Bruichladdich Micro-Provenance 20 ans Château d’Yquem

52.8% alc./vol.
Cask #17, Warehouse #12 Earthen Floor Traditional Stowage, Position D10, Distilled 29/04/1992, Bottled 15/06/2012, Bottle #104

André 91%
Purée de poires et de bananes, soupçon de citron, fromage pâte ferme, amandes trempées dans le miel, cassonade. Onctuosité visqueuse du vin de Sauternes. Superbement complexe. La bouche est plus effilée et épicée, l’alcool semble plus présent. Succulente texture, plus liquide que l’édition Lafite, plus épicée aussi. Mélange de citron, abricots, poires, miel, amandes, vanille, sirop de salade de fruits. Une touche de gingembre en finale de bouche balancé par un bon apport sucré encore une fois. Finale de longueur moyenne, bien épicée et sucrée à la fois, sur les fruits à chair et de poires poêlées nappées de miel chaud. Superbe!

Patrick 78%
Difficile de trouver meilleur exemple que chacun a des goûts et des perceptions différentes. André et moi avons goûté au même échantillon et pourtant, en lisant nos commentaires, on pourrait croire qu’il s’agit de deux whiskys différents. Mais, admettons-le, ça serait platte si nous étions toujours d’accords! Nez : Wouf. Un mélange bizarre et plutôt désagréable d’herbes vertes, de feuilles mortes et de mon linge après une semaine d’exercice de survie dans le bois. Bouche : L’ensemble se replace un peu ici, les herbes sont toujours présentes, mais quasi dominées par du bois brûlé, du gingembre et du citron. Après quelques gorgées, j’y détecte aussi des poires vertes, du miel floral et du chêne sec. Finale : Plutôt longue, herbeuse et boisée.

Bruichladdich Micro-Provenance 20 ans Château Lafite

48.9% alc./vol.
Cask #23, Warehouse #13 Earthen Floor Traditional Stowage, Position D11, Distilled 18/12/1991, Bottled 18/06/2012, Bottle 265 of 298 bottles

André 85%
Les notes de vin rouge prédominent et couvrent les arômes de bananes nappées de crème à saveur de vanille. Compote de fruits rouges sauvages, raisins mauves, oranges, pelures de pommes, belle rondeur envoûtante qui s’accompagne d’une touche d’embruns maritimes. La bouche est douce et offre une belle texture satinée, une touche chlorée ou de souffre vite drapée de fruits rouges et de vin rouge. Mêmes saveurs livrées au nez; fruits sauvages, bleuets, framboises, oranges, raisins, gingembre et sel de mer. Bonne dose de sucre naturels de fruits. Finale moyennement longue, sur les fruits rouges et les raisins secs avec une fine rétro-olfaction de souffre et de chlore.

Patrick 79%
Mouin. On dirait que le fût est resté un peu trop longtemps à attendre avant d’être rempli. Pas mauvais, mais il y a une petite fausse note qui ne me reviens pas. Dommage. Nez : Parfum dominé par du vin chaleureux, une touche de bois poussiéreux et un peu de caramel brûlé. Bouche : Vin marqué par les fruits très mûrs et très-trop boisé. Le tout avec mélange de sucre et d’amertume. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par le bois brûlé.

Ardbeg Supernova SN2019

53.8% alc./vol.
Édition Committee Release, maturation en Ex-Bourbon Casks.

André 88%
Douce insolation de la lointaine supernova. Le nez est maritime et livre un panier de fruits tropicaux bien frais; citron, agrumes, oranges, ananas coupés en morceaux sur un lit de miel chaud tout juste extrait de la ruche, de crème à saveur de vanille et de gomme de sapin verdâtre, d’herbes fraiches du jardin, assaisonné d’une pincée de sel de mer et d’une douce tourbe suave s’accompagnant d’un accent minéral un peu brut. Étonnamment, cet amalgame est doux et raffiné et agréablement approchable malgré une touche sous-entendue un peu crasseuse. La bouche est plus musclée et épicée, et tranche d’avec la douceur du nez. Notes de tartelettes au citron, de tourbe terreuse et de fumée crasseuse, phénolique et verdâtre, sel de mer séché sur les galets, Sapino et eucalyptus, bois verdâtre et cendre froide. Après un 20 minutes d’aération, le nez devient horriblement plat et anonyme. Finale (moyenne) longue pour un Ardbeg, sur la cendre à saveur de citron, le sel de mer sur une texture astringente presque sèche et poivrée.

