Laphroaig 33 ans « Strong Characters Chapter One – Donald Johnston »

43.8% alc./vol.
Cette édition célèbre l’histoire de la distillerie Laphroaig et les personnages forts qui y ont contribué de manière si significative. Dans ce cas, le cofondateur de la distillerie Donald Johnston, qui a créé la distillerie avec son frère, Alexander, en 1815. Il apparaît sur l’emballage dans une illustration de l’artiste Bill Bragg, qui illustrera également chaque édition de la série. Ce whisky a vieilli pendant 33 ans dans une combinaison de fûts de chêne américain et de fûts de sherry en chêne européen.

André 90%
Est-ce que c’est bon? Oui! Est-ce que ça vaut le prix demandé de plus de 2500$? Non. Un whisky facile à apprécier mais difficile à évaluer. Le bouquet de flaveurs est relativement équilibré, aucunes saveurs de tête ou qui monopolise le nez. La tourbe est feutrée, comme tout vieux Laphroaig se doit. Nez très équilibré qui demande du temps à s’ouvrir. Mélange de fruits secs, cerises et pommes, puis de citron, de crème saveur vanille et de sel de mer aux accents très discrets d’antiseptique. On perçoit bien l’influence des 2 types de fûts au travers la gamme de saveurs. La bouche offre une touche herbacée sur fond citronné et de fruits rouges évasifs. L’esprit maritime et médicinal tient la route. La texture est souple sans être grasse ou licoreuse, l’alcool feutré. Longue et douce finale médicinale, maritime et de viande fumée.

Laphroaig An Cuan Mor

48% alc./vol.

André 88.5%
Notes camphrées et médicinales habituelles de la distillerie. En bouche, le whisky offre une texture à prime abord un peu diffuse et claire mais cette sensation s’estompera au fil des gorgées. Beaucoup d’épices (merci à l’european oak casks) et de poivre noir, avant de passer aux notes de camphre et de tourbe médicinale jumelées de fruits rouges, de chocolat noir et de moût de café. Puis, oranges ou nectarines, agrumes maritimes. Bien qu’il ne soit pas le plus représentatif du style de la distillerie, cette édition s’en sort tout de même bien. Le taux d’alcool offre beaucoup de retenue ce qui rend le whisky un peu sournois. Il laisse aussi une pellicule un peu poreuse, pierreuse en bouche bien singulière. La tourbe gagne en intensité en finale, tout comme les notes de miel et de nectarines, mélange de tourbe et de poivre, épices. J’adore les saveurs et les arômes de ce whisky mais je le trouve bien discret au niveau alcool et un léger manque de nuance au niveau des textures.

Patrick 87%
Un très bon dram, tous les ingrédients y sont, ne manque qu’une touche de magie!  Nez : Notes médicinales de tourbe et de charbon.  Petite touche maritime.  Bouche : Texture huileuse et agréable.  L’arrivée est douce pour un Laphroaig, en étant dominée par l’orge.  Puis, les épices arrivent et on assiste à une explosion de tourbe intense, de poivre et de goudron.  Finale : Longue, intense, fumée, épicée et médicinale comme on l’aime!

Martin 88%
Ambre rosé, orange légèrement opaque. Nez: Iode et médicaments en puissance, comme à l’accoutumée. Charbon, citron et camphre. Toujours le feu de camp maritime. Bouche: Sucré, salé et épicé. Une belle tourbe citronnée et crasseuse nous accueille dans un tourbillon d’épices pas désagréable du tout. Fruits et asphalte, agrumes et vanille. On peine à croire que ça titre à 48% d’alcool. Finale: Perdure agréablement sur des planches de chêne poivrées et fumées au feu de tourbe. Équilibre: Peu varié au niveau des saveurs dans l’ensemble, mais ça reste un sacré bon Laphroaig, de quoi être fier d’y avoir son pied carré de terre.

Laphroaig Brodir Port Wood Finish Batch #001

48% alc./vol.
Duty Free Exclusive. Maturation initiale en Ex-Bourbon cask puis affinage en Ruby Port Cask. Brodir signifie « brother, frère ».

