Bruichladdich 12 ans (ancien embouteillage)

46% alc./vol.

Patrick 90%
Nez : Vanille et beurre, avec du chêne et des fruits exotiques. Bouche : Sel et épices, puis fruits mûrs chêne et vanille. Finale : Longue et chaleureuse. Balance : Wow, je comprends pourquoi j’ai fini la bouteille aussi vite. Quel bonheur! Quelle complexité! Quel équilibre! J’aime.

Martin 88.5%
Nez: Vanille, chêne et caramel au beurre. Fleurs et légère fumée. Fraîcheur et fruits tropicaux. Bouche: Miel, vanille et épices douces. Chêne, fruits tropicaux et crème. Finale: Chaleureuse et épicée. Assez boisée et mielleuse. Équilibre: Belle complexité des saveurs, comme quoi Bruichladdich maîtrise autant les styles non-tourbés que les styles tourbés. Bravo.

RV 82%
Vraiment doux au nez, avec de la vanille mais peu ou pas de tourbe, mais il mérite de respirer un peu. L’arrivée est chaude et mielleuse, et se développe lentement avec un peu de cendre tombée sur un vieux tapis un peu humide. La finale est un peu soporifique, et me fait penser à un blend. Ok si je me sens fatigué un peu et que je ne désire pas être challengé.

Bruichladdich The Laddie Ten

46% alc./vol.
Dix ans après le rachat de la distillerie par Mark Reynier et un groupe d’investisseurs privés sept ans après sa fermeture en 1994, le tout nouveau 10 ans d’âge est enfin disponible! Composé entièrement de stock distillé par les nouveaux propriétaires, cette cuvée, surnommée “The Laddie” a été créée par Jim McEwan, ancien distillateur chez Bowmore et légende dans le monde du single malt whisky écossais. Produit à base d’une bière de malt 100% écossais, et après une longue fermentation, ce whisky a été distillé lentement afin de conserver le maximum de texture et de goût. Mis en fût au degré exceptionnel de 70% (au lieu du 63,5% standard en Écosse) il a été vieilli intégralement sur l’île d’Islay dans les chais de la distillerie. Après 10 ans de vieillissement, il a été réduit à 46% avec de l’eau de source d’Islay, et mis en bouteille sans filtrage à froid.

André 86.5%
J’aime le côté “mer paisible” de Bruichladdich, pas la mer puissant et robuste des Bowmores et des Ardbegs, ce côté marche au bord de l’eau par une journée ensoleillée. Le nez est frais avec des accents de citron, ponctué des notes de vanille et de toffee du fût de bourbon. Tarte au citron servie au bord de la mer, un whisky maritime mais sans brusquerie. Un sursaut de nectarines-tangerine et d’épices en finale de bouche. Ne sera peut-être pas le scotch qui vous étonnera au plus haut point mais définitivement bien construit, bien balancé. Les éléments sont agréable et représentatif de Bruichladdich.

Le premier 10 ans d’âge – suivant le rachat de Bruichladdich par McEwan et ses partenaires en 2001 – venait à peine de sortir que l’on apprenait la vente de la distillerie au groupe français Remy cointreau. Mark Reynier criait haut et fort à qui voulait bien l’entendre – pas plus tard qu’à l’automne dernier – que la distillerie n’était pas à vendre… La réalité nous a bien vite rattrapé et les accords de « Money Talk » d’AC|DC ont dû résonner jusque dans les warehouse de Bruichladdich.

