Aberlour A’bunadh – Batch 058

61.1% alc./vol.
Le batch n° 1 de la version A’bunadh, qui signifie « origine » en gaélique, a vu le jour en 1997. Depuis, la recette qui a fait le succès de cet Aberlour est restée inchangée. A savoir, un vieillissement en fût de sherry oloroso de premier remplissage, une filtration traditionnelle et très légère comme celles pratiquées au XIXe siècle et surtout une mise en bouteille au degré naturel avoisinant ou dépassant les 60 %. Les fûts qui entrent dans l’assemblage sont âgés de 5 à 25 ans.

André 91%
Superbe nez. Pâte de fruits, prunes, cerises noires, dattes, chocolat noir amer, raisins secs, réglisse rouge. Le sherry est opulent et d’une incroyable générosité, belles grosses oranges, gingembre frais. Texture onctueuse en bouche, grasse, avalanche de fruits rouges, fruits séchés, raisins secs, prunes. Cosses d’oranges trempées dans le chocolat noir, poivre, épices, dont le gingembre et le clou de girofle. Les saveurs sont intenses et concentrées, on fait dans l’opulence abordable, sans être frais-chier. Pour être honnête, oui on ressent le taux d’alcool, plus de 61%, c’est certain que ça coche un peu mais avec la texture grasse, presque huileuse, celui-ci se trouve presque anesthésié et l’ensemble devient vraiment tolérable et j’ai l’impression que ce sont plus les épices que l’alcool qui rendent ce whisky un peu vif en bouche. La finale est très longue, épicée et soutenue… et évidemment très fruitée. Encore une fois, un whisky d’exception, pour les amoureux de sherry, ce whisky est LE whisky à ajouter à sa collection.

Patrick 91%
Une fois de plus, Aberlour confirme qu’ils sont les maîtres du whisky cask strength vieilli en fûts de xérès. Sa grande intensité fait qu’il ne plaira pas à tous, mais ceux qui l’aimeront, ils l’aimeront à la folie! Nez : Parfum de xérès et de sucre blanc, faisant presque penser à un rhum qui aurait été fini dans un fût de xérès. Ça donne soif! Bouche : Chaleureux sucre blanc, une tonne de fruits, puis une vague d’épices et une touche de bois brûlé. Finale : Très longue, marquée par le bois brûlé et le xérès.

Martin 91%
Nez: Quelques notes fruitées et tanniques au départ, mais dans cette batch, c’est le bois de chêne qui règne en roi et maître. Pâte de fruits et vin de xérès. Bouche: Raisins juteux, prunes, dattes et figues. Orange, bois et cacao, le tout obscurci par la puissance des épices de l’alcool. Finale: Beau decrescendo d’intensité des saveurs, fumée, chêne et sherry. Équilibre: Pas de doute, dans le sherry cask cask strength, impossible de faire fausse route avec Aberlour.

Gordon & MacPhail Caol Ila Cask Strength 2006-2017

60.2% alc./vol.
Distillé en 2006, embouteillé en 2017 – First Fill Sherry Butts

André 86.5%
Bizarre ce nez de boue terreuse assaisonnée d’agrumes et de citrons, de poussière et de cendre de foyer refroidie emportée par le vent sur la plage, fruits secs et macération de fruits sauvages. Il y a aussi un accent de fruits un peu pourris en background qui ne me plait pas plus qu’il le faut, peut-être aussi cet amalgame jumelé aux notes brutes et industrielle de tourbe et d’huile à moteur usée. Cette impression s’atténue avec le temps. La bouche est très différente du nez, qui rappelle plus le bol de fruits tropicaux, les amandes, poires, ananas, de bananes et d’agrumes dans un aire de maltage à la tourbe, quelques goutes de citron fraichement pressé. Finale puissante mais avec beaucoup de souplesse, fruits tropicaux et agrumes, oranges, sel de mer et tourbe brute et sauvage. Beau contrôle de l’alcool dans une superbe texture huileuse avec beaucoup de mouth coating. Rétro sur les fruits rouges. À la fois déboussolant et agréable dans l’inconnu de la destination finale.