André 88.5%
Avalanche de fruits séchés, tourbe phénolique et accents maritimes, raisins mauves séchés, confiture de petits fruits sauvages, bleuets. Invitant et très intriguant. L’arrivée en bouche déçoit un peu, la texture est un peu diluée malgré les saveurs intenses. Jus de fruits et raisins mauves, tourbe phénolique et sel de mer, bleuets. Belle onctuosité générale et je dois avouer que le rendu textural s’améliore grandement au fil des gorgées et les notes phénoliques gagnent en force également. Ce qui étonne, c’est la grande variété des saveurs fruitées qui se mélange admirablement bien avec les notes phénoliques. La finale est douce, veloutée, fruitée et tourbée. Une présentation singulière pour ce Laphroaig, j’adore, jusqu’au moment de passer à la caisse. Environ 100 pounds…

Patrick 92%
Un superbe whisky, riche et intense, même pour un Laphroaig. Bref, tout ce qu’on attend d’un Laphroaig, la discrétion du porto permettant à l’ensemble d’atteindre un équilibre insoupçonné. Nez : Tourbe poivrée et goudronnée, avec une bonne dose d’herbe brûlée, et une touche d’orange. Bouche : Fumée de tourbe goudronnée, poivre et sel, une touche d’orange, l’ensemble présentant un délicat fond sucré et de fruits mûrs. Finale : D’une belle longueur, marquée par le bois brûlé et la fumée de tourbe. Et quelques minutes plus tard, par du sucre et des fruits mûrs qui gagnent tranquillement en intensité à mesure que la force de la tourbe diminue.

Martin 90%
Nez: Tourbe en puissance, on entre dans la cordonnerie. Quelques touches maritimes, mais on est plus dans la tannerie ici. Orange, goudron, raisins et herbe. Bouche: Sel marin, fruits rouges, tourbe goudronnée et épices endiablées. Poivre rose. La texture est un peu en déca de ce à quoi je m’attendais, mais les saveurs sont au rendez-vous. Finale: Poivrée, herbeuse, tourbée, fruitée et longue. Bien que la texture ne m’aurait pas laissé croire cela, une belle longueur et intensité des saveurs persiste. Équilibre: Un beau peated port cask, pas toujours proche de Laphroaig comme je le vois. À l’aveugle j’aurais penché vers d’autres Islays, mais je dois dire que j’aime beaucoup.

Laphroaig Brodir Port Wood Finish Batch #002

48% alc./vol.

Patrick 92%
J’adore: ils ont réussi à conserver le style de Laphroaig, tout en l’agrémentant d’une belle touche fruitée. Il y a tellement de distilleries qui perdent leur âme à ce jeu, bravo Laphroaig. Nez: Un beau parfum où se mélange agréablement la tourbe, le goudron et le sel, mais le tout est adouci par la douceur des effluves sucrées et fruitées de Porto. Bouche: Toujours la superbe fumée de tourbe-goudronnée-salée, avec les fruits mûrs, du sucre blanc, du caramel et du bois épicé/brûlé. Finale: D’une belle longueur, avec un beau mélange de bois et de fruits sucrés.

Laphroaig Brodir Port Wood Finish Batch #003

48% alc./vol.
Ex-Bourbon barrels et affiné en Ex-Ruby Port Casks. Édition disponible en Duty-free.

André 85%
Succulent comme nez, ces vagues de tourbe médicinales drapées d’un manteau de fruits rouges opulents, c’est divin. Raisins et cerises, réglisse rouge fraiche, tourbe médicinale habituelle de la distillerie, sel de mer, camphre. La bouche perd de son lustre rapidement, les fruits sont fades et presque effacés derrière une barrière de pierre alcaline et saupoudrée de sel de mer séché. La tourbe est devenue plus crasseuse aussi, plus industrielle, presque cendreuse et goudronnée. La texture du nez était plus feutrée et douce, la bouche elle est franche et sèche, offre aussi une finale poivrée très relevée et un accent savonneux (mais pas comme les anciens Bowmore). Une expérience en dents de scie pour cette expression plutôt rare.

