Balvenie Port Wood 1991

40% alc./vol.
The Balvenie Port Wood 1991 présente une double originalité : d’une part par le choix d’un millésime précis, ce qui est rare en Écosse, et d’autre part par cette finition parfaitement maîtrisée où le porto apporte sa patte spécifique, mais sans jamais dominer les accents propres du malt. Une nouvelle fois, David Stewart et les artisans de la distillerie The Balvenie témoignent de leur maîtrise en matière de double maturation, dont ils ont été les pionniers dans le monde du whisky écossais.

André 88%
Une qualité encore une fois égale à sa réputation. Simplement bon ! Fruité à souhait, se succédant des arômes de fruits sauvages, boisé avec parcimonie, le tout fini en fût de porto. Avec un chocolat noir, un vrai délice.

Patrick 85%
Un excellent whisky encore une fois trop dilué. Dommage. Nez : Orge baignant dans un délicieux vin sucré. Touche de chocolat noir. Bouche : Vin sucré et brûlé. Très vineux, épicé et chaleureux. Texture un peu trop aqueuse à mon goût. Finale : Longueur moyenne, marquée par le vin.

Balvenie Port Wood 1989

40% alc./vol.
Le Port Wood 1989 est une nouvelle production de Balvenie qui vient enrichir la gamme de finition en fûts de porto. Derrière le millésime se cache un breuvage ayant un âge comparable au Balvenie Double Wood 12 ans et dont le vieillissement de base est effectué en fûts de chêne neufs.

André 84%
Légèrement décevant après avoir goûté au Double wood qui est un superbe achat qualité-prix. Mais encore une fois rien de désagréable venant d’une distillerie où la qualité est généralement au rendez-vous. Le porto est présent mais ne s’impose pas, très approchable et invitant, pour les gens en terrain connus ou les novices…

RV 84.5%
Noisettes pas mûres et orange à l’olfaction, à quelque part à mi-chemin entre le Founders Reserve et le Double Wood. L’arrivée est silencieuse, trop silencieuse avant que les noix de Grenoble se présentent pour être rapidement suivie des épices. En finale, elle est beaucoup plus varié, touchant aux épices, aux fruits séchés, aux noix et avec une petite pointe de porto beaucoup mieux apprivoisée et de loin supérieure à sa jeune sœur. Un beau millésime pour une bouteille que je goûtais avec appréhension.

Patrick 82%
Herbeux; soyeux en bouche, fleurs fanées. Salin; Mais où est le porto?

Balvenie 30 ans

47.8% alc./vol.
Le temps, précieux allié, a conféré à The Balvenie Thirty des qualités aromatiques uniques et un grand raffinement, lui apportant une profondeur et une complexité inhabituelles. La maturation en fût de chêne a apporté aux notes miellées chaleureuses caractéristiques de The Balvenie de distincts arômes de vanille. Les fûts de sherry ont quant à eux offert à The Balvenie Thirty une couleur profonde et un caractère richement boisé. The Balvenie Thirty fait par ailleurs preuve d’une robustesse naturelle, qui lui donne une personnalité si particulière et une subtilité certaine. Les bouteilles, préalablement enveloppées à la main dans du papier de soie, sont présentées dans un coffret spécialement conçu pour ce single malt d’exception : un écrin rectangulaire en bois de hêtre, doté d’un couvercle pivotant et d’un système de fermeture magnétique. Le design de ce coffret à la fois traditionnel et élégant ne manquera pas de satisfaire l’œil du fin connaisseur comme celui de l’amateur.

André 90.5%
Un panier de fruits juteux et de sac de grains d’orge transportés dans un fin nuage d’épices. Le tout est relevé de saveurs d’oranges. Nez passablement soutenu en alcool. L’arrivée en bouche est trompeuse; un filet de soie cachant bien les fruits véhiculés par l’alcool. Offre une belle dualité en bouche; la douceur des fruits opposé à la force de l’alcool un peu sec. Étrangement, les notes de fumée ressortent aussi en finale alors qu’elles ne s’étaient pas montrées au nez. Bonne présence de raisins également. Les céréales sont plus puissantes en finale. Un whisky présenté en crescendo jusqu’à sa finale en apogée. N’eut été de son prix très élevé, il se serait mérité une plus haute note.