En 10 ans de hauts et de bas et l’avalanche d’éditions de toute sorte (souvent critiquée d’ailleurs, à tort ou raison), il était devenu difficile de suivre la ligne directrice de Bruichladdich. Pas que cela était désagréable, loin de là, on a eu droit à de belles pièces dans ce déluge de toute sorte, mais où voulait bien nous amener Jim McEwan et sa troupe ? Même notre ami Benny aurait dû ré-hypothéquer sa maison et travailler 80 heures de plus par semaine afin de pouvoir s’offrir la totalité des novelties de la distillerie…

Espérons que les valeurs qui étaient chères à McEwan trouveront écho dans les bureaux de Remy Cointreau. Il faut bien avouer que la distillerie à su ébranler à plus d’un égard les murs austères et rustres de la SWA et de certains gens frileux de changements tourbillonnants dans le millieu du whisky, mais le marché écossais avait-il le choix avec toute cette nouvelle vague de micro-distilleries qui foisonnent de par le monde ? Comment rivaliser avec les géants voisins Ardbeg et Lagavulin et leurs conglomérats ayant 20 fois le budget annuel de la petite distillerie ? Innovation ! Et ça, personne ne pourra blâmer McEwan pour ses efforts en ce sens. C’est, dans un certain sens, un bien triste anniversaire que ce Bruichladdich 10 ans – The Laddie Ten.

RV 82.5%
Au milieu du Speyside, trop confortablement assis sur une chaise longue d’une maison de retraite. D’étranges effluves chimiques doucereuses se présentent de manière très feutrée dans un malt somme toute tranquille. Ensuite, le ton monte en bois et grain brûlé malgré une faiblesse au niveau de l’alcool qui à mon avis aurait su amener plus rapidement les saveurs. Enfin, le tout se conclut de manière admirable dans une finale qui manque de tonus mais qui contient une intéressante portion de gruau, de fraise et de vanille.

Patrick 90%
Fumée, tourbe, chèvrefeuille. En bouche, l’arrivée en bouche est wow! Suave, chaleureuse, fumée, tourbée, légèrement vineuse. Crémeux en bouche. La finale s’étire sur les épices. Une belle richesse de saveurs bien équilibrées. Un excellent rapport qualité/prix. Ok, j’en veux une.

Bruichladdich 10 ans (nouvel embouteillage)

46% alc./vol.

Patrick 84%
Frais, vif. Au goût, fruité, “zesty”, frais et vif. Malgré que je n’y retrouve pas ce que je recherche dans un malt d’Islay, il s’agit d’un malt de très grande qualité. Toutefois, le rapport qualité/prix de Bruichladdich laisse toujours à désirer, probablement à cause de leur importants efforts marketing. Malgré tout ca, une collection bien garnie se doit de contenir un Bruichladdich.

Duthies Bowmore 17 ans

46% alc./vol.

André 87%
Fruits, tourbe et nez très envoûtant d’agrumes et de citrons. Bouche encore plus citronnée, liquide et claire, mais soutenue par l’alcool, et toujours cette tourbe et cette suie de charbon et de sel qui s’étirent dans des notes d’agrume. Finale décevante, axée principalement sur cette fumée de tourbe, mais la rétro-olfaction est vraiment intéressante.

RV 88.5%
Toujours sur Islay, on se croirait dans une vallée inconnue des distillateurs. S’agit-il réellement d’un Bowmore? Au nez, c’est une tourbe sans sel surplombée par une fumée de cèdre étrange. Cependant en bouche, on aperçoit au loin les pagodes de Bowmore, avec une finale non sans rappeler l’ancien Darkest d’où un peu de fumée s’échapperait de la pierre polie. Un peu blasé des Bowmore traditionnel? L’aftertaste de sel mais aussi de chêne confirme de manière convaincante ce choix.

Patrick 85%
Nez marqué par la tourbe les herbes et une touche d’agrumes. En bouche, la texture est très huileuse, et le goût fumé et tourbé. En fait, on dirait un l’odeur se dégageant d’un feu de camp le lendemain matin… La finale, fumée, est plutôt courte. Un très bon scotch, mais manque d’intensité au niveau de la finale, ce qui fait perdre plusieurs points.

Berry’s Own Bowmore 1994-2008

46% alc./vol.