Patrick 91%
Gros et intense, savoureux et bien équilibré. Ok, définitivement pas ce que je m’attendais d’un « first fill sherry butt » (il est où le xérès???), mais une fois la déception passée à ce sujet, il me faut reconnaître que c’est tout de même un excellent whisky. Nez : Fumée de tourbe intense, pommes, agrumes, sucre blanc et une pointe de vanille. Bouche : Fumée de tourbe intense, poivre, agrumes et pommes vertes. Intense. Finale : Longue et intense, marquée par le poivre, la fumée et le bois brûlé.

Martin 85%
Nez: Tourbe de grain terreux assez proéminent dès qu’on approche le nez du verre. Bois très cendreux, fruits séchés avec une touche de Castrol. Noix et citron. Bouche: Fruits tropicaux et fleur de sel. Épices puissantes du cask strength. Touche de citron et de pierre lavée. Ça fesse. Ça ne fait pas dans la dentelle, ni dans la motricité fine. Finale: Bien punchée et poivrée. Céréales, citron, tourbe, bois et fruits tropicaux. Cascade d’épices. Équilibre: Les rares fois où j’ai des critiques à faire à des expressions cask strength, c’est qu’ironiquement elles sont trop fortes en alcool pour le malt qu’elles essaient de laisser briller. Celui-ci ne fait pas exception.

Bunnahabhain Moine Brandy Finish

55.3% alc./vol.
Bottle #1068 of 4152, distilled 10/12/2004, bottled 22/06/2017. Maturation initiale de 13 ans en ex-sherry cask suivi d’un affinage en fût de Brandy Français.

André 95%
Y’a de ces whiskies, qui même après 2000 évaluations, savent te renverser et te surprendre. Cet opus tourbé de Bunna fait partie de cette trempe. Le nez est déroutant, mélange de fruits rouges séchés et de tourbe industrielle, huile grasse, cuir huilé et fourrure animale mouillée mais avec une délicatesse fruitée sous-jacente un peu désarçonnante. La tourbe me rappelle aussi la fumée industrielle que pouvait cracher les usines utilisant le charbon. Encore une fois on ressent aussi une influence maritime pas très lointaine, une humidité saline mêlée de jus de raisins mauves en poudre, de prunes et de fruits séchés. La bouche ne dément pas la complexité la beauté du nez. Malgré la texture grasse et huileuse, le whisky est costaud, jumelant alcool soutenu et tourbe animale. Les fruits secs, les prunes et les raisins mauves, petits fruits sauvages, les oranges aussi maintenant, naviguent sur les vagues salées et de fumée industrielle, le mélange de fruits est complexe et les saveurs variées. J’ai l’image d’un loup à la fourrure mouillée rôdant dans la cour arrière d’une usine de charbon. La tourbe me rappelle celle de Caol Ila, brute et définitivement industrielle. La patience récompensera le dégustateur en étalant de moelleuses notes de noix roulées dans le caramel et les noix de pain, la tarte aux pacanes peut-être. La tourbe s’assagit beaucoup avec le temps aussi et laisse encore plus le plancher de danse aux fruits. La finale est épicée et poivrée, fruitée oui, mais bien tourbée et maritime. On pourrait croire que ces saveurs ne pourraient pas s’agencer sans accro mais cet présentation, singulière il faut le dire, touche son but sans équivoque. Du grand Bunnahabhain. God bless Mike Brisebois pour le sample.

Patrick 89%
Nez : Savoureuse et intense fumée de tourbe, avec une delicate note fruitée, du poivre et du chêne brûlé. Bouche : Fumée et épices, avec des notes sucrées et fruitées, du caramel, du chocolat. Finale : D’une belle longueur, avec un peu de sucre, pas mal d’épices et de la fumée qui s’étire longuement.

