Suntory Yamazaki 12 ans

43% alc./vol.

André 85%
Nez fruité; sherry, gélato aux cerise, orange et toffee-fudge. Bien équilibré mais assez restreint comme arômes. Relevé par les épices en bouche, style affinage de sherry, un zeste de citron, miel. L’arrivée en finale est une accalmie avant le soulèvement de la finale, bien servie par une bouffée d’alcool épicée et un peu florale peut-être et un brin cireuse.

RV 82%
Nez: Nanda kore? Ça tire partout en même temps, mais on sait pas où. Goût: épicé et vanille intéressant, un peu poivré, bonne finale sucrée; Dessus d’une crème brûlée et agrumes; goûte le Speyside, à la limite Lowland.

Patrick 88%
Nez délicat, mélasse et vanille, avec une touche de xérès. Au goût, cerises, fraises, raisins rouges et orge se combinent admirablement. La finale est longue et complexe, marquée par le sel et les raisins secs. Un très bon rapport qualité-prix.

Martin 89.5%
Aussi doré qu’une Sapporo. Nez: Miel, orge et baies de genévrier. Floral avec un brin de cannelle et de sucre à glacer. Bouche: Plutôt doux et huileux. Encore du miel, accompagné cette fois d’une touche de crème brûlée. Notes de chêne, d’épices et de lime. Finale: Sèche avec une bonne longueur. Sucre d’orge, fruits séchés et épices. Équilibre: Un excellent « whisky du monde », facile à boire. Un parfait exemple du savoir-faire japonais.

Mackmyra Special #03 Små Fat (Small Cask)

48.2% alc./vol.
Conçu à partir de fûts de 30 litres provenant de 2 recettes différentes et de trois types de fûts différents – ex-bourbon casks, ex-sherry casks et new Swedish oak casks.

André 85%
Élisabeth dit quelle sent les pommes et je seconde, la pomme et les fruits, les petits fruits sauvages, le sucre et le bois fraichement coupé. Question de goût personnel, je ne raffole pas de l’amertume des dits petits fruits sauvages, la conjonction de celle-ci avec l’alcool faisant probablement le reste… La bouche est un peu flasque même si débordante de fruits. En respirant, l’ensemble tourne plus sur les notes de vanille et de sucre. Finale de belle longueur, un mélange de fruits, de sucre et de bois sec.

Patrick 85%
Nez très léger marqué par l’alcool et les agrumes. Ca sent le jeune whisky, le new make ne semble pas loin… En bouche, toujours l’alcool et le new make. Une fois cette impression dissipée, on découvre un beau bouquet d’agrumes et toujours cette touche rappelant le chèvrefeuille, ou du moins ses feuilles dans ce cas-ci. La finale est relativement longue, avec une touche épicée provenant probablement du fût. Un whisky intéressant, qui semble s’améliorer à chaque gorgée.

Martin 90.5%
Nez: Houblon sucré, orange voire même marmelade fumée. S’annonce doux. Fond de caramel et de toffee. Bouche: Crémeux et onctueux. Fond en bouche comme un poisson frais. Canne à sucre, confitures et encore marmelade. Finale: La plus délicate des fumées. Impression de menthe poivrée. Équilibre: Impregné de la touche typique de Mackmyra.

RV 85.5%
Un retour vers le passé chimique et agréable de la distillerie toujours challengeante. Très parfumé avec plus de profondeur que les autres Mackmyra Special, le nez est aussi le plus bizarre de la série, avec le côté chimique qui trouve de l’orange sanguine et la vanille. En bouche le cure-pipe du Preludium se laisse goûter puis enfin la prune boucle le tout gustativement. Finale de grain sec moelleux, l’origine agricole est plus évidente que dans le profil moyen de Mackmyra. Pas totalement convaincu étant donné l’aspect généralement botanique qui conclut l’aftertaste, cette édition est à essayer mais ne saurait être mon premier choix pour un whisky suédois.

Redbreast 12 ans

40% alc./vol.
La méthode traditionnelle Irlandaise de faire du whiskey: Fait dans des alambics de cuivre à partir d’un mélange d’orge malté et non malté et distillé trois fois. Élaboré au sein de la distillerie Midleton à partir d’un mélange à parts égales d’orge maltée et d’orge non maltée.