André 88%
Tourbe fraiche et notes d’iode. Pétrolé et hautement phénolique. Très bien présenté au nez, bel équilibre même si les éléments du nez sont pas très subtils. Il est par contre plus diffus en bouche, atténué mais reprend de la force en finale. Les sels marins et le citron apparaissent en finale et s’accompagnent de varech et d’algues séchées. Chaque gorgée supplémentaire gagne en intensité. Ressemble à un Kilchoman avec une texture moins huileuse et surtout moins crasseuse.

RV 87.5%
Pourquoi Islay? Réponse. Comme introduction d’Islay, avec cette bouteille il est possible de découvrir le sel typique de la distillerie, accentué par une bonne mesure de tourbe citronnée. Doucement poussée par un vent de fraicheur, l’arrivée se présente tranquillement pour retrouver en finale le bon vieux caractère franc du whisky, accompagné d’une belle finale qui confirme cette édition comme une bonne introduction.

Patrick 88%
Parfum de tourbe poisseuse, de fumée et de goudron. En bouche, un mélange d’épices, de sel, de tourbe et de goudron. Le tout commence doucement, mais gagne en intensité vers la finale. Finale d’ailleurs porteuse d’un sel intense qui s’étire longuement. Une belle prise!

Bowmore 10 ans Tempest Batch #1

55.3% alc./vol.
Édition limitée à 12000 bouteilles.

André 88.5%
Très sucré, permettant de neutraliser le taux d’alcool de plus de 55%. Tourbe – évidemment – une pincée de sel en prime et une belle présence de cacao. Finale sur un rappel de tourbe salée, un brin de poussière de pierre. Finale de belle longueur. Me réconcilie avec cette distillerie qui avait perdue quelques plumes dans ses embouteillages réguliers.

Patrick 88%
Nez fumé et salé typique d’un bon Bowmore. Au goût, sel, très marqué par les agrumes et légère tourbe. Une valeur sure.

Martin 89%
Nez: Tourbe, sel marin et citron. L’épine dorsale de Bowmore est impossible à manquer. L’alcool d’emblée annonce sa présence, avec pierre lavée et agrumes en puissance. Bouche: Tourbe herbeuse et citronnée, malt, bois et cannelle. Un peu cendreux, superbe texture huileuse. Finale: Longue et chaude, les épices et la tourbe sont les premiers au rendez-vous. Impression restante d’agrumes et de cendre. Équilibre: Très belle édition cask strength, du Bowmore comme il ne s’en fait plus.

RV 88%
Les fruits sont très présents avec de la confiture aux fraises sans sucre ni pectine, avec un peu de vanille qui se mélange au tout. En bouche, les fruits sont présents à l’ouverture mais sont aussi rapidement remplacés par la fumée, puis la tourbe puis enfin le sel typique de la distillerie. La finale est de bonne longueur et l’alcool est moins évident que l’ancien cask strength sans toutefois être totalement effacé; c’est du Bowmore qui ne me semble ni forcé ni contraint. Un digne remplaçant du défunt cask strength dont le petit côté sucré excuse le 15$ supplémentaire, que je verrais très bien servi avec de la truite aux canneberges dans un chalet dans le fond du bois sur le bord d’un lac.

Bowmore Fèis Ìle 2009

57.1% alc./vol.
Distillé en 1999, entrepôt #6, fûts de sherry, de bourbon et de vin, bouteille #619 de 900.

André 88.5%
Très fruité, mais plus franc en bouche que l’édition 1981; cerises et fruits rouges, Cherry Blossom, miel, amandes, chocolat noir. Extrêmement doux en bouche à l’arrivée, c’est assez incroyable de penser que c’est un Bowmore ça… surtout un 9 an d’âge. Si on le garde en bouche par contre, l’alcool vous clouera la langue au palais, le sel est bien présent maintenant, le sherry aussi qui monte progressivement en crescendo. Celui-ci s’accompagne d’une touche d’orange et de café noir fort. Finale franche, maritime qui manque par contre de punch. L’équilibre de chacune des étapes de la dégustation est en dent de scie, mais les saveurs et l’ensemble sont très agréables.