Patrick 92%
Ça commence avec un petit coup de soleil… Puis une insolation… Puis, la première chose que tu remarques est que le soleil est rendu une Supernova!!! Rock on! Nez : De la fumée de tourbe, du bois, du malt sucré, des fruits exotiques et du goudron sale. Bouche : Du bois brûlé, de la fumée de tourbe poivrée, du malt, du goudron et du sel. Finale : D’une belle longueur, marquée par le goudron et le sel.

Martin 90.5%
Nez: Tourbe maritime et mielleuse, salade de fruits tropicaux dans leur sirop, punch aux fruits, chêne, sel marin, poivre et meringue. La tourbe de départ développe des notes de goudron et revient au galop. Bouche: Fruits doux, tourbe, chêne et noix de pin. Miel chaud et sucre en poudre. Citron et pierre lavée. Une tourbe cendreuse et poivrée boucle le tout. Finale: Salée, fruitée, poivrée, tourbée et cendreuse. Une belle longueur et une belle intensité. Équilibre: Une belle édition remplie de saveurs typiques de la distillerie. En plus avec son degré d’alcool un peu « pimpé », un dram à prendre à l’extérieur par temps maussade pour se réchauffer l’âme.

Blackadder Raw Cask Bowmore 17 ans

53.4% alc./vol.
Cask #20199, Distilled October 15th 2002, Bottle #71 of 308 – 53.4%

André 87%
J’étais vendu aux sherry cask pour les whiskies d’Islay mais j’avoues que depuis environ 3 ans, mon amour pour les bourbon cask prend de l’ampleur. Le nez de ce Bowmore pourrait rappeler les éditions Tempest cask strength qui étaient elles aussi des ex-bourbon cask. Le nez est hyper doux comme la sensation que l’on a lorsque l’on touche des galets, avalanche de fruits tropicaux à chair fraiche, mangue, papaye, bananes et ananas, melon au miel. Vachement cochon comme amalgame de saveurs. La bouche est léchée et sensuelle, texture soyeuse qui éclipse le taux d’alcool, les fruits sont plus discrets et la fumée de tourbe plus présente, se terminant pas des notes de cendre refroidie et citronnée. Un peu court en bouche par contre. Un Bowmore en subtilité et délicatesse, un vent des tropiques au sud du cercle polaire.

Patrick 94%
Un whisky tellement superbe, c’est difficile à croire que je ne l’ai pas aimé au premier abord. Peut-être a-t-il respiré un peu depuis et s’est ainsi amélioré? Ou encore je me suis habitué à cette façon déconcertante de nous présenter le whisky de Bowmore? Qu’importe! L’important est qu’il semble meilleur à chaque gorgée que j’en prends! Sublime! Nez : Un puissant mélange de sel et de fumée de tourbe, de l’huile à moteur, du chêne brûlé et une touche de mangue sucrée, mais pas encore tout à fait mûre. Bouche : Oh, dès, la texture du whisky est extraordinaire! Superbement huileuse et onctueuse et porte les saveurs avec une rare intensité. Du sel et encore du sel, puis de la fumée poivrée, de l’huile à moteur et une touche de fruits tropicaux qui apportent un peu de sucre dans le mélange. Finale : D’une superbe longueur et savoureuse, avec du sel, de l’huile à cuisson, un peu de bois brûlé et de cendres.