RV 88.5%
Un petit tour sur le divan, devant une chaîne quelconque, même une partie de shuffleboard à TVA Sports me contenterait tant que je puisse l’avoir dans mes bras pour l’embrasser. La sagesse se fait sentir, malgré ce bran de scie de pin qui se faufille à travers la vanille jusqu’aux narines. Aux papilles, le bois est doux, très abordable, posé. Colleux. Collant. Puis en gorge, il détonne, d’abord par la sève puis le caramel sucré, frayant presqu’avec la mélasse des bons rhums industriels puis le caramel dur en ornement sur de la crème glacée à l’érable. Bien entendu, la finale est longue, très longue, tout aussi douce que le reste de l’ensemble. Un très bon whiskey romantique quoi.

Patrick 90%
Au nez, xérès et orange, avec une touche de cuir. En bouche, wow!!! Une belle attaque de fumée et d’épices boisées. Vers a finale, un beau jus fruité vient donner une touche de complexité indéniable. Un chef d’œuvre d’équilibre. Je suis souvent déçu par les scotchs de plus de 20 ans, mais définitivement pas ici!

Balvenie Port Wood 21 ans (2011)

40% alc./vol.
Ce single malt élevé en fûts de bourbon a été affiné pendant plusieurs mois dans des fûts ayant contenu du porto.

André 88%
Nez soyeux de sherry, tout en fruits; raisins écrasés, pâte de fruits. Très ample mais tellement doux au nez. Arrivée sans brusquerie; chocolat noir sucré, fruits secs, cire pour meubles en bois, puis poussée d’épices nous transportant jusqu’en finale. Il fond littéralement en bouche, des flocons de neige sur la langue. Bon mélange des fruits et des épices en finale, malheureusement qui tombe à plat comme une tonne de brique en s’accompagnant de miel et d’une rétro-olfaction à saveur de céréales de style que l’on retrouve dans les bières sur lie.

Patrick 80%
Nez de raisins réchauffés et de chêne brûlé. En bouche, toujours le raisin réchauffé, une touche de chocolat noir et d’épices… bizarres. Le chêne qui englobe l’ensemble. Manque d’équilibre et de punch pour son âge. De plus, je ne comprends définitivement pas l’idée d’embouteiller un whisky de 21 ans à 40% d’alcool, surtout si c’est pour le vendre à ce prix. À éviter, surtout que cette distillerie offre d’autres excellents produits à meilleurs prix.

Martin 85%
Riche visuellement et ambre pur à la Jurassic Park. Nez: Pruneaux et raisins, caramel et dattes, mais le tout un peu réduit à l’état de murmure au niveau de l’intensité. Céréale plutôt gênée. Sucre chauffé. Bouche: Manque de richesse et de poids. Maudit sois-tu “40% d’alcool”. Fruits et raisins juteux. Planche de chêne chargée d’épices. Le porto semble être relégué un peu à l’arrière-plan. Finale: Trop courte pour son âge et surtout pour son prix. Surfe encore sur le bois et la muscade, en nous laissant sur une astringence plaisante évoquant de plaisants sherry casks réconfortants. Équilibre: Prix prohibitif et même insultant pour un spiritueux qui titre à seulement 40%. Bouhou Balvenie.

RV 83.5%Au creux de l’érable, derrière l’écorce jadis habité par quelques guêpes se trouve encore juste assez de sucre. Le nez semble bizarrement obstrué, comme si l’on respire à travers du coton et demeure ainsi malgré les minutes qui s’écoulent. Au loin, derrière ce voile, du chêne sec en feu, crépitant au travers du sirop d’érable foncé. Enfin, en bouche toujours un peu trop en retenue est livré le sirop, assez uniforme et trop calme. Enfin, la finale est toute de bois construit, quoiqu’accompagné de miel qui fait tranquillement son oeuvre. Toutefois, l’expérience n’est ni à la longueur de son âge ni à la hauteur de son prix.