Martin 88.5%
Nez: Mélange discret de tourbe camphrée et de fruits rouges. Rien ne veut voler la vedette à un autre aspect de ce nez. Raisins et cacao, herbe et tourbe, fumée et poivre. Fleur de sel. Bouche: Tourbe et caramel, pommes mijotées et poivre. Bois et vin chaud. Pierre lavée et gros sel. J’adore. Finale: Bois sec et cendreux pour supporter un amalgame de sel, de vin de caramel et de tourbe iodée. Poivre pour barder le tout. Équilibre: J’adore le fait qu’aucune saveur ne veut tirer trop de couvertes. Le tout est bien construit, avec des saveurs riches et rares, sans vouloir nécessairement être dans le spotlight. On appelle ça du doigté.

Laphroaig Cairdeas 2010 Master Edition

57.3% alc./vol.
Les embouteillages spéciaux Càirdeas sont spécialement mis sur le marché pour le Fèis Ìle Festival d’Islay et pour les Friends of Laphroaig. Cairdeas signifie « amitié » en Gaélique. Cette édition est un vatted de Laphroaig âgés entre 11 et 19 ans, en édition spéciale du Fèis Ìle 2010 limitée à 5000 bouteilles.

André 90.5%
Notes (sans surprises) maritimes et « Islayesques » de tourbes, cendre, de fumée… arrondies par le citron, le miel et les bananes salées. Le haut pourcentage d’alcool ne se sent vraiment pas et offre une belle surprise – très sournoise d’ailleurs – où il est étonnant de sentir ces mêmes arômes s’élever du verre sans qu’elles ne soient anesthésiées par l’alcool. Ce qui permet aussi, d’étirer la finale longuement en se berçant de satisfaction.

Patrick 92%
Nez : Tourbe sale intense de Laphroaig, marquée par la cendre, les herbes, le poivre et les épices. Bouche : Tourbe intense, poivre, air marin et planches de chêne. Finale : Extrêmement longue, fumée et intense. Touche de fruits. Balance : Laphroaig à son meilleur, complexe et intense.

Martin 93%
Nez: Dès les premiers instants, on est accueilli par un bouquet de fumée, de tourbe et de sel. On ferme les yeux et on se retrouve sur Islay. Bouche: Une complexité exceptionnelle. Les saveurs de la tourbe et de la fumée sont équilibrées par une douceur subtile, qui rappelle les agrumes et la vanille. Le tout est enveloppé dans une texture veloutée qui rend ce whisky incroyablement facile à boire malgré son degré d’alcool. Finale: Superbement longue, chaude et épicée. La tourbe est ultra-puissante et douce à la fois. Équilibre: Un dram exceptionnel, chaque gorgée est une expérience unique et inoubliable. Un autre grand disparu.

RV 90%
Laphroaig après une manucure, pédicure et un revamp partiel; toujours sexy, mais différente. Au nez, elle est assez douce et distinguée – pour une Laphroaig – avec de la tourbe cendrée mais aussi des épices sèches. En bouche, transitionne vers du poivre, des agrumes cendreux et une finale un peu boisée. Exit le côté médicamenteux, l’infirmière sympathique s’est transformée en femme d’affaires accomplie, et c’est une nouvelle profession qu’elle exerce admirablement bien.

Laphroaig Cairdeas 2012 Origins

51.2% alc./vol.

André 88%
Tourbe fumée un peu crasseuse sans le sel marin et les autres notes maritimes habituelles, un peu poussiéreuse. Très fluide en bouche, on en reste d’ailleurs un peu surpris jusqu’à ce que le tsunami de tourbe arrive rapidement, déferlant en vagues musclées, le nuage de fumée suit par la suite et s’accompagne d’un sel qui reste encore très discret en bouche. Je suis un peu déçu du manque de diversité des saveurs en bouche, il est trop direct et à mon sens un peu obtus. La finale est relativement douce et rectiligne mais de bonne longueur.

