Michel Couvreur pour l’ambassade de France au Japon

44% alc./vol.
5 Ans d’âge, Réserve de l’ambassade de France au Japon. Bottle #042718

André 86.5%
Confiture de fruits sauvages, cerises, bon taux de sucre, pommes rouges, poivre de cayenne. La bouche est très relevée, beaucoup de cannelle et de poivre de cayenne qui fraternisent avec les saveurs de fruits divers; pommes, cerises, fruits rouges. Belle texture onctueuse avec des bras bien gras qui vous enlacent amoureusement. Finale très épicée, la cannelle prédomine avec pas mal d’affront. Un couvreur qui tranche d’avec les embouteillages précédents, surtout du fait des épices prédominentes.

Patrick 90%
Un excellent whisky avec tout ce qu’il faut à la bonne place. Les japonais de l’ambassade ont été gâté ! Nez : Parfum de petits fruits sucrés, de pommes vertes et d’agrumes subtils. Appétissant. Bouche : Sucre blanc et épices, avec de subtils petits fruits et une vanille encore plus subtile. Et un peu de caramel. Finale : D’une belle longueur, épicée et fumée.

Kilchoman Sherry Single Cask #324/2011

57% alc./vol.
PX Finish Cask 324/2011. Distilled 17.6.2011, bottled 27.3.2017.

André 88%
Savoureux de déguster ce whisky en plein temps des fêtes; notes de gâteau aux fruits, de cerises marasquin, de fumée de tourbe huileuse et grasse, cannelle, oranges. La bouche est corsée et épicée, poivre noir, cannelle, gâteau aux fruits, cerises noires. Au fil des gorgées beaucoup de notes d’oranges et de raisins séchés, les dattes peut-être aussi, belles notes d’ananas et de fruits tropicaux. La tourbe est puissante, industrielle et animale, peut-être trop dominante sur l’ensemble des saveurs. Il y a aussi une bizarre sensation astringente et de cendre sèche et poussiéreuse qui demeure en bouche après les gorgées. La finale est salée et poivrée, tourbée avec passion et peut-être un peu d’excès aussi.

Patrick 88%
Il y a tellement de gens qui m’ont dit que ce scotch était extraordinaire, j’ai été un peu déçu. Mais il demeure très bon et une valeur sûre. Essayez de courtiser un conseiller à la SAQ pour y goûter, et faites-vous votre propre idée, car selon moi, ce n’est pas un scotch « mainstream »… Nez : Pas ce que j’attendais, lol! Fumée huileuse de tourbe, cannelle et fruits bouillis. Bouche: Oh boy! Toujours les fruits bouillis, mais avec une vague de fumée « clean », des agrumes, un caramel subtil et beaucoup de sel de mer. Unique. Finale : Longue, intense et savoureuse. Poivrée et fumée.

Martin 90.5%
Nez: Tourbe mielleuse et relativement discrète, bien enrobée par le toffee et les fruits mijotés. Le malt grillé et la vanille parviennent à percer le nuage énoncé précédemment. Un léger vent citronné. Bouche: Chaud et sucré. Vanille, caramel, miel et compote de fruits. Beau jeu des épices du fût de xérès qui viennent supporter l’expérience sans toutefois voler la vedette. Le taux d’alcool peut avoir l’air agressif, mais en bouche il se tolère aimablement. Finale: Sèche et fruitée à souhait. Notes de fruits rouges, de tourbe légèrement crasseuse, de caramel épicé et de chêne. Équilibre: Un sacré bon scotch réconfortant. Avec tous ces éléments gagnants, plus un degré d’alcool transporteur, on est prêts pour une solide ride!