Balvenie Port Wood 21 ans

40% alc./vol.
Vieilli pendant 21 ans en fûts traditionnels, ce single malt passe quelques mois dans des fûts ayant contenu des portos prestigieux (« port pipes ») durant près de 30 ans. Cette maturation marque sensiblement le liquide sans pour autant dominer ni même masquer ses qualités originelles.

André 86%:
Un scotch que j’ai goûté à mes débuts dans les dégustations et qui m’avait fort déçu à l’époque, peut-être de part mon manque d’expérience. Je pensais avoir droit à quelque chose d’enrobant, un single malt qui t’emporte de part sa présence en bouche et sa persistance. Les arômes du portwood sont là, trop discrètement à mon goût. La finale trop rapide et abrupte nous laisse sur notre appétit, surtout pour le prix avancé à la caisse.

Patrick 77%
Plutôt désagréable. Nez de clou de girofle anis et réglisse noire. Au goût, très acide. On dirait qu’on a utiliser un fût de vinaigre. La finale est légèrement mieux mais pas au point de regagner des points.

RV 80%
Clou de girofle et anis assez violent avec de la réglisse noire qui rendent le nez beaucoup trop fort. Le goût est plus doux, heureusement sans porto, et il faut attendre quelques secondes dans un silence presque total avant d’entendre des notes de miel et de chêne. Il me semble aussi davantage prêt d’un bourbon wood que d’un Port Wood. La finale est plus jolie, honorable mais sans plus, mais le nez croche se voit tellement de loin et de long que ça ne peut que dépanner. Or, à ce prix…

Balvenie 17 ans Sherry Cask 1st Release

40% alc./vol.
Ce malt offre l’occasion aux amateurs de whisky de goûter la singularité du long vieillissement de 17 ans du single malt artisanal Balvenie dans des fûts de chêne européen ayant contenu le fameux Sherry Oloroso. The Balvenie Sherry Oak 17ans est une édition très limitée. Embouteillé en 2007.

André 85%
Fruité sans subtilité, il lui faut respirer un peu afin de se calmer et de laisser le temps aux arômes de s’éventer un peu et de prendre place confortablement. Nez à odeur de réglisse rouge de style bourbon, fruits sauvages. Le nez est un peu brusque. Toffee et caramel écossais. Est-ce le fait du 1st fill cask ou du 43% d’alcool (je bet sur le 1st fill cask) mais y’a vraiment un hic à quelque part. Loin d’être un mauvais whisky mais décevant vis-à-vis mes attentes personnelles.

RV 86.5%
Cuir orange du Dalmore Cigar, avec du chêne. Beau développement varié en bouche avec une finale un peu plus fruité, presqu’en alvéoles de rayons de miel. À force de respirer, le caramel (non brulé, celui sur des grosses tranches de pain blanc au lait) sort davantage. Le kick de sucré évolué sort de la norme, et ça lui vaut des bon points. Une belle bouteille bien conçue, passe-partout, facilement apprivoisable et qu’on a pas honte de présenter à ses chums. 2eme tasting 83% Grain à la Hedonism avec un backwhiff de caramel. Plus juteux avec du pain sucré plus apparent au Balvenie, mais aussi plus fruité avec de la fraise et du melon d’eau. Doux, assez varié, réussit du début à la fin, mais tout de même rien qui ne puisse dépasser la frontière du vraiment remarquable.