Lagavulin 19 ans Fèis Ìle 2019

53.8% alc./vol.
Sherry Treated American Oak Casks, Bottle #3024 of 6000

André 89%
Raisins secs et figues, fruits sauvages, tourbe camphrée, médicinale et terreuse, une marche sur la côte bordant la mer le matin, algues gorgées de sel rejetées par la mer, cendre froide. Texture moelleuse en bouche, notes de prunes et de fruits secs dans un nuage persistant de tourbe médicinale, mélange de cannelle et de poivre, sel de mer, concoction de feuilles de thé noir et d’algues de mer séchées, sherry, ananas, terre mouillée, réglisse et oranges. Relativement doux en bouche vu le taux d’alcool et la tourbe masculine. Finale un peu courte, notes boisées, beaucoup de poivre et une ascension de tourbe médicinale camphrée laissant une sensation cendreuse en rétro-olfaction.

Patrick 95.5%
Du Lagavulin à son meilleur, ce qui n’est pas peu dire. Difficile d’être meilleur que ça. Nez : Un beau mélange de fumée de tourbe, de biscuits, de sel ainsi qu’une discrète note fruitée. Bouche : Oh wow! L’incomparable fumée de Lagavulin, avec un superbe mélange de sel, de sucre et de fruits. Le tout étant porté par une superbe texture. Finale : D’une superbe longueur, fumée et très salée.

SMWS 73.87 Aultmore 14 ans

59.5% alc./vol.
“Dare you enter?”, Distilled 26/09/2002 from First Fill Spanish PX Sherry Butt, 558 bottles

André 87%
Superbe rondeur de fruits rouges sucrés. Raisins secs, prunes, miel et caramel, abricots, oranges. À l’aération, un aspect poussiéreux et vieillot apparait. La bouche est finement épicée mais demeure hyper ronde, sirupeuse et grasse. Oranges trempées dans le miel, prunes, figues et cerises noires séchées, grappe de raisins, abricots, pommes, chocolat noir qui s’accompagne d’un mélange de poivre, cannelle et de gingembre. Finale parsemée d’anis et léger off key dans le fût de sherry et retour sur l’aspect vieillot poussiéreux que l’on retrouvait au nez. Gros points en plus pour la texture, qui compense pour les quelques notes off-key du fût de sherry de la finale. Il n’en demeure que ce whisky reste un whisky goulu et gourmand, que j’imagine s’accompagner d’un dessert au chocolat noir et oranges ou de truffes au chocolat fourrées de fruits rouges.

Patrick 83%
Un beau whisky intense comme il se doit pour un cask strength, mais pas nécessairement sublime. En fait, pour un whisky qui a passé 14 ans dans différents fûts de xérès, ça ne répond pas du tout à mes attentes. Nez : Pommes vertes, bouquet de fleurs très colorées et de subtiles notes d’oranges. Bouche : Ma première impression fut celle d’un bouquet de fleurs épicées et légèrement sucrées. Puis, quelques pommes, des figues, de la cannelle, du gingembre et une petite touche de miel. Finale : D’une belle longueur, florale et marquée par des fruits frais.

Martin 85%
Nez: Malt grillé, pommes mûres et chêne vineux. Pelure et zeste d’orange. Plus ou moins complexe. Caramel. Bouche: Doux caramel salé, fleurs, herbe et poivre noir. Fruits confits et compote. Finale: Assez longue, chaude et poivrée. Fleurs et bois avec un léger cuir. Équilibre: Encore un puissant cask strength de la part de la SMWS, un beau petit Aultmore à savourer devant le feu.