Kilchoman Bourbon Single Cask #122/2011

58.7% alc./vol.
Cask # 122/2011. Distilled 10.3.2011, bottled 27.3.2017

André 89%
De retour à la maison, après quelques kilomètres de raquette à 25 degrés sous zéros, je me demandais quel dram serait approprié pour se réchauffer un peu. J’opte donc pour ce Kilchoman Cask Strength, quek chose qui réchauffe un peu les extrémités un peu engourdies. Beau nez onctueux sur les notes vanillées du fût de bourbon, grosse tourbe crasseuse pas subtile, ambiance maritime indéniable, belles notes d’agrumes et d’ananas, d’oranges. L’ensemble est un peu brut sur la présentation mais cette image sied bien à Kilchoman. La bouche est gourmande, bien grasse et huileuse, la tourbe industrielle et un peu sale sert de toile de fond à cette fresque fruitée; ananas, agrumes, oranges-mandarines, citron, fleurs blanches à la vanille. Longue finale, tourbée, ribambelle de fruits tropicaux, de vanille onctueuse. Un whisky d’automne et d’hiver Québécois, ce whisky nous rejoint tellement!

Patrick 91%
Wow! Un whisky « in your face ». Pour amateurs sérieux de tourbe seulement. Les autres vont vouloir aller se cacher!! Nez : Vague de fumée crasseuse, avec des pointes de charbon, d’agrumes, de vanille et de chêne. Yummy! Bouche : Évidemment, la fumée de tourbe veut prendre toute la place, mais l’ensemble demeure très frais grâce à des notes d’agrumes et de caramel. Intense! Finale : Longue et intense, marquée par la fumée et le charbon.

Martin 89%
Nez: Tourbe soutenue, agréable, plus verte que crasseuse. Vanille et pierre lavée. Fruits tropicaux et sucre en poudre. Bien alléchant. Bouche: Tourbe, vanille et caramel salé. Les épices du cask strength ont tôt fait d’engloutir le reste des saveurs. Pense vite! Finale: On reste sur une belle impression boisée, épicée, tourbée et terreuse. Équilibre: Toujours de belles expériences avec Kilchoman, difficile de passer à côté de la track.

Redbreast Lustau Edition

46% alc./vol.
Nouveau Single Pot Still permanent de la gamme Redbreast, ce whiskey Lustau Edition est le résultat unique d’un partenariat entre Lustau Bodegas, située à Jérez de La Frontera en Espagne et la distillerie Redbreast. Initialement vieilli entre neuf à douze ans dans une combinaison d’anciens fûts de Bourbon et de Sherry Oloroso, Redbreast Lustau Edition a bénéficié d’un affinage supplémentaire en fûts de chêne espagnol ayant contenu du Lustau Oloroso. C’est au travail de Billy Leighton, Master Blender chez Irish Distillers et du défunt Manuel Lozano, vigneron qui a donné à Lustau son prestige international, que l’on doit Redbreast Lustau Edition Sherry Finish.

André 88%
Superbe nez de réglisse rouge et de cerises, petits fruits sauvages, prunes, cerises noires, caramel, belles grosses oranges bien mures, pelure de pommes dans la cannelle, chocolat au lait, raisins mauves. La bouche est très fruitée, bien ronde et moelleuse au niveau texture et offre une cascade d’épices qui surprend beaucoup compte tenu de la douceur générale des éléments. En bouche, la pelure de pomme, cerises noires, oranges. Il y a définitivement un lien entre cette édition et la régulière de 12 ans d’âge au niveau saveurs et arômes. La finale est longue et finement cireuse, sur les fruits rouges et une volée persistante d’épices. J’adore la présentation de ce produit qui a su tirer son épingle du jeu sans dénaturer ses origines. Sur une note plus personnelle, je lui trouve un peu trop d’épices et une petite touche (que je ne saurais identifier) qui m’agace un peu en toute finale. Encore une fois, Redbrest garde et cap et présente de la qualité.

Patrick 90%
L’un des meilleurs whiskey Irlandais que j’aie goûté. Je suis allé m’en acheter une bouteille après y avoir goûté. Nez : Un nez unique, présentant des fruits, de la crème brûlée, des noix grillées et un peu de vanille. Bouche: L’arrivée en bouche est marquée par le xérès, avec de beaux fruits mûrs savoureux, du caramel, de la vanille et une bonne dose d’épices provenant du bois. Finale : Longue et marquée par le bois épicé qui a trempé dans le xérès.

