Glenmorangie 25 ans Quarter Century

43% alc./vol.
Membre le plus ancien de la famille Glenmorangie, ce single malt possède une tenue et une intensité remarquables. Bien corsé, le Glenmorangie 25 ans d’âge représente réellement notre engagement sans faille pour la perfection. Vieilli dans une série de fûts, y compris des fûts de chêne blanc d’Amérique, des fûts de sherry Oloroso et des fûts de Bourgogne français, avant d’être mélangé en quantités exactement équivalentes.

André 92.5%
Nez élégant et fruité (oranges, prunes) et ce qui ressemble à du sherry noble, cire d’abeille et miel. Superbe balance, équilibre des éléments. Arrivée en bouche assez puissante, les épices au front, soutenues par de plus douces notes mielleuses et fruitées, encore une fois principalement les oranges. Finale passablement longue, surtout pour d’aussi douces notes et même si il est un peu sec en finale de bouche. Peut-être un peu trop de ”wood influences” en finale mais globalement, un superbe whisky… malheureusement trop cher.

Patrick & Pierre-Luc 94%
Parfum vineux, notes de céréales et d’amandes. En bouche, l’ensemble est sucré et fruité, d’une complexité incroyable : fruits séchés, mûres, des cerises, prunes et dattes mêlées au chocolat et au café. La finale s’étire sur le sucre. Il ne s’agit définitivement pas d’un whisky de tous les jours. Pour l’apprécier, il faut définitivement une certaine dose de recueillement! Mais alors, quelle surprise : j’ai rarement trouvé un whisky aussi complexe.

Martin 94%
Nez: Sherry, fruits, amandes. Une grande kermesse mêlant l’orge juteuse à la frangipane à la mangue de ma belle-mère. Bouche: Caramel salé, miel, fleurs, cannelle et épices. Parfois le chêne et le cacao tentent une percée mais restent effarouchés malgré tout. Finale: Un brin mentholé, épicé. L’influence du sherry semble sans fin. Des notes de chocolat au café semblent vouloir s’éveiller. Équilibre: Plus balancé que ça tu meurs. D’une élégance et d’une souveraineté sans pareil. Même si vous n’aimez pas le whisky, je mets au défi quiconque de lever le nez là-dessus. Respectez au moins son sommeil d’un quart de siècle.

Johnnie Walker Platinum Label 18 ans

40% alc./vol.

André 87%
Introduction de “grain whisky”, de céréales, de sucre et de timide fumée. Une fois le premier souffle du whisky évaporé, il s’assagit rapidement et la vanille et le caramel montent en scène. La bouche est uniforme sur les notes de céréales sucrées, la vanille et la texture est un peu molle et un peu trop fluide mais tellement agréable et est soulevée par une pointe intéressante d’épices. Finale sur le sucre et la vanille, le chocolat. Une belle découverte.

Patrick 92%
Nez : Pâte d’amande, pelure d’orange, vanille, chêne, sel, une complexité étonnante. Bouche : Pomme verte, fumée, fruits tropicaux, chêne brûlé, biscuits, zeste d’orange. Finale : S’étire moyennement sur le zeste d’orange et les noix. Balance : L’une de mes meilleurs blend à vie.

Martin 86.5%
Nez: Beau mélange, sucres vanillés, fruits séchés, légère fumée, citron, très complexe. Le caramel écossais y est très lourd. On sent l’effort derrière la composition de ce blend. Bouche: Huileux et riche. Miel et fumée s’abandonnent à une harmonieuse joute d’escrime. Étonnament doux et balancé. Un brin d’orange et de chêne font une visite vers la fin.. Finale: Vapeurs de citron et d’orange. Un peu trop doux par rapport au reste, presque décevant. Équilibre: Je n’ai jamais été naturellement porté vers les blends, probablement par préjugés non-fondés. Mais le Platinum Label me jette par terre, il a été élaboré avec amour, et ça se voit.