RV 92.5%
Brûler les ponts pour éviter les mauvais pas. Bruyant à l’olfactive remplie d’oranges juvéniles et peut-être une inquiétante pointe de souffre qui se confond dans une tourbe plus éloignée qu’à l’habitude. En bouche, le souffre est troqué pour le silice et le graphite saupoudrés de chlorure de sodium et de limon. En finale, très jolie explosion de tourbe fraîche, qui balaie au passage tous les étranges minéraux, pour ne laisser qu’un souvenir maritime d’une longueur étonnante pour un whisky d’à peine 9 ans. Sans contredit l’une des meilleures quoique difficilement trouvable édition de Bowmore.

Patrick 94%
Au nez, un exercice facile pour retrouver les ingrédients de base : le sel, le xérès et le vin rappelant un bordeaux. En bouche, d’abord le sel, puis le xérès, puis un doux vin… La finale est marquée par une touche de tourbe rarissime chez Bowmore. Wow, quel mélange, quelle richesse, quel équilibre pour un si jeune whisky. La force de l’alcool est à peine perceptible et ne rends que l’expérience plus intéressante. Définitivement l’une de mes surprise de l’année. Dommage qu’il s’agisse d’une édition limitée, j’en aurais bien fait mon dram régulier.

Bowmore Dusk

50% alc./vol.
Le Bowmore Dusk est l’un des malts d’affûtage spéciaux de la compagnie Bowmore. Premièrement vieilli dans d’ex fûts de chêne, il a subi un vieillissement supplémentaire en fûts de vins Bordeaux Claret. Désormais discontinuée et est considérée comme une pièce de collection.

André 88.5%
Comme le mentionnait RV, un essai risqué qui s’avère payant. Jumeler le goût des fûts de Bordeaux au style distinctif d’Islay de Bowmore aurait pu être désastreux. Ce n’est pas le cas ici. L’apport du vieillissement en fût de Bordeaux vient adoucir un taux d’alcool de 50% et les saveurs marines et doucement vineuses et liquoreuses s’entremêlent gracieusement dans un ensemble surprenant. Un exploit dont on n’aurait pas soupçonné l’ampleur au départ. Superbe! Nez de sherry épineux et pointu, le cask finish est bien en évidence. Cerises, raisins rouges, texture ronde et très agréable en bouche. Malgré son 50% d’alcool, il demeure très doux mais le tout est soutenu et diversifié. Le sel et les notes maritimes en complément. Finale apaisante sur la déclinaison de ces mêmes éléments. Dans le style bordeaux finish, un succès.

RV 85%
Un mariage plus risqué que d’autres avec un port cask étant donné la nature plus “sauvage” du Bowmore, mais un résultat plus payant. Comme le sherry cask 16 ans, la puissance de l’alcool y est, mais est agréablement compensée par le choc des 2 forces différentes qui rencontrent.

Patrick 92%
Bowmore, oui, définitivement le sel; rappelle plus le porto que le vin; Super, on ose franchir des frontières, on profite de la capacité du whisky à se marier aux autres alcools; Le vieillissement dans les futs de Bordeaux lui a donné un personnalité unique; Idéal pour les débutants malgré son taux d’alcool (50%).

Bowmore Cask Strength

56% alc./vol.

André 84%
Full nez de sherry, les fruits à pleine brouette, le nez est dans la lignée Bowmore, avalanche de saveurs et d’odeurs salées, fumées, les galets de plage, le xérès abondant, la réglisse rouge, les fruits secs. L’intensité du nez ne trouvera pas son égal en bouche, malgré de belles saveurs fruitées du fût de xérès, la sensation en bouche est un peu trop sèche et amicale et le whisky manque définitivement de longueur en bouche. La conjonction des saveurs distinctives de Bowmore sont bien là mais le whisky tire de la patte et s’essouffle rapidement en bouche. Avec le temps, beaucoup de saveurs de caramel et de raisins secs émergent, le chocolat noir, quelques épices aussi. Mais même après une seconde gorgée, texture passagère et qui manque de pérennité, même le taux d’alcool n’aide pas le whisky à durer. Finale un peu sèche, très fruitée mais relativement douce.