Martin 90%
Nez: Fruits de champs, bonbons et caramel. Pommes, raisins, cacao et cannelle. Bouche: Caramel salé et jujubes à la framboise. Chêne, cannelle, chocolat et petits fruits. Finale: Encore bois et épices, avec une touche de cerise. Équilibre: Règle générale, les Irish Whiskeys sont d’une douceur remarquable dû à leur triple distillation, mais celui-ci bénéficie d’un petit coup de collier grâce à sa finition en sherry cask.

Aberfeldy 16 ans

40% alc/vol.

André 84.5%
Image d’une prairie calme en fin de journée ensoleillée, un bol de fruits secs nappés de miel sur la table en bois, pincée de cannelle, pelure de pommes rouges, raisins séchés, cosses d’oranges, caramel. Paisible, ça invite au calme et à la relaxation, laisser le bon temps rouler… La déception viendra de la texture diluée en bouche, on a été trop gourmand et abaissé le taux d’alcool trop bas, fort probablement filtré aussi, aucune texture grasse ou huileuse qui aurait amoureusement tressé ces saveurs ensemble; sherry, pelure de pomme rouge, oranges, miel. Belle et douce finale fruitée, savoureuse mais sans texture. Dommage.

Patrick 87%
Le nez discret ne laisse pas présager le très bon whisky que nous retrouvons en bouche. Une belle surprise. Pour ceux qui n’aiment pas ça trop intense, je ne mais tout de même savoureux. Nez : Parfum très léger marqué par l’orge, un caramel subtil et des fruits qui le sont encore plus. Bouche : Savoureuse, marquée par des fruits mûrs, du caramel, de l’orge et une touche de bois sucré. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par les épices du bois.

Martin 86%
Nez: Malt et vanille mielleuse, très proche de son petit frère de 12 ans, même la bouteille peut porter à confusion. Quelques fruits et fleurs. Bouche: Légèrement fade mais doux. Encore vanille et miel en puissance, mais son long sommeil et fût lui donne un petit punch épicé. Finale: D’une durée plutôt moyenne mais plaisante, portée sur le bois et les épices. Équilibre: Très bon, quoiqu’un peu surfait. Le 12 ans fait superbement la job, et pour juste $50 en plus!

Tullibardine The Murray 2004-2016

56.1% alc./vol.

André 86%
Au nez, bizarre… Bois vert, orge verte encore mouillée, herbe verte, vanille crémeuse, a quelques flaveurs qui rappellent le virgin oak, chêne séché, fruits rouges, ananas. L’onctuosité du nez cache bien le coup de pelle ronde d’alcool qu’on recevra en pleine face à la première gorgée; la bouche est franche, maltée et céréalée, le bois vert, la lime et le citron, les oranges. Personnellement, je trouve l’apport du bois de chêne un peu trop prédominent. La finale est fraiche, citronnée, beaucoup d’épices et de poivre, petits fruits rouges en confiture, céréales maltées et gingembre. Je suis un peu ambigüe par rapport à cet embouteillage. L’alcool et le bois vert dénature beaucoup la douceur habituelle des saveurs composant l’épine dorsale de la distillerie. Le whisky est très franc et tranché. Pour le prix, un bon whisky qui diffère de beaucoup avec les embouteillages habituels de la distillerie.

Patrick 94%
Une incroyable surprise que ce Tullibardine! Probablement le whisky le plus raffiné que j’aie goûté cette année! Je m’en suis d’ailleurs acheté une bouteille sur-le-champs, oui oui oui, un Tullibardine! Nez: Délicieux parfum sucré de céréales, avec du caramel et une touche de fumée hyper subtile. L’un des meilleurs parfum (et subtil) que j’aie senti depuis longtemps. Bouche: Un mélange hyper agréable de céréales sucrées, de fruits exotiques et de fumée. On ne sent presque pas la force de l’alcool. J’adore! Finale: Longue et épicée.

Martin 89%
Nez: D’une douceur assez traître, vu le taux d’alcool. Orge et fruits rouges. Bois et cannelle. Herbe verte sous-jacente. Un joli caramel se présente en fin de nez. Bouche: Texture épaisse et hyper crémeuse. Caramel épais, raisins, dattes, orange, cannelle et poivre rose. Gorgé de plaisir. Bien que puissant, il est peu agressif en bouche. Finale: Chêne, épices et caramel. Raisins, orange et cacao. Équilibre: Solide édition spéciale pour une distillerie qu’on gagne à découvrir.