Laphroaig 10 ans Cask Strength Batch #8

59.2% alc./vol.
Mars 2016

André 90%
Si ces versions de cask strength étaient largement disponibles sur le marché, les amateurs délaisseraient une banne partie du core range décevant des dernières années. Nez de bois verdâtre, lime, de tourbe phénolique herbeuse et de poivre broyé, fruits tropicaux, poires, herbes aromatiques vertes, pommes vertes, anis et algue enduite de sel de mer et séchées sur la plage. Nez incroyablement doux. La bouche est parfumée d’anis, de poivre, bitume chaud, phénolique et médicinal, saupoudré de sel de mer séché et de bois vert. On remarque aussi le mélange de fruits tropicaux et de fruits automnal, pommes vertes et rouges, poires, oranges, raisins verts. Fond de bouche de cendre froide un peu rêche, médicinal et de vanille. Côté texture, la première gorgée est diffuse mais une sensation huileuse s’installe au fil des gorgées subséquentes. Finale remplie de fumée de tourbe maritime et phénolique, de pommes vertes échappées dans la cendre du feu de plage refroidi au petit matin.

Patrick 94.5%
Faisant suite à une invitation de sa part, tu t’es essayé à attaquer par surprise ton sensei ceinture noire au karaté. Et tu manges une volée à la fois brutale et élégante à la fois. T’as mal partout, mais maudit que c’était beau à voir. Nez : Du gros Laphroaig “in your face” et intense comme j’aime. Du goudron, de la cendre, du bois brûlé – l’ensemble est très crasseux, très Laphroaig. Bouche : Bang! Un coup de poing dans la face. De la fumée de tourbe, du poivre, du goudron, du médicament, de la cendre, du bois brûlé et une goutte d’orge sucré. Le tout porté par une belle texture huileuse. Finale : D’une superbe longueur et intense, s’étire sur les notes de fumée de tourbe et de feu de camp en train de s’éteindre.

Martin 94%
Nez: Le vent de tourbe maritime iodée se fait sentir à des lieues du verre. Cendres sur la plage, asphalte fraiche, poivre rose, fruits tropicaux, pommes et fleur de sel. De la bombe en perspective. Bouche: Texture enveloppante qui sait nous livrer les notes de tourbe cendreuse et épicée, de fruits tropicaux fumés, de vanille, de caramel dilué, de pommes, de poires dans leur sirop. Incroyable complexité, il faut être quick à capter toutes les saveurs avant que le volcan du taux d’alcool n’emporte le village des saveurs à son pied. Finale: Fumée de tourbe sur la plage, fruits rouges en feu, poivre bien gorgé de phénol. La planche de chêne accotée sur le sherry goulu. Le bonheur à l’état pur. Équilibre: Le Laphroaig Cask Strength a toujour été un grand malt avec une réputation qui n’est plus à faire. Mais avec cette batch on a droit à un dram qui transcende les attentes.

Bruichladdich Port Charlotte 2010 MRC:01

59.2% alc./vol.
Ce Port Charlotte est distillé à partir d’orge 100% écossaise de la région d’Invernesshire. 50% du whisky a été élevé dans des fûts de whisky américain de premier remplissage, tandis que les 50% restants ont été vieillis dans des fûts de vin français de second remplissage. Ces deux whiskies ont été ensuite combinés pour une année de maturation supplémentaire dans des fûts de vin de Bordeaux de la rive gauche.

André 90%
Intense, le moins qu’on puisse dire. Le nez évoque directement le wine cask avec son avalanche de fruits rouges baignant dans des effluves de fumée de tourbe terreuse accompagné d’un coulis de caramel salé chauffé à la poêle. Il y a aussi un p’tit côté de viande à saveur de jambon cuit sur le feu de plage qui apparait après aération ainsi que des odeurs de chocolat noir amer et de cannelle. La bouche est huileuse et salée, sur les cerises noires et les raisins secs, les fruits rouges séchés, la fumée de tourbe huileuse et grasse, le sel de mer, la cannelle et le chocolat noir. Longue finale, épicée généreusement dont la cannelle principalement, la réglisse noire et la fumée terreuse. Rétro-olfaction de fruits rouges qui nous ramène sur le wine cask.