Patrick 92%
Nez : Xérès, chêne, caramel, malt sucré et alcool. Bouche : Xérès (vraiment pas subtil!), air marin, une pointe de tourbe plutôt subtile, sucre brûlé. Finale : Longue, très longue, et très intense. Marquée par le xérès, le chêne et le sel. Balance : Sublime! J’ai trouvé cette bouteille (à très bon prix!) récemment dans un liquor store d’un village perdu en Allemagne… Elle ramassait la poussière depuis longtemps, et le propriétaire de la boutique était très content de s’en départir. Toutefois, après avoir payé, je lui ai demandé s’il avait d’autres bouteilles comme celle-là et j’ai vu dans son regard qu’il venait de réaliser qu’il s’était fait un peu avoir!

Martin 92%
Ambre foncé, citrouille dorée et orange joviale. Nez: L’orge fumée se marie à merveille avec les notes classiques du xérès. Caramel, bois, raisin et miel. Bouche: Fruits rouges, tourbe, caramel salé, cassonade chauffée, tabac à pipe à la cerise, épices, sublime… Finale: Épices et fumée sur une longueur à perte de vue. Équilibre: Une autre splendide expression de Bowmore, qui sait habilement nous surprendre avec son malt tourbé assorti à tous les fûts.

RV 88%
Avec ses bien connus sel, tourbe et petite fumée, une Bowmore beaucoup plus pure avec l’essence même de ses barils. Un bouteille straight to the point, bien attentionnée et doucement directe.

Bowmore Craftmen’s Collection, Maltmen’s Selection 13 ans

54.6% alc./vol.
Une selection de 5 fûts sherry butts distillés le 13 juillet 1993 (#1551, 1552 1553, 1559 & 1560) par les quatre Maltmen’s de Bowmore.

André 91%
Bouteille 2569 de 3000. Bowmore nous a habitué à cette qualité dans le passé, qualité que l’on doit maintenant payer 700-800$ la bouteille. Nez entier et complexe. Cerises noires trempées dans le chocolat au lait, cassonnade caramélisée, fumée de tourbe salée aux accents maritimes, cosses d’oranges et une touche de parma violet, ce trait distinctif des anciens Bowmore. La bouche est un gros bloc de fruits secs de sherry, très bold et compact. La texture est grasse et amoureuse, qui nappe la bouche avec amour. Une fois la légère morsure d’alcool passée, les notes chocolatées prennent le relais, puis servent de toile de fond aux saveurs de café torréfié, de cerises noires, raisins secs et d’oranges, recouverts d’un fin nuage de fumée de tourbe terreuse et salée et de caramel chauffé sur le feu de camp. Longue finale un peu sèche, sensation de poussière de pierre sur les dents et une montée de sherry fruité très intense qui s’accompagne d’une fumée de tourbe parsemée d’épices poivrées et salées bien persistantes.

Patrick 91%
Bouteille 2948 de 3000. Riche sucre au nez, prunes et chocolat à la cerise. Chêne brûlé. Tout aussi complexe au goût, avec une délicate touche de tourbe. Un superbe dram où s’exprime toute la puissance et la complexité de Bowmore! Bowmore, son sel, ses fûts de xérès. Un excellent whisky s’il en est un, mais qui ne vaut définitivement pas le prix demandé pour. Achetez-vous plutôt du 15 ans « régulier », c’est presque aussi bon, c’est 2 ans plus vieux, et pour le prix de celui-ci, vous pourrez vous en payer une pleine caisse! Nez: Oh. Intense. Riche. Du sucre, des fruits mûrs, du chocolat aux cerises, un peu de sel et une délicieuse fumée de tourbe. Bouche : Ici le sel et la fumée sont plus intenses, mais les fruits mûrs du xérès ne sont pas adoucis pour autant. Le tout accompagné par une subtile note de pierre de savon. Finale : D’une superbe longueur, marquée par la fumée et surtout par le sel.