Eddu Silver Brocéliande

42% alc./vol.

Patrick 82%
J’ai tellement adoré l’édition « régulière » que mes attentes étaient élevées. Je suis un peu déçu. Intense au niveau du bois, mais jeune aussi… Pour les fans de la légende du roi Arthur, go, pour les autres, on repassera. Nez : Parfum très fruité et sucré, avec des pommes rouges très mûres et de la mélasse. Bouche : Épices, fruits sucrés, pommes rouges, caramel et du bois sec. Finale : D’une belle longueur, épicée et légèrement fruitée.

Martin 80%
Plus riche et foncé que mes attentes, avec des jambes pressées. Nez: Fruits riches et rouges, un peu d’anis, un peu de fenouil et de mélasse. Herbe jeune de plus en plus évidente. Le blé ressort plus on attend. Bouche: Mélasse et sucre brûlé sont à l’avant-plan, avec quelques épices timides et un peu de fenouil pas loin derrière. Un peu de réglisse s’annonce à la fin. Finale: Encore anis, fenouil et sucre. Mélasse chauffée. Équilibre: Assez facile à boire, malgré que ça s’éloigne énormément de ma palette de goût. Mais plus objectivement je dirais qu’on manque ici de maturation.

Caol Ila 15 ans 2001-2016 Unpeated

61.5% alc./vol.

André 82%
Je dois avouer que j’avais un avis défavorable après avoir lu la review de Pat, qui, habituellement, avouons-le, note plus haut que moi. Alors j’ai tenté de mettre ça de côté et de faire ma propre opinion. Le nez est un peu anasthésié, belles nuances de caramel Écossais et de vanille crémeuse, céréales maltées, agrumes, pommes vertes, herbe verte mouillée, background salé et maritime. Avec le taux d’alcool de plus de 60%, il serait justifié de s’attendre à se faire ramasser par un camion 10 roues d’alcool mais… nope, l’onctuosité et le côté très gras du whisky enrobe la bouche qui est protégée de façon étonnante de la morsure sournoise et alcoolisée. L’agencement de saveurs est un peu difficile à suivre, ces mêmes saveurs du nez continuent à se développer en bouche et la finale est un peu déroutante avec des notes d’herbe verte mouillée, de poivre noir et de sel de mer. Le canevas général est tout de même généralement sucré et très céréalier. Ce whisky tire un peu dans toutes les directions et la ligne directrice est difficile à suivre. Mais bon, un Caol Ila unpeated offre définitivement une belle picture hors norme dans le paysage des whiskies d’Islay.

Patrick 78%
Merci Caol Ila de tourber la plupart de vos whiskys. Car autant j’aime vos whiskys tourbés, autant ceux qui ne le sont pas me rebutent. Nez : Parfum de céréales mouillées un peu passées date,mais tout de même sucrées. Bouche: De belles épices savoureuses, une tonne de céréales sucrées, mais toujours ce petit côté de céréales mouillées passées date… Finale: S’étire sur les céréales passées date.

Belgian Owl The Private Angels Limited Edition 36 months old Single Cask

70.3% alc./vol.
036/200, bouteille #220. Premier Belgian Owl distillé avec les mythiques alambics Caperdonich venus tout droit d’Ecosse. The 200 Private Angels – Série exclusive de 200 fûts. Etienne Bouillon, ce distillateur passionné, initiateur du projet, a rempli le premier fût du futur Belgian Single Malt Whisky, le 29 octobre 2004. Les premières ventes ont eu lieu dès décembre 2004 par le biais d’une vente online soutenue par la presse quotidienne écrite belge via une pleine page publicitaire.


André 91%
Avec un climat monotone et ennyeux, humide à souhait et pouvant amener Miss Méteo à la dépression nerveuse, comment aurait-on pu penser qu’un whisky gagnerait environ 8% de degré alcoolique en 36 mois??? Climat singulier de la région