Patrick 93%
La vitesse que la bouteille s’est vidée est la meilleure démonstration que ce whisky est excellent. Une autre réussite de Bruichladdich! Nez : Un délicieux mélange de fumée de tourbe, de fruits sucrés, de chocolat au lait et de vanille. Envoûtant. Bouche : De la belle fumée épicée, poivrée et pimentée pour commencer. Puis, les fruits, le chocolat au lait, la vanille et du sucre délicieux arrivent pour compléter superbement le tout. Finale : D’une superbe longueur, fumée, poivrée, fruitée et sucrée.

Martin 92%
Nez: Tourbe herbeuse et fruitée, poivre, foin et crème. Superbe! Fruits rouges bien intenses. Bouche: Miel, tourbe et herbe. Citron, caramel et épices en puissance. Cacao et nuage de cappuccino. Fumée vanillée et poivrée pour barder le tableau. Finale: Chaude et intense, avec une rétro-olfaction sur l’herbe séchée, presque comme un Booker’s! Fumée de tourbe, vin chaud, bois sec et épices bien juteuses. Équilibre: Un scotch assez complet, sur toutes les belles notes qu’apprécieront les grands fans de tourbe bien grasse. Un solide Sláinte la gang…

Laphroaig 25 ans édition 2018

52% alc./vol.
Ex-Bourbon casks.

André 93%
Nez succulent et invitant, très raffiné. Ananas grillés sur le feu de plage fait de tourbe, eucalyptus et médicinal, galets de plage recouverts de sel de mer séché, cendre froide, orange et fruits tropicaux. La bouche est fraiche et maritime; une touche de bois calciné, vagues de citron et d’agrumes, cendre de feu de foyer en retrait, raisins verts, oranges, ananas trempés dans le miel, pommes vertes, carrés de sucre, tabac, poivre, huile à moteur. Douce finale, multi-layered, cendreuse, maritime et sur les fruit tropicaux.

Patrick 92%
Vous auriez pu arrêter de lire après “Laphroaig 25”. Le reste est juste du bruit. Oui, c’est excellent. Nez : Un superbe mélange de sel et de fumée de tourbe, avec des effluves médicinaux et du bois sec. Bouche : Toujours le sel, la fumée de tourbe et le bois sec, ainsi que tu tabac, une goutte de vanille et une petite touche sucrée venant de l’orge. Le tout est porté par une belle texture huileuse. Finale : D’une belle longueur, poivrée et subtilement sucrée.

SMWS 7.122 Longmorn 25 ans

56.3% alc./vol.
‘’Holy Moley’’, Distilled 07/1990 from Refill Ex-Bourbon Hogshead, 227 bottles

André 90%
Wow! Oranges et nectarines, crème à la vanille, poires, cerises séchées, une touche florale, miel et melon au miel. Alléchant all the way. Texture ronde et très amoureuse en bouche. Cream soda, crème à la vanille nappée de miel, melon au miel et poires, melon d’eau et cerises, oranges puis une poussée épicée. Un amalgame de saveurs challengeant et tout à fait unique. Finale pétillante ou l’alcool se dévoile un peu plus. Sucre de salade de fruits tropicaux en finale. J’adooooore!

Patrick 83%
Un whisky intense et complexe, mais je trouve qu’il y a une petite fausse note au niveau de la balance. Et ce n’est pas exactement mon style non plus. Bref, bof. Je m’attends à mieux de la SMWS, de Longmorn et d’un scotch de 25 ans. Nez : Sucre d’orge, mélange de petits fruits des champs, de fruits exotiques et d’agrumes. Bouche : Bois brûlé, agrumes sucrés, gingembre et épices à BBQ. Finale : D’une belle longueur, marquée par le bois brûlé et les agrumes.

Martin 83.5%
Nez: Bonbons sucre d’orge, cannelle et fruits tropicaux. Petits fruits et épices. Menthe et herbe fraîche. Bouche: Miel et melon, fruits tropicaux, framboise, fraise, crème et bois épicé. Finale: Bois, cuir épicé, fruits et crèeme. Agrumes. Équilibre: Assez bien, mais pour un cask strength de 25 ans, je reste un peu sur mon appétit.