André 83%
Très fruité et cerises, doux et approchable. Bourbonesque mais plus rond que son loin cousin américain. Sucre et vanille en finale dosé avec respect. Superbe achat qualité-prix.

Patrick 82%
Au nez, arôme épicé et complexe, un peu huileux. Frais. au goût, épices, orge et un peu de sherry. Huileux. Lin. En finale, toffee et notes de sherry. Une découverte très intéressante.

Martin 92%
D’un orange doré qui évoque les mystérieuses cités d’or… Nez: Toffee fruité. Peut par moments rappeler un rye. Toujours un whisky de Noël. Gâteau aux fruits et cassonade. Bouche: On a l’impression que l’orge fond dans la bouche. Attaque de canne à sucre, de vanille, de miel et de cannelle. Sucré et épicé, rappelle pratiquement un rhum épicé des caraïbes. Finale: Les épices déscendent flegmatiquement pour laisser la céréale s’exprimer. Équilibre: Tout est au diapason. Ça donne hâte à Noël. Le dram ultime du temps des fêtes.

Glenmorangie 25 ans Quarter Century

43% alc./vol.
Membre le plus ancien de la famille Glenmorangie, ce single malt possède une tenue et une intensité remarquables. Bien corsé, le Glenmorangie 25 ans d’âge représente réellement notre engagement sans faille pour la perfection. Vieilli dans une série de fûts, y compris des fûts de chêne blanc d’Amérique, des fûts de sherry Oloroso et des fûts de Bourgogne français, avant d’être mélangé en quantités exactement équivalentes.

André 92.5%
Nez élégant et fruité (oranges, prunes) et ce qui ressemble à du sherry noble, cire d’abeille et miel. Superbe balance, équilibre des éléments. Arrivée en bouche assez puissante, les épices au front, soutenues par de plus douces notes mielleuses et fruitées, encore une fois principalement les oranges. Finale passablement longue, surtout pour d’aussi douces notes et même si il est un peu sec en finale de bouche. Peut-être un peu trop de ”wood influences” en finale mais globalement, un superbe whisky… malheureusement trop cher.

Patrick & Pierre-Luc 94%
Parfum vineux, notes de céréales et d’amandes. En bouche, l’ensemble est sucré et fruité, d’une complexité incroyable : fruits séchés, mûres, des cerises, prunes et dattes mêlées au chocolat et au café. La finale s’étire sur le sucre. Il ne s’agit définitivement pas d’un whisky de tous les jours. Pour l’apprécier, il faut définitivement une certaine dose de recueillement! Mais alors, quelle surprise : j’ai rarement trouvé un whisky aussi complexe.

Martin 94%
Nez: Sherry, fruits, amandes. Une grande kermesse mêlant l’orge juteuse à la frangipane à la mangue de ma belle-mère. Bouche: Caramel salé, miel, fleurs, cannelle et épices. Parfois le chêne et le cacao tentent une percée mais restent effarouchés malgré tout. Finale: Un brin mentholé, épicé. L’influence du sherry semble sans fin. Des notes de chocolat au café semblent vouloir s’éveiller. Équilibre: Plus balancé que ça tu meurs. D’une élégance et d’une souveraineté sans pareil. Même si vous n’aimez pas le whisky, je mets au défi quiconque de lever le nez là-dessus. Respectez au moins son sommeil d’un quart de siècle.

Johnnie Walker Platinum Label 18 ans

40% alc./vol.

André 87%
Introduction de “grain whisky”, de céréales, de sucre et de timide fumée. Une fois le premier souffle du whisky évaporé, il s’assagit rapidement et la vanille et le caramel montent en scène. La bouche est uniforme sur les notes de céréales sucrées, la vanille et la texture est un peu molle et un peu trop fluide mais tellement agréable et est soulevée par une pointe intéressante d’épices. Finale sur le sucre et la vanille, le chocolat. Une belle découverte.

Patrick 92%
Nez : Pâte d’amande, pelure d’orange, vanille, chêne, sel, une complexité étonnante. Bouche : Pomme verte, fumée, fruits tropicaux, chêne brûlé, biscuits, zeste d’orange. Finale : S’étire moyennement sur le zeste d’orange et les noix. Balance : L’une de mes meilleurs blend à vie.

Martin 86.5%
Nez: Beau mélange, sucres vanillés, fruits séchés, légère fumée, citron, très complexe. Le caramel écossais y est très lourd. On sent l’effort derrière la composition de ce blend. Bouche: Huileux et riche. Miel et fumée s’abandonnent à une harmonieuse joute d’escrime. Étonnament doux et balancé. Un brin d’orange et de chêne font une visite vers la fin.. Finale: Vapeurs de citron et d’orange. Un peu trop doux par rapport au reste, presque décevant. Équilibre: Je n’ai jamais été naturellement porté vers les blends, probablement par préjugés non-fondés. Mais le Platinum Label me jette par terre, il a été élaboré avec amour, et ça se voit.

Canadian Club 12 ans Classic

40% alc./vol.
Assemblé en baril, ce whisky vieillit pendant 12 ans dans des barils en chêne blanc. Le Canadian Club 12 ans un blend spécial de whiskies vieillis pendant 12 ans et non pas seulement une version du C.C. 6 ans qui a vieilli plus longtemps.

André 86%
Nez hyper doux velouté offrant amandes, fruits divers accompagné d’un boisé très intéressant. Texture en bouche très soyeuse, légèrement épicée et vanillée. La définition de “simple is beautiful”.

Patrick 78%
Cassonade et fruits murs qui se marient de façon délicieuse au nez. Le goût est un peu décevant par rapport au nez… Les fruits et la cassonade se retrouvent enveloppés d’une épice débalancée. La finale épicée lui permet toutefois de regagner quelques points.

Martin 83%
D’une couleur aussi cuivrée que feu la cenne noire fraîchement frappée, plongeons dans le vif de la dégustation. Nez: Sucré, vanillé, plutôt herbeux et fermé. Une touche de colle à bois essaie de percer. Aucun rye en vue. Bouche: Une sorte de magie insolite s’opère. À peine huileux, rayon de miel avec une bonne dose d’épices. Sirop d’érable dilué, mais différent du Sortilège. Finale: Très courte. un tout petit peu de vanille et de raisin qui se volatilisent en criant lapin. Équilibre: Tout se passe en bouche. Un bel effort mielleux. Prix justifié. Excellent choix quand on est pas assez sûr d’être remis d’un rhume pour boire des trucs plus ruineux.

RV 80%
Cuir un peu plus citrouillé que sa jeune sœur, plus fancy et accompagné de raisins rouges. Moins agréable en bouche, et la finale est trop passagère. Commence trop bien pour la finale laiteuse mais amorphe. Le genre qu’on passe au prochain sans et rebuter mais sans trop réfléchir non plus.

Talisker 10 ans

45.8% alc./vol.
La distillerie fut fondée en 1830 par deux frères, Hugh et Kenneth Mac Askill, fils de docteur ; après différents essais, Carbost fut choisi comme emplacement définitif. La distillerie fut rénovée en 1880 puis agrandie en 1900. Elle passa sous la houlette d’un groupement d’assembleurs la D.C.L. (Distillers Company Ltd.) en 1925 et cessa de pratiquer la triple distillation jusque là en usage en 1928. En partie reconstruite en 1960 à la suite d’un incendie, elle conserva néanmoins quelques éléments de la distillation traditionnelle : des washbacks en bois, ainsi qu’un système de condenseurs immergés dans des cuves en bois situées à l’extérieur des bâtiments (une des rares choses ayant survécu à l’incendie). Ce single malt est aussi utilisé pour les blends Johnnie Walker et White Horse ainsi que pour la liqueur Drambuie.

André 88%
Poivré et fumé punché. Goût prononcé de fond de cendrier de vieilles matantes lors du party de Noël. La singularité même et que ce soit juste pour ça, il mérite la note attribuée. La lave des Cuillins.. for sure !

Patrick 91%
Wow, un de mes préférés! Fumée explosive! Épices fortes, poivre, rocheux volcanique. Robuste, on adore ou on déteste!

Martin 87%
D’une teinte orange rosé, j’avoue me lancer en territoire inexploré. Nez: Cuir, tourbe et iode. Beef jerky poivré. Feuilles de tabac à pipe. Fruits séchés en-dessous avec une pointe de pelure d’orange. Bouche: Doux et sucré, fumée un peu moins présente qu’au nez. Serait-ce une touche de chocolat noir derrière tout ça? Finale: Un peu de cuir, un peu de boucane de tourbe. Regrettablement courte. Équilibre: Une belle entrée pour Talisker. Je suis curieux d’en essayer d’autres.

RV 86%
Beaucoup plus chocolaté qu’à ma souvenance, la fumée est assez douce, presqu’absente, mais les épices sont bel et bien là. En bouche il est tout de cuir, spécialement en finale, bien mélangé aux épices, légèrement animal: poil ras sous la selle du cheval. Le poivre n’est plus aussi sauvage que par le passé, mais cette domestication n’est pas optimale: celle-ci traîne loin derrière le mustang pur-sang qu’on retrouvait par le passé.

Highland Park 10 ans Ambassador Cask #2

58.8% alc./vol.
Distillé en 1996 et embouteillé en 2006, fût #1071, 594 bouteilles.

André 89%
Sherry et cerises marasquin, orange, chocolat, miel avec un accent de noisettes. En bouche, superbe texture, puissant sur les notes de cerises (un peu déboussolant venant de Highland Park) et une bonne puissance d’alcool jumelé d’une touche salée asséchant l’ensemble très rapidement. Jumelé aux épices, la finale de bouche procure un effet assez singulier en s’accrochant exclusivement sur le dessus de la langue. Rétro-olfaction rectiligne sur les cerises marasquin. Un Highland Park inhabituel, puissant mais bien conçu.

Nikka Single Coffey Malt 12 ans

55% alc./vol.
Bouteille #2948 de 3027. À l’instar des single grains, ce single malt a été distillé dans un alambic à colonnes Coffey en cuivre. Une originalité qui met une nouvelle fois en exergue le savoir-faire des masters distillers japonais: ce type de malt a disparu d’Écosse dans les années 1960 ! Une série limitée à 3027 flacons (dont 996 pour l’Europe) dans une présentation originale.

André 88.5%
Nez discret; un réel challenge pour un amateur de whisky. Céréales, balleau de foin pas complètement séché avec une touche légèrement herbeuse, biscuits sablés, touche de sel, sirop brun. Noble en bouche, ressemble à un single grain whisky âgé en moins pointu. Biscuits à la mélasse, céréales Sugar Crisp pas trop sucrées, peut-être même un peu salées. Pas très évolutif, mais pousse à son apogée ce qu’il présente au nez et en bouche. Un malt qui ne se donne pas à qui veut bien, qui nécessite d’être apprivoisé. Un travail de séduction qui demande de la patience et du savoir faire. Définitivement pas pour les gens pressés.

Patrick 95.5%
Nez tout à fait unique de bourbon épicé, hickory-BBQ, miel, wow!!! Côté goût, une expérience incroyable… impossible à décrire suite à première gorgée… la succession de vagues de saveurs est tout simplement étourdissante ! Le temps de d’essayer de mettre un nom sur le premier goût qui nous vient en bouche, nous sommes laissés loin derrière, ensevelis sous une avalanche inattendue et savoureuse. Dans un premier temps, on a l’impression d’avoir un bourbon en bouche, puis un rye, puis un vieux rhum et enfin un whisky irlandais sur les stéroïdes ! Épices, fruits, orge, seigle, chêne, chocolat, miel, vanille, nommez les, ils y sont ! La finale s’éternise durant de nombreuses minutes en nous laissant dans un état contemplatif qui nous mène à la conclusion que la vie mérite d’être vécue !!! Définitivement, même si vous devez aller la chercher au Japon, cette bouteille en vaut absolument la peine ! Si un whisky pouvait faire pleurer, il s’agirait de ce whisky (je crois d’ailleurs avoir une graine dans l’œil, ou quelque chose…). Dans mon top 2.

RV 94%
Un autre pitch de marketing qui mort la poussière: les alambics pot stills ne sont pas les seuls à posséder la vérité absolue. De la tourbe qui se mélange à la muscade et à la bananes des whiskies japonais, ça peut marcher? Dans un mélange tout naturel de chêne et de vanille, oui, vraiment. En y ajoutant de la fumée de papier qui brûle. En bouche, est très insistant pour qu’on l’avale rapidement afin de bénéficier des fruits de mangues et de bananes, le tout de manière très soutenue, avec un aftertaste de grain qui conclut très bien l’expérience.

Mackinlay’s Shackleton Rare Old Highland Malt – 1ère édition

47.3% alc./vol.
La reproduction d’un whisky pris au piège dans la glace de l’antarctique pendant presque cent ans, Mackinlay’s Shackleton est un whisky rare et exceptionnel, le fruit du travail et recherche de l’un des plus grands maîtres assembleurs écossais, Richard Paterson de Whyte & MacKay.

Suite à la découverte en 2006 de trois caisses de whisky Mackinlay dans la cabane du célèbre explorateur sir Ernest Shackleton au pôle sud, le groupe Whyte & MacKay, propriétaire de la marque s’est vu confier, en vue d’en extraire les secrets, quelques échantillons du précieux liquide. L’une des caisses fut libérée de la glace et méticuleusement décongelée dans des conditions de laboratoire au musée Canterbury à Christchurch, afin de préserver les bouteilles et le whisky de la meilleure façon possible. Méticuleusement ouverte pour révéler au final onze bouteilles de scotch datant de 1896/1897 enveloppées de papier et de paille pour les protéger contre les rigueurs d’un rude voyage orchestré par Shackleton en 1907, trois bouteilles ont été expédiées par avion privé depuis la Nouvelle-Zélande vers Glasgow – où siège Whyte & MacKay – par le propriétaire de la société, Vijay Mallya accompagné de Richard Paterson.

Paterson a ensuite rigoureusement assemblé une variété de malts pour créer une réplique de ce whisky centenaire. La réplique du Mackinlay contient du whisky issu d’une large variété de malts des Highlands, y compris de Glen Mhor, qui était la distillerie de Mackinlay, avant de fermer en 1983.

André 81%
Céréales en avant-plan, beaucoup d’herbe, tarte aux pommes ou citron-meringue. Pauvre de texture en bouche, plein de notes de vanille, effilées par les épices à saveur de cannelle. Passablement d’alcool aussi d’où resurgissent des pointes herbeuses, ces mêmes trouvées au nez. Finale singulière ayant les céréales en toile de fond et toujours cette vanille et ces pointes d’herbes à saveur de menthe. Personnellement je n’aime pas toute les arômes herbeuses alors ce whisky part avec un désavantage qui le suivra jusqu’en finale.

Patrick 95%
Probablement le meilleur vatted que j’aie jamais goûté! Je ne vois simplement pas comment on aurait pu faire mieux. Ça donne le goût de voyager dans le temps en 1907, et de s’embarquer pour l’Antarctique!! Nez : Superbe parfum extraordinairement riche, complexe et surtout d’une balance exceptionnelle. Bref, fumée délicate, vanille, herbes, chêne, fruits et agrumes subtils ainsi qu’une pointe de miel. Bouche : Toujours la fumée, avec de belles notes épicées et boisées, des herbes, du miel, du chêne et une touche d’agrumes subtile. Complexe et balancé magistralement. Superbe texture huileuse. Finale : D’une belle longueur et épicée.

RV 86%
À l’opposé de sa bouteille et de sa boîte, pas de décor, un “follow spot” sur le soliste pour le simple spectacle acoustiquement sympathique. Apaisant: tranquille sans être ennuyant. Fleuri non agressif, beau miel doux a la Balvenie. En bouche, un peu pimenté, encore tranquille mais la finale est remplie de tourbe sucrée, spéciale sans être exubérante. Finale relax qui conclut un spectacle agréable, sans être le meilleur de ma vie.