Glen Moray Port Cask Finish

40% alc./vol.
Située à Elgin dans la région des Speyside, Glen Moray est une ancienne brasserie reconvertie en distillerie en 1897. Rachetée par les propriétaires de Glenmorangie en 1923, la distillerie appartient maintenant au groupe La Martiniquaise depuis 2008. Ce Whisky a été affiné durant 8 mois dans des fûts de porto provenant de la maison Gran Cruz et d’une sélection issue des meilleurs fûts de chêne américain.

André 82%
Panier de fruits rouges, confiture de fruits, vanille onctueuse, caramel, épices éventées. La bouche est diluée mais agréable, bel équilibre des saveurs; fruits secs, framboises, cerises, une touche de caramel et de cannelle, miel. Rien qui casse la barraque mais ça fait définitivement la job. Finale sur le gingembre et le caramel nappant un bol de fruits sauvages. Un point de plus pour le rendu qualité-prix.

Patrick 86%
Un très bon whisky, chaleureux, offrant l’un des meilleurs rapports qualité prix qu’on puisse rêver! Nez : Parfum de prunes sucrées, agrumes, cannelle et un peu de pommes. Bouche : Prunes et pommes, avec une touche de poire et toujours la cannelle. Finale: D’une belle longueur, marquée par la cannelle.

Martin 85%
Nez: Vanille, caramel, miel et doux fruits des champs. Une touche agréable d’épices boucle le tout. Bouche: Ici les saveurs se développent pour révéler des notes de cerise, de raisins secs, de chêne et de vanille, le tout enveloppé dans une texture veloutée. Finale: Longue et chaleureuse, avec une douceur persistante qui rappelle le porto, bien évidemment. Équilibre: Ce dram est un excellent choix pour ceux qui recherchent une expérience de dégustation douce et fruitée, avec juste assez de complexité pour maintenir l’intérêt.

Glen Moray Peated

40% alc./vol.
Cette cuvée a été distillée avec de l’orge maltée, infusée à la fumée de tourbe, une version tourbée à la hauteur de 14ppm de phénols.

André 84%
Céréales fumées, vanille, poires flambées, la tourbe est terreuse et organique, feu d’herbe verte et fruits tropicaux, fleurs blanches. Agréables saveurs en bouche; fumée discrète, ananas, bananes, fruits tropicaux et vanille. La texture est un peu insipide et très liquide et la tourbe est camphrée et herbeuse, avec des accents terreux. Finale moyenne en longueur, herbacée et tourbée, alléchant sur les fruits tropicaux. Ce que ce whisky offre en saveurs, il le perd en texture.

Patrick 90%
Wow, un whisky au prix d’il y a 20 ans, avec la même qualité. Incroyable! Définitivement LE meilleur rapport qualité prix à la SAQ!!! Glen Moray, une gamme de whisky à découvrir! Nez : Fumée de tourbe d’une belle intensité, avec de la rhubarbe et du cuir. Bouche : Une superbe tourbe épicée, du cuir, une touche de vanille et quelques agrumes. Finale : Un peu courte, mais tout de même agréable. Fumée et épicée.

Martin 85%
Nez: Oh belle tourbe pas trop punchée, on décèle quand même les céréales, les poires et les fleurs classiques de Glen Moray. Salade de fruits dans leur sirop, ananas et autres fruits plus tropicaux. Bouche: Texture un peu aqueuse sur les bords. La tourbe sucrée prend pas mal de place, les fruits se font plus discrets. On termine sur un rideau d’épices qui s’ouvre sur la finale. Finale: Boisée et épicée avec tourbe et sucre en poudre qui prennent toute la place. Pas mauvais mais encore une fois sans grande personnalité. Équilibre: Glen Moray, sans jamais être « un des grands whiskys », a tout de même le mérite de bien se camper dans son rôle de bon rapport qualité/prix. Si vous voulez un p’tit tourbé sans casser la tirelire et que vous êtes tannés du McClelland’s Islay, cette bouteille est un bon choix.