RV 90%
Profonde tourbe fumée, ce n’est pas un liquide bouillie, c’est ce qui s’évapore de la motte quand on la brûle. En bouche, le liquide s’enracine dans la langue, l’alcool s’enfonce à la même cadence que les autres saveurs. Suite de la fumée, la finale un peu courte représente une fois de plus la tourbe à l’état pure. Un one-line-punch dans le genre des Port Charlotte, mais avec de l’originalité de surcroît.

Patrick 93%
Aaaaaah, Laphroaig. Une valeur sure, avec ses arômes de tourbe, fumée, goudron et la petite touche médicamenteuse qui nous donne envie de « caller malade à la job »! En bouche, en plus des saveurs susmentionnées, on détecte aussi un riche chêne brûlé et une pointe de caramel qui viennent marier le tout de la façon la plus agréable qui soit. La finale s’étire tranquillement sur les notes de fumée et de caramel, pour notre plus grand plaisir. Embouteillé à un taux d’alcool parfait, la seule chose qu’on pourrait demander de plus serait un feu de camp et une gang de chums avec qui le partager! J’en ai acheté une bouteille sur-le-champ.

Martin 90%
Nez: Tourbe, iode, air salin, cuir et rubber (parce que caoutchouc n’est pas un terme assez puissant). Notes de miel fumé, d’herbe et de feutre Sharpie. Bouche: Léger caramel, fleur de sel, je mange un sac d’arachides salées assis chez le cordonnier en attendant que mes chaussures soient prêtes. Touches de chêne sec, nori et poivre noir. Finale: Épices, hôpital, fumée. Saumon fumé avec une pointe de tabac à pipe. Équilibre: Magique. Solide. Un gros Laphroaig qui refuse de faire dans la dentelle.

Laphroaig Cairdeas 2013 Portwood Finish

51.3% alc./vol.

André 86%
Quelle chance de goûter à cette édition en primeur avant sa sortie officielle en compagnie de John Campbell, le distillery manager de la distillerie. Impressionnante couleur cuivrée saumon, presque rosée. C’est bizarre comme ensemble, déstabilisant en tout cas venant de Laphroaig. Je suis peut-être puriste mais, un Laphroaig transgenre de ce style, me fait un peu grincer des dents… Nez floral mélangé de tourbe bizarre, de fruits et d’oranges sanguines, de marmelade de framboises médicinale, des prunes peut-être aussi. La bouche est médicinale et tourbée en sous-entendu, les saveurs de prunes et de petits fruits sauvages rouges en avant scène, un accord qui me laissera perplexe du début à la fin, tout comme la finale sèche et fumée de ce whisky rempli de paradoxes. Texture poreuse, style roches ou galets de plage me rappelant certains embouteillages de Bowmore. Une note de 86% n’est pas une mauvaise note en soi, mais pour un Laphroaig, oui c’est le cas… J’ai toujours dit que de réinventer un classique tel que Laphroaig n’était pas une mince affaire et pour moi cet embouteillage en est encore la preuve. Je suis tout de même convaincu que cet accord unusuel plaira à certains fans de la distillerie mais moi j’ai décroché à partir du nez.

Patrick 90%
Nez: Porto intense, masquant à grand peine le sel et la tourbe de la bête. Bouche : Porto, sel, tourbe et poivre. Trèèèèès intense. Finale : Interminable, longue, très salée, fruitée et intense. Balance : Une grande réussite, je suis heureux de découvrir ce nouveau côté de cette distillerie. Bon, je préfère l’original, mais ça reste tout de même très intéressant.

