tout s’affine rapidement en bouche et devient plus robuste et épicé, ce qui redouble la sensation de l’alcool, un peu bitter même. Finale; épicée et poivrée même si généreusement fruitée. Pour une petite micro-distillerie, impressionnant de voir la qualité du produit. Ça prouve bien que la qualité repose sur la passion et le savoir-faire et pas seulement sur les bidoux et une grosse équipe de marketing…

Patrick 89%
Un superbe rye offrant un beau bouquet d’épices. Riche, complexe et intense comme j’aime mes rye ! Nez : Superbe parfum de seigle sucré et fruité, avec une pointe de chêne et de vanille. Appétissant. Bouche : Beau bouquet d’épices, bois brûlé et quelques cerises. Finale : D’une belle longueur, marquée par le charbon de bois.

Wiser’s Last Barrels – 14 ans – Item A.A008

45% alc./vol.
Whisky de 15 ans d’âge en ex-bourbon barrels, fabriqué en utilisant la méthode du sour mash et le mélange, composé de 80% de maïs, 11% seigle et de 9% d’orge malté fût concassé en une seule batch et non concassées et distillées séparément comme les Canadian Whiskies traditionnels.

André 93%
Ce whisky Canadien tient définitivement plus du bourbon que du whisky Canadien avec sa facture très distinctive, à l’aveugle j’aurais parié SANS AUCUN DOUTE sur un bourbon… Douceur réconfortante du maïs, le whisky est feutré en texture mais musclé en saveurs. Pommes rouges, rye, réglisse rouge, cannelle, le maïs à plein nez, c’est sucré et d’une superbe texture ronde et féminine avec un arrière-plan poivré et épicé. La bouche est robuste, le rye est bien présent avec sa signature d’épices et de réglisse rouge, de pelures de pommes rouges et bonbons en forme de poissons à saveur de cannelle, les fruits séchés et une touche boisée. Les épices gagnent en force à chacune des gorgées et le taux d’alcool semble se décupler. La finale est consistante, bien épicée mais surtout très poivrée, sur une couverture de fruits rouges et de pommes à la cannelle. Encore une fois, je suis simplement sur le cul…

Patrick 89%
Un superbe whisky riche et complexe, rappelant plus un bourbon qu’un whisky canadien… Mais tout de même avec un je-ne-sais-quoi de bien canadien. Nez : Parfum fruité avec des notes de cerises crémeuses rappelant un bourbon. Aussi, les pommes rouges, du caramel, un peu de maïs et très sucré. Bouche : OMG ! On découvre ici une tonne d’épices venant du seigle, des pommes rouges, des cerises pas tout à fait mûres, des fruités séchés et une pointe boisée. Finale : D’une longueur moyenne, avec de belles notes boisées.

Martin 90%
Nez: La gomme savon est à l’avant-plan. On pourrait lever le nez là-dessus, mais la patience nous apporte d’autres arômes. Fruits, réglisse et seigle. Épinette, pommes et cannelle. Bouche: Fruits rouges et cireux, maïs, vanille et chêne. Les saveurs sont très près d’un bourbon classique. Un bourbon avec une teneur en rye exceptionnelle. Les épices nous portent vers la suite. Finale: Épicée et boisée, tout en laissant le maïs et le seigle dominer la palette de saveurs. Savon, cerise, cannelle, poivre et vanille. Équilibre: Une superbe expérience, assez dichotomique. Sans plaire à 100% l’amateur de bourbon ni l’amateur de rye, il saura satisfaire celui qui se contente d’un excellent dram.

Wiser’s Union 52 – Collector Series – Item A.A1203

45% alc./vol.
Mélange de 4% de scotch single malt de 52 ans d’âge (1964) vieilli au Canada et de 96% whisky Canadien de 15 ans d’âge, distribué exclusivement en Colombie-Britannique.

André 93%
Quel raffinement, quelle complexité. Savoureux au nez, mélange de whisky typique Canada, le rye est adouci par les notes de fruits rouges, la confiture d’orange, les pelures de pommes rouges, les notes de vieille couverture de livre en cuir oublié dans une bibliothèque, caramel et de douces épices enrobées d’une généreuse couverture de petits fruits rouges. La bouche est tout aussi déboussolant, on perçoit les épices rapidement mais toute la texture du whisky est en fond de bouche, confirmant l’âge du dit liquide. Chocolat noir, confiture d’orange, petits fruits rouges sauvages, réglisse rouge, cannelle avec une finale de poivre noir moulu et d’épices. La texture est juste wow, hallucinante, hyper texturée et complexe. J’adore l’ambiguïté entre les saveurs de whisky Canadien et la texture unique développée par le vieux single malt. Cela calme la fougue des épices et propulse le whisky à une vitesse constante et lui donne une longueur impressionnante en bouche. La finale est une belle dualité d’épices, de fruits et de notes vieillottes et un peu terreuses. Les limites de la création de Don Livermore nous étonnent d’un embouteillage à un autre. Un whisky qui démontre beaucoup d’ambivalence livrée au travers des saveurs complexes et raffinées. Je ne regrette pas du tout mon achat et d’avoir autant rushé pour avoir la bouteille de BC…

Patrick 92%
Le meilleur de l’Écosse rencontre le meilleur du Canada !Riche, complexe et parfaitement balance. Un whisky extraordinaire ! Nez : Beau nez complexe, avec un rye bien balancé par des fruits, une touche d’oranges, du caramel et des pelures de pommes rouges. Ça regarde bien pour la suite ! Bouche : Wow ! Toujours les savoureuses épices du rye, du bois, du chocolat noir à l’orange, de la cannelle et du poivre. Finale : D’une belle longueur, complexe et savoureuse.

Martin 92%
Nez: Fruits rouges et cassonade, marmelade et chocolat, épices du rye au loin. Oranges, pommes et caramel, avec une touche de bois et de vanille. Bouche: Beau caramel onctueux, sucre brun caramélisé, rye frais, fruits mijotés et poivre rose. Le chêne surplombe l’expérience. Miel et beurre. C’est incroyablement bon! Finale: Chaude et bien relevée, sur de constantes notes de rye, de bois, de fruits et de caramel goulu. Équilibre: Une autre solide expression qui prouve les dires du Dr. Livermore, le whisky canadien est bel et bien le plus versatile de tous les whiskys.