Benromach Wood Finish – Château Cissac

45% alc./vol.
Distillé en 2009, embouteillé en 2018

Patrick 89%
Un beau whisky tellement agréable à boire que c’en est presque dangereux. À acheter maintenant, il va être parfait l’été, le soir sur le patio! Nez : Succulent parfum de sucre blanc, de fruits et feuillu. Bouche : Un beau sucre chaleureux, boisé et fruité. Un vrai dessert! Finale : D’une longueur moyenne, fruité et boisée.

Benromach Wood Finish Burgundy Wine Cask

45% alc./vol.

RV 81%
De la part de Benromach je m’attendais à un vol léger; la cargaison de vin de Bourgogne transforme cet ultraléger en malhabile coucou. Il faut attendre longtemps avant que le nez s’arrondisse et prenne un peu le contrôle du vin du baril, toutefois ça demeure très fruité. Semble vouloir prendre son envol, mais très lourd à décoller, on semble manque de puissance du cote de l’orge. Une fois en altitude bouche, le vol est plus régulier, assez long mais on croirait avoir affaire a un pilote automatique plus ou moins bien programme. Manque un peu de qualité, très en deça du nouveau cask strength de la distillerie.

Gordon & MacPhail Benromach 12 ans (embouteillage des années 90)

40% alc./vol.
Cet embouteillage date de la période ou Diageo était propriétaire de la distillerie, avant de la vendre au négociant Gordon & Macphail en 1993. La distillerie fût réouverte en 1998.

André 81.5%
Tarte aux pommes, raisins secs, caramel et toffee, oranges. Le sherry ressemble à celui que j’ai évalué récemment dans l’ancienne version de Macallan des années 90’s. La présentation de ce whisky est relativement simple dans l’ensemble. Après avoir respiré un bon 10 minutes dans le verre, beaucoup de notes de toffee bien chaud et de caramel. La bouche est épurée et la texture décevante, pas de support huileux ou gras, on ressent la dilution malgré des saveurs intéressantes de cerises, oranges, toffee, tarte aux pommes tout juste sortie du four et un brin d’épices, la cannelle particulièrement. Légère sensation cireuse en finale, une touche florale peut-être, le xérès est noble sans être austère, caramel, épices et une légère note de fumée en toute fin de bouche. Après 2-3 gorgées, une touche de souffre apparait aussi.