Martin 85%
Rosé et cuivré. Bien que l’influence du porto soit évidente, reste plus pâle qu’un Glenmo Quinta Ruban. Nez: On débute au sein d’un voile de tourbe typiquement Laphroaig bien présent mais facile à percer. Une fois cette besogne accomplie, orange, pamplemousse et épices sont au rendez-vous. Bouche: Plutôt poivré, avec fruits des champs et surtout un toast à la marmelade. On doit cependant faire vite car son taux d’alcool de l’ordre de plus de 51% nous colle au cul. Finale: Sèche et fruitée, accompagnée de belles notes de tourbe. Équilibre: Une belle expérience pour la distillerie, bien qu’on soit à l’autre bout du spectre de ce qu’on s’attend normalement de Laphroaig. Reste que ça vaut la peine de l’essayer si jamais vous en avez l’occasion.

RV 83%
Belle petite comptine. Lichen et sel du Bowmore, dès l’olfactive on sent un whisky un peu pré-maternelle. Heureusement, une fois en bouche, le whisky est plein d’assurance, mais le combat liquide papille est un peu court avant que la finale de baril et d’herbe termine l’expérience un peu puérile.

Laphroaig Cairdeas 2014

51.4% alc./vol.
Bourbon & amontillado.

André 92.5%
Full banane au nez ! … et encore de la banane et des poires au miel. Mais les atouts distinctifs de Laphroaig sont au rendez-vous. Nez mielleux, bananes et poires dans leur jus, fruité avec parcimonie et trempant dans un nuage de tourbe et de cendre de feu de foyer, d’agrumes et d’effluves de bord de mer salée. Lait de coco peut-être. La bouche est à l’image des Laphroaig habituels, saveurs de tourbe médicinale, d’asphalte, de feu de plage presque éteint, de vieux cuir et de sel marin. La texture est huileuse et le taux d’alcool complétement absent en sensation de bouche, sauf en toute finale… La belle texture huileuse se poursuit, beaucoup de notes douces, vanille et miel, quelques agrumes enroulés d’édredon de fumée de tourbe salée et poussiéreuse. Délicieux, savoureux, dangereux!

Patrick 90%
Laphroaig, comme on l’aime, c’est-à-dire bad ass, mais tout de même complexe et envoutant.  Nez : Tourbe et salade de fruits exotiques.  Doux et intense à la fois.  Bouche : Belle texture huileuse.  Au goût, suie, cendre, et fumée de tourbe.  Puis, épices à steak et goudron.  Le tout est complété par des notes de cuir et de sel.  Finale : En plus de la fumée de tourbe et des épices qui s’éternisent pour notre plus grand plaisir, on devine aussi quelques agrumes.

Martin 92.5%
Jaune doré comme la couleur de son tube, ce dernier étant inhabituel pour la distillerie. Nez: Fortement marqué par la tourbe et la cendre. Chêne fumé, brin de scie et une céréale assez mielleuse complémentent superbement son caractère musclé. Bouche: Tourbe, évidemment, suivie de belles épices, de miel, de cantaloup et de vanille. Poivre citronné. Un soupçon de raisin et d’iode nous mène vers la finale. Finale: Le poivre et le zeste de citron nous laissent longuement sur une latte de chêne ultra-sèche, tout en baignant dans la tourbe médicinale signature de Laphroaig. Équilibre: Malgré les choix insolites, quoique réussis, des fûts de cette édition, le malt inimitable de Laphroaig ne laisse personne indifférent.

Laphroaig Cairdeas 2015 • 200th Anniversary

51.5% alc./vol.

Martin 88.5%
Nez: Tourbe bien camphrée et médicinale. Citron, sel marin et algues. Varrec, sherry et pierre lavée. Biscuits au beurre et touche de noix et de fumée. Mentholé sur la fin. Bouche: Fumée, épices et bois sec. Poivre blanc, tourbe, sucre blanc et fruits sauvages. Foin endiablé. Finale: Vent de chêne vert acide avec fruits tropicaux et touche de pouding à la vanille. Équilibre: Un excellent whisky, un excellent scotch, un excellent Islay, un excellent Laphroaig, un excellent Càirdeas. Par contre pour le bicentenaire de la distillerie on dirait que je m’attendais à plus.