Patrick 87%
Au nez, chêne brulé, sherry et orge. Au goût, le brûlé est rapidement remplacé par un sucré de bonbons à 1¢ en forme de framboises. Idéal pour retrouver l’enfant en soi! Finale caramélisée. 2eme tasting: 89% : Sent le chêne brûlé, la vanille et le caramel. Au goût, épices, sucre caramélisée et un peu de poudre de Jello aux cerises. Très doux, très agréable et très bien équilibré. En finale, un côté vineux nous laisse dans un état songeur, ce qui est une des marques d’un grand whisky. Ok, je l’admets, le genre de bouteille que je finirais en une soirée…

Balvenie 17 ans Peated Cask

43% alc./vol.
Issu de l’assemblage de fûts de chêne neuf et de fûts ayant contenu un whisky tourbé, ce Balvenie rappelle la version « Islay Cask », également âgée de 17 ans, du début des années 2000. A l’époque, celle-ci avait quelque peu désorienté les inconditionnels de ce Speyside traditionnel.

André 86.5%
Nez de vanille et d’amandes au miel sur toile végétale, florale et d’herbe mouillée. Une fumée qui ne se révèle pas comme à son habitude, c’est très différent et on perçoit la « modification » du processus habituel dans la présentation des éléments tourbés. En s’aérant, les épices apparaissent avec passablement de force et le whisky semble vouloir se départir de son côté doux et sucré. Les bonnes vieilles notes de fruits et principalement d’oranges des Balvenie DoubleWood me manquent un peu… Superbe texture en bouche, très soyeux en sensation mais agréablement soutenu au niveau aromatique; pruneaux, figues, et finalement les oranges (enfin!). Feeling de fruits que l’on aurait échappé par terre, recouverts de terre sèche. Finale où la tourbe prend de plus en plus d’importance avec un retour un peu salé. Un whisky transgénique, difficile à cerner, mais vraiment intriguant et tout à fait singulier. Le résultat n’est peut-être pas aussi intéressant que l’expérience mais un must try for sure !

Patrick 87%
Nez tourbé avec une fumée de bois humide. En bouche, une pincée de poivre et toujours la fumée… Ainsi qu’un peu du « DoubleWood » qui semble s’y cacher, avec ses notes d’oranges. La finale est marquée par un mélange peu orthodoxe d’orange et de tourbe. Complexe, en équilibre et original. J’aime.

Martin 87%
Jaune-orange vif, prêt à être attrapé par Harry. Nez: Miel et fruits, malt grillé et vanille. Une chétive effluve de tourbe est présente mais elle refuse catégoriquement d’être en vedette. Bouche: Texture sirupeuse et mielleuse. Melon et fruits tropicaux, vanille et orge. Pelure et zeste de citron, noix et une touche encore timide de tourbe, qui donne un peu le ton écossais à ce malt. Finale: Fruitée et tourbée avec une impression lointaine de xérès. Chocolat noir et cerises. Équilibre: Assez complexe et original, mais pour une étiquette qui publicise “peated”, on aurait pu ouvrir un peu plus le robinet.

RV 87%
Un bel exercice plein de hook, mais on dirait que le producteur voulait s’assurer d’un place dans les palmarès plutôt qu’y aller pour une certaine profondeur. Très beaux mélanges d’odeur de tourbe, de sherry et de toffee, avec la base du Balvenie toujours présente mais qui cède une grande place à la tourbe. L’arrivée est de son côté dénué de tourbe mais contient l’orange du Double Wood, avant une attaque d’épice puis finalement de tourbe. L’aftetaste, un peu tiède (peut-être aurait-il profité d’un plus haut taux d’alcool?) est néanmoins plus balancé que le reste de l’ensemble.

Balvenie 15 ans Sherry Cask Single Barrel #6280

47.8% alc./vol.
Cask #6280, bouteille 185 de 350, distillé en 1996 et embouteillé en 2011.

André 86%
Voici Balvenie mise à nue dans sa plus simple expression. Des grains d’orge et un fût de chêne; des céréales et des notes de miel et de vanille, toffee, sans artifices. Mais même démaquillée, elle est simple mais belle, avec aussi passablement de caractère avec un bon taux d’alcool de surcroit. Bouche bidimensionnelle auquel s’ajoute des notes fraiches de citron et de bois sec. Finale aiguisée et pointue, très longue et soutenue. Un Balvenie qui nous ramène à la base, une sorte de genèse intra murale de la distillerie où il fait bon revenir afin d’aussi apprécier la sophistication des embouteillages plus raffinés. Trouve définitivement sa place au travers la gamme plus posée des autres Balvenie.