SMWS 35.165 Glen Moray 13 ans

52.9% alc./vol.
« Variety – The spice of life », Distilled 25th April 2003, from 1st Fill Chenin Blanc Hogshead, 180 bottles

André 85%
À l’aveugle, j’aurais misé sur un sherry cask. Étonnante avalanche de fruits. Fruits rouges & framboises, cannelle, orange, chocolat noir, poires et abricots, caramel, nez presque tannique parsemé d’épices soutenues. La bouche est un peu agressive, pas sur l’alcool mais plutôt sur la texture un peu austère; gâteau aux fruits, oranges, chocolat noir, la terre noire de jardin mouillée après un orage. La finale est sulfureuse, comme un fût de sherry qui aurait tourné, la pâte de fruits et les épices prononcées. Mieux que les éditions de base, ce whisky a du potentiel… si on lui donne de bons fûts et un taux d’alcool décent.

Patrick 92%
Riche, complexe et superbement balancé. Un whisky des ligues majeures! Ce que le Speyside a de mieux à offrir. Nez : Sucre, vanille, caramel et bouquet d’épices délicats. Bouche : Épices intenses, puis sucre brûlant, tabac, cannelle et notes herbeuses subtiles. Finale : D’une superbe longueur, épicée et sucrée.

SMWS 35.133 Glen Moray 20 ans

55.8% alc./vol.
« Mediterranean Maharajah Goes American », Distilled 11th November 1994, from 1st Fill Hogshead Toasted Oak, 223 bottles

André 86%
Ce whisky est un défi de dégustation. Pas facile à analyser et de mettre des noms sur les saveurs, certaines inconnues (mais dans le bon sens du terme), d’autres que l’on reconnait mais que l’on ne peut identifier. Au nez; Marmelade de fruits sauvages, chocolat noir, caramel sale, accent de viande séchée. À l’aveugle, j’hésite en le fût de bourbon et de sherry. La bouche est bizarre mais bien balancée, une superbe texture qui rappelle les fûts de bourbon; miel, vanille, anis, coconut et les céréales. Après un bon 20 minutes dans le verre on a encore droit à des accents tanniques qui rappellent le vieux livre de cuir et la terre humide, les prunes et les dattes avec une touche de menthe rafraichissante. La finale est sur les fruits rouges, sensation un peu vieillotte dans la présentation générale. J’aime ce whisky sans trop savoir pourquoi…

Patrick 92%
Ceux qui pensent que Glen Moray ne fait que des whiskys légers et bon marché n’ont jamais goûté à cette bouteille! Wow! Tellement d’intensité, de saveurs se bousculant et de savoureuses surprises! J’adore! Nez : Beau parfum sucré et légèrement fruité, avec une note rappelant le rye et… Du thé noir? Appétissant! Bouche : Ok, je suis retourné voir l’étiquette pour m’assurer qu’il s’agissait bien d’un single malt et non d’un rye! Bref, je goûte les épices et le fruit d’un rye whiskey, avec des notes de thé noir, de cannelle, de cuir et de chocolat noir. Finale : D’une belle longueur, épicée et légèrement fruitée.

Martin 87%
Nez: Assez muet comme nez, bien qu’on parvienne à percevoir certains arômes lointains comme les fruits nappés de chocolat noir fondu, bois et jerky. Bouche: Bien sucré et épicé. Belles notes de cassonade et de fruits. Texture enveloppante, poivre rose, réglisse noire et miel. Cuir, céréales et vanille. Finale: Bien chaude et épicée. Longue, sur des notes sucrées et boisées. Touche de fleurs et de cuir. Équilibre: Un solide dram, traditionnel dans sa construction et dans son approche, enivrant dans son résultat.