Canadian Club 12 ans Classic

40% alc./vol.
Assemblé en baril, ce whisky vieillit pendant 12 ans dans des barils en chêne blanc. Le Canadian Club 12 ans un blend spécial de whiskies vieillis pendant 12 ans et non pas seulement une version du C.C. 6 ans qui a vieilli plus longtemps.

André 86%
Nez hyper doux velouté offrant amandes, fruits divers accompagné d’un boisé très intéressant. Texture en bouche très soyeuse, légèrement épicée et vanillée. La définition de “simple is beautiful”.

Patrick 78%
Cassonade et fruits murs qui se marient de façon délicieuse au nez. Le goût est un peu décevant par rapport au nez… Les fruits et la cassonade se retrouvent enveloppés d’une épice débalancée. La finale épicée lui permet toutefois de regagner quelques points.

Martin 83%
D’une couleur aussi cuivrée que feu la cenne noire fraîchement frappée, plongeons dans le vif de la dégustation. Nez: Sucré, vanillé, plutôt herbeux et fermé. Une touche de colle à bois essaie de percer. Aucun rye en vue. Bouche: Une sorte de magie insolite s’opère. À peine huileux, rayon de miel avec une bonne dose d’épices. Sirop d’érable dilué, mais différent du Sortilège. Finale: Très courte. un tout petit peu de vanille et de raisin qui se volatilisent en criant lapin. Équilibre: Tout se passe en bouche. Un bel effort mielleux. Prix justifié. Excellent choix quand on est pas assez sûr d’être remis d’un rhume pour boire des trucs plus ruineux.

RV 80%
Cuir un peu plus citrouillé que sa jeune sœur, plus fancy et accompagné de raisins rouges. Moins agréable en bouche, et la finale est trop passagère. Commence trop bien pour la finale laiteuse mais amorphe. Le genre qu’on passe au prochain sans et rebuter mais sans trop réfléchir non plus.

Talisker 10 ans

45.8% alc./vol.
La distillerie fut fondée en 1830 par deux frères, Hugh et Kenneth Mac Askill, fils de docteur ; après différents essais, Carbost fut choisi comme emplacement définitif. La distillerie fut rénovée en 1880 puis agrandie en 1900. Elle passa sous la houlette d’un groupement d’assembleurs la D.C.L. (Distillers Company Ltd.) en 1925 et cessa de pratiquer la triple distillation jusque là en usage en 1928. En partie reconstruite en 1960 à la suite d’un incendie, elle conserva néanmoins quelques éléments de la distillation traditionnelle : des washbacks en bois, ainsi qu’un système de condenseurs immergés dans des cuves en bois situées à l’extérieur des bâtiments (une des rares choses ayant survécu à l’incendie). Ce single malt est aussi utilisé pour les blends Johnnie Walker et White Horse ainsi que pour la liqueur Drambuie.

André 88%
Poivré et fumé punché. Goût prononcé de fond de cendrier de vieilles matantes lors du party de Noël. La singularité même et que ce soit juste pour ça, il mérite la note attribuée. La lave des Cuillins.. for sure !

Patrick 91%
Wow, un de mes préférés! Fumée explosive! Épices fortes, poivre, rocheux volcanique. Robuste, on adore ou on déteste!

Martin 87%
D’une teinte orange rosé, j’avoue me lancer en territoire inexploré. Nez: Cuir, tourbe et iode. Beef jerky poivré. Feuilles de tabac à pipe. Fruits séchés en-dessous avec une pointe de pelure d’orange. Bouche: Doux et sucré, fumée un peu moins présente qu’au nez. Serait-ce une touche de chocolat noir derrière tout ça? Finale: Un peu de cuir, un peu de boucane de tourbe. Regrettablement courte. Équilibre: Une belle entrée pour Talisker. Je suis curieux d’en essayer d’autres.

RV 86%
Beaucoup plus chocolaté qu’à ma souvenance, la fumée est assez douce, presqu’absente, mais les épices sont bel et bien là. En bouche il est tout de cuir, spécialement en finale, bien mélangé aux épices, légèrement animal: poil ras sous la selle du cheval. Le poivre n’est plus aussi sauvage que par le passé, mais cette domestication n’est pas optimale: celle-ci traîne loin derrière le mustang pur-sang qu’on retrouvait par le passé.

Highland Park 10 ans Ambassador Cask #2

58.8% alc./vol.
Distillé en 1996 et embouteillé en 2006, fût #1071, 594 bouteilles.

André 89%
Sherry et cerises marasquin, orange, chocolat, miel avec un accent de noisettes. En bouche, superbe texture, puissant sur les notes de cerises (un peu déboussolant venant de Highland Park) et une bonne puissance d’alcool jumelé d’une touche salée asséchant l’ensemble très rapidement. Jumelé aux épices, la finale de bouche procure un effet assez singulier en s’accrochant exclusivement sur le dessus de la langue. Rétro-olfaction rectiligne sur les cerises marasquin. Un Highland Park inhabituel, puissant mais bien conçu.

Nikka Single Coffey Malt 12 ans

55% alc./vol.
Bouteille #2948 de 3027. À l’instar des single grains, ce single malt a été distillé dans un alambic à colonnes Coffey en cuivre. Une originalité qui met une nouvelle fois en exergue le savoir-faire des masters distillers japonais: ce type de malt a disparu d’Écosse dans les années 1960 ! Une série limitée à 3027 flacons (dont 996 pour l’Europe) dans une présentation originale.

André 88.5%
Nez discret; un réel challenge pour un amateur de whisky. Céréales, balleau de foin pas complètement séché avec une touche légèrement herbeuse, biscuits sablés, touche de sel, sirop brun. Noble en bouche, ressemble à un single grain whisky âgé en moins pointu. Biscuits à la mélasse, céréales Sugar Crisp pas trop sucrées, peut-être même un peu salées. Pas très évolutif, mais pousse à son apogée ce qu’il présente au nez et en bouche. Un malt qui ne se donne pas à qui veut bien, qui nécessite d’être apprivoisé. Un travail de séduction qui demande de la patience et du savoir faire. Définitivement pas pour les gens pressés.

Patrick 95.5%
Nez tout à fait unique de bourbon épicé, hickory-BBQ, miel, wow!!! Côté goût, une expérience incroyable… impossible à décrire suite à première gorgée… la succession de vagues de saveurs est tout simplement étourdissante ! Le temps de d’essayer de mettre un nom sur le premier goût qui nous vient en bouche, nous sommes laissés loin derrière, ensevelis sous une avalanche inattendue et savoureuse. Dans un premier temps, on a l’impression d’avoir un bourbon en bouche, puis un rye, puis un vieux rhum et enfin un whisky irlandais sur les stéroïdes ! Épices, fruits, orge, seigle, chêne, chocolat, miel, vanille, nommez les, ils y sont ! La finale s’éternise durant de nombreuses minutes en nous laissant dans un état contemplatif qui nous mène à la conclusion que la vie mérite d’être vécue !!! Définitivement, même si vous devez aller la chercher au Japon, cette bouteille en vaut absolument la peine ! Si un whisky pouvait faire pleurer, il s’agirait de ce whisky (je crois d’ailleurs avoir une graine dans l’œil, ou quelque chose…). Dans mon top 2.

RV 94%
Un autre pitch de marketing qui mort la poussière: les alambics pot stills ne sont pas les seuls à posséder la vérité absolue. De la tourbe qui se mélange à la muscade et à la bananes des whiskies japonais, ça peut marcher? Dans un mélange tout naturel de chêne et de vanille, oui, vraiment. En y ajoutant de la fumée de papier qui brûle. En bouche, est très insistant pour qu’on l’avale rapidement afin de bénéficier des fruits de mangues et de bananes, le tout de manière très soutenue, avec un aftertaste de grain qui conclut très bien l’expérience.

Mackinlay’s Shackleton Rare Old Highland Malt – 1ère édition

47.3% alc./vol.
La reproduction d’un whisky pris au piège dans la glace de l’antarctique pendant presque cent ans, Mackinlay’s Shackleton est un whisky rare et exceptionnel, le fruit du travail et recherche de l’un des plus grands maîtres assembleurs écossais, Richard Paterson de Whyte & MacKay.

Suite à la découverte en 2006 de trois caisses de whisky Mackinlay dans la cabane du célèbre explorateur sir Ernest Shackleton au pôle sud, le groupe Whyte & MacKay, propriétaire de la marque s’est vu confier, en vue d’en extraire les secrets, quelques échantillons du précieux liquide. L’une des caisses fut libérée de la glace et méticuleusement décongelée dans des conditions de laboratoire au musée Canterbury à Christchurch, afin de préserver les bouteilles et le whisky de la meilleure façon possible. Méticuleusement ouverte pour révéler au final onze bouteilles de scotch datant de 1896/1897 enveloppées de papier et de paille pour les protéger contre les rigueurs d’un rude voyage orchestré par Shackleton en 1907, trois bouteilles ont été expédiées par avion privé depuis la Nouvelle-Zélande vers Glasgow – où siège Whyte & MacKay – par le propriétaire de la société, Vijay Mallya accompagné de Richard Paterson.

Paterson a ensuite rigoureusement assemblé une variété de malts pour créer une réplique de ce whisky centenaire. La réplique du Mackinlay contient du whisky issu d’une large variété de malts des Highlands, y compris de Glen Mhor, qui était la distillerie de Mackinlay, avant de fermer en 1983.

André 81%
Céréales en avant-plan, beaucoup d’herbe, tarte aux pommes ou citron-meringue. Pauvre de texture en bouche, plein de notes de vanille, effilées par les épices à saveur de cannelle. Passablement d’alcool aussi d’où resurgissent des pointes herbeuses, ces mêmes trouvées au nez. Finale singulière ayant les céréales en toile de fond et toujours cette vanille et ces pointes d’herbes à saveur de menthe. Personnellement je n’aime pas toute les arômes herbeuses alors ce whisky part avec un désavantage qui le suivra jusqu’en finale.

Patrick 95%
Probablement le meilleur vatted que j’aie jamais goûté! Je ne vois simplement pas comment on aurait pu faire mieux. Ça donne le goût de voyager dans le temps en 1907, et de s’embarquer pour l’Antarctique!! Nez : Superbe parfum extraordinairement riche, complexe et surtout d’une balance exceptionnelle. Bref, fumée délicate, vanille, herbes, chêne, fruits et agrumes subtils ainsi qu’une pointe de miel. Bouche : Toujours la fumée, avec de belles notes épicées et boisées, des herbes, du miel, du chêne et une touche d’agrumes subtile. Complexe et balancé magistralement. Superbe texture huileuse. Finale : D’une belle longueur et épicée.

RV 86%
À l’opposé de sa bouteille et de sa boîte, pas de décor, un “follow spot” sur le soliste pour le simple spectacle acoustiquement sympathique. Apaisant: tranquille sans être ennuyant. Fleuri non agressif, beau miel doux a la Balvenie. En bouche, un peu pimenté, encore tranquille mais la finale est remplie de tourbe sucrée, spéciale sans être exubérante. Finale relax qui conclut un spectacle agréable, sans être le meilleur de ma vie.

Highland Park 16 ans Thor

52.1% alc./vol.
Valhalla Collection #1.

André 86.5%
Gingembre, vieux bahut de bois avec cire d’abeille, caramel, bois, vanille. Nez soutenu et relativement puissant. En bouche, encore le gingembre et les épices en addition. Texture crémeuse et cireuse à la fois. Pêches, pomme poire. Bon mouth coating. Finale sèche, un peu trop épicée à mon goût, la douceur de la vanille n’arrive pas à en contrebalancer la sècheresse. Très impressionné par sa persistance en bouche. La conjonction épice aide aussi à assécher l’ensemble. Beaucoup de sel en finale et étrangement aussi, du miel. Finale longue, bien épicée à saveur de gingembre présenté avec un feeling terreux. Un whisky en crescendo du nez à la finale.

Patrick 90%
Nez: Bruyère beurré et miel. Bouche: Bruyère, malt, fumé et herbes. Finale: Fumée qui s’étire sur la vanille. Balance: Superbe. Un whisky à apporter avec soi à la pêche.

Martin 91%
Nez: Miel et orange avec une touche d’orge fumée. Bouche: Miel, fraise, beurre, beurre, beurre, caramel salé, fleur de sel, noix d’acajou. Finale: Épices langoureuses suivies d’une remontée de fruits confits et de cannelle. Équilibre: Un vrai de vrai nectar des dieux. Il y a gros fort à parier que bien des gens aimeraient que Highland Park fasse une version plus abordable et accessible de cette expression.

RV 83%
Cette déité à l’entraînement n’a que d’agressifs le nom et le nez. Petite fumée, bruyère et miel, sans être particulièrement sucré il est très doux et olfactivement de bon profil. Surprenante et décevante alors est l’arrivée un peu aigre de grain pas mûr. À au moins 100$ de trop, peu de finale avec un minimum de caractère, ce whisky me laisse l’impression que je devrais en prendre énormément de manière gratuite pour m’y faire.

Brenne 7 ans Organic French Single Malt

40% alc./vol.
Fût #261. Première maturation de 6 ans dans des fûts de chêne neufs in new new Limousin et ensuite affiné en fûts de Cognac.

André 83%
Bananes en purée, poires, globalement très fruité et très sucré sur des lancées de vanille et d’amandes… peut-être un peu trop d’ailleurs. Style whisky-dessert. Pâtisserie française, crème pâtissière. Très sage en bouche. Mais où est le cognac ? Les saveurs sont enrobées d’une pelure de banane qui en fait sa saveur et odeur principale puis les oranges en addition. Finale ample, un peu épicée et bien sucrée. Définitivement, un whisky dessert.

Patrick 79%
Si ce n’était du taux d’alcool de 40%, on jurerait qu’il s’agit d’un Kool Aid. Décevant pour l‘amateur de « vrai » whisky, j’imagine toutefois qu’il saura gagner de très nombreux adeptes qui n’aiment justement pas vraiment le whisky. Nez : Le parfum le plus sucré et le plus fruité que je n’aie jamais vu. En fait, ça sent plus le nananne qu’autre chose. Bouche : Très fruité et sucré, au point de se demander s’il s’agit vraiment d’un whisky. Une vague note de bois épicé nous donne l’impression que c’est peut être le cas, mais sans vraiment dissiper tous nos doutes. Finale : Un peu courte et très sucrée, comme le reste.

Martin 80.5%
Couleur très pâle, comme un chardonnay. Je cherche la couleur du cognac, mais sans succès. Nez: Fruits, baies et anis étoilé. Clou de girofle, cannelle et chocolat à l’orange. Gingembre et pain d’épice gros comme le bras. Penche presque plus vers un gin que vers un whisky. Bouche: Très vineux et épicé, comme un vin chaud de Noël. Fruité avec encore gingembre et pain d’épice. Menthe et cognac dilué. Finale: Longue avec des accents fades de gomme balloune. Équilibre: Un whisky très différent de ce qui se fait communément, mais malheureusement à des lieues de ma palette de goût. Aurait mérité un taux d’alcool supèrieur.

Knockando 18 ans Slow Matured

43% alc./vol.

Martin 82%
Beaucoup plus orangé et profond que le 12 ans. Nez: Plutôt faible, chêne avec une touche de sherry. Notes d’amande et de vanille. Bouche: Miel, vanille et épices. Extrêmement doux. Il faut croire que le temps adoucit les moeurs. Quelques touches de noisette et de fruits secs. Finale: Veloutée. Aucune brûlure d’alcool. Le bois reste un peu mais il est bien le dernier à rester à la fête. Équilibre: Très doux. Son six ans supplémentaire lui a enlevé un brin de mordant. Bien que ce serait un bon choix pour initier un débutant au scotch, ce serait aussi un peu dispendieux et laborieux à obtenir…