Patrick 90%
Arômes d’agrumes, de vanille et de sciure de bois. En bouche, agrumes en attaque puis un étonnant punch fumé. L’ensemble offre un mélange sucré-fumé étonnant. De plus, la deuxième gorgée semble marquée par le vin blanc! En finale, une touche d’épices compléter agréablement le tout. Une complexité étonnante… Qui n’en fera pas nécessairement un whisky intéressant pour un novice ou quelqu’un qui ne recherche pas la subtilité.

RV 82%
La bureaucratie dans les grandes compagnies: pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Tout d’abord, le nez est très chargé, de miel, de trèfle, puis d’une pointe de caramel verdoyant dure à analyser, qui me rappelle certains blends. En bouche, on migre sur l’orange mûre puis le caramel, puis on bifurque sur les herbes sucrés puis le lys, qui se mélange au miel et au sucre brûlé à tendances porto en finale. Certes, il n’est pas mauvais, seulement, il parle tellement qu’il est un peu lassant de l’entendre. À éviter les soirs à la recherche de tranquille whiskey.

Balvenie 15 ans Single Barrel (ancien embouteillage)

50.4% alc./vol.
Cette version de ce single malt réputé du Speyside provient d’un embouteillage fût par fût.

André 89.5%
Typiquement Balvenie, avec ses arômes de noisette et de grains secs mais le tout enrobé d’oranges, de pommes, de vanille et côté frais très séduisant. Les oranges gagnent en intensité en bouche jumelé au taux d’alcool plus prononcé de près de 48%, lui apportant une belle poussée soutenue jusqu’en finale. Un Balvenie finement balancé, des notes agréables, un taux d’alcool comme nous devrions en voir plus souvent sur le marché. Un coup de cœur inoubliable.

RV 88%
Une Balvenie qui a laissé tombé les tenues de soirée pour un jeans et un t-shirt simple mais sexy. Wow, dès les premières effluves, on se retrouve devant Balvenie qu’on reconnait par ses notes de grains, de noix et d’orange. En bouche et en finale, les mêmes points forts se poursuivent en se recoupant continuellement, et où viennent s’ajouter une petite cendre et de la cire d’abeille. Bien que la finale soit un peu courte, celle-ci est de très bon goût, comme le reste de ce scotch sympathique et à la bonne franquette.

Balvenie 14 ans Golden Cask

47.5% alc./vol.
Une autre création de David Stewrt, master blender de Balvenie. Le Balvenie 14 ans Golden cask est affiné en fûts de “golden caribbean rum”. Exclusivité du marché “Duty-Free”.

André 85%
Écorces de fruits, douce épices très paisibles, pelure de raisins verts. La bouche est claire, uniforme, mielleuse, calmant le taux d’alcool. Bananes dans le bourbon (?), bourbon que l’on retrouve en finale jumelé à l’effet du chêne du fût (à la Forty Creek). Sa principale faiblesse: La bouche maigre et pauvre. Agréable sans être marquant ou singulier.

RV 86%
Balvenie avec une pointe de caramel et de sève. Arrivée pimentée et caramélisée, mais le rhum sort agréablement bien, dans le style rhum d’Amérique du Sud. Belle finale chaude. Un bon whisky, bien balancé mais pas le meilleur Balvenie, un peu trop dénaturé à mon gout peut-être.

Patrick 90%
Au nez, miel, sucre, orge vanille et touche de chêne. Au goût, sucre et miel très intense. Touche d’épices de bourbon, enveloppées par la vanille. En finale, une saveur sucrée nous reste en bouche. Le taux d’alcool est complètement indiscernable… Ce qui peut être traître lorsqu’on se relève après en avoir un peu abusé (expérience vécue). Un whisky de dessert avec un bel équilibre. L’une de mes bouteilles qui s’est bue le plus rapidement en 2010! Son seul problème : la bouteille se vide trop vite.