Glen Moray Chardonnay Cask Finish

40% alc./vol.
Glen Moray qui produit des whiskies depuis le 19ième siècle et se trouve à Elgin, la capitale de la région de Speyside, région la plus célèbre d’Ecosse en matière de production de whiskies. Ce whisky a vieilli pour une première période en Ex-Bourbon Cask pour ensuite être affiné pendant 8 mois dans des ex-fûts de Vin Blanc Chardonnay et représente l’union entre la Bourgogne et le whisky de Speyside

André 76%
Pour 39$, on ne va pas rechigner… Nez très frais; les poires, miel, melon au miel, pommes vertes, vanille saupoudrée de cannelle, une touche de chêne un peu vert, fruits à chair et fruits exotiques. Est-ce le printemps qui se pointe le nez? En bouche, le whisky n’offre aucune texture, c’est liquide comme de l’eau (que l’on a généreusement ajouté pour diluer à 40%). Saveurs; poires, melon au miel, pommes vertes, oranges, raisins verts, caramel. La finale est un peu âcre, accents presque chlorés… je ne suis pas fan.

Patrick 83%
Un bon whisky, léger, mais avec ce qu’il faut à la bonne place, mais dont la finale est un peu trop courte. Ça demeure un très bon rapport qualité prix! Nez : Pommes vertes, crème et un peu de poire. Léger. Bouche : Beau sucre chaleureux et légèrement fruité, avec de la pomme verte et une note subtile de cannelle. Finale : Un peu courte, sucrée et légèrement épicée.

Martin 84%
Nez: Pommes vertes, fleurs blanches et miel dilué sont à l’honneur. Un whisky très frais et sec, à l’images de son fût de finition. Poires et vanille. Un peu unidimensionnel, mais ça fait la job amplement. Bouche: Vanille et chêne doux. Très timide. Légères épices, fruits tropicaux, touche de miel. J’aime bien. Un peu comme au nez, son manque de complexité lui fait mal, mais ça reste un bon whisky de semaine. Finale: Courte à l’os, mais on apprécie quand même les saveurs qui s’en dégagent. Bois, agrumes, vanille et touche infime de fumée. Équilibre: Je vais reléguer cette bouteille au rang de daily drinker. Ce n’est pas mauvais du tout, j’aime bien l’influence « crisp » et à peine minérale du vin blanc, mais ne gardez pas cette bouteille pour votre mariage.

Speyburn 15 ans

46% alc./vol.

Patrick 88%
Un très bon whisky, facile à boire en tout temps. Genre, un chum d’enfance fiable. Nez : Chocolat au lait, fruits mûrs et sucrés, vanille et caramel. Appétissant. Bouche : Riche et enveloppante, avec des notes de caramel, de fruits mûrs, de vanille, d’agrumes subtiles et de quelques épices pour agréablement compléter le tout. Finale : D’une longueur moyenne et marquée par quelques épices du bois.

Ledaig 1974

43% alc./vol.

André 86%
Nez étrangement calme. Eucalyptus et camphre, poires, sel, vanille, céréales maltées, vieux bois de chêne. Ensemble est doux et offre une agréable sensation très texturée, certaines saveurs me rappellent la gomme Dentyne. La bouche est huileuse, bien texturée, les saveurs sont limitées mais bien équilibrées, une touche d’oranges, poires, bois de chêne très sec, vanille fouettée, céréales. Finale poivrée et salée, mais plus poivrée, léger camphre, épices. Un whisky pas facile à évaluer et qui ne se dévoile pas facilement.

Patrick 85%
Ok, ce n’est pas ce que j’attendais. C’est un bon whisky, mais je m’attendais à plus… Plus de complexité, de profondeur ou quelque chose… Nez : À ma grande surprise, le parfum est plus du type « Highland » que des îles. De l’eucalyptus, du sel, des poires, du sel, des céréales maltées et du vieux bois de chêne. Bouche : Du bois brûlé, un peu de fumée de tourbe, du poivre et une touche d’orange. Finale : D’une belle longueur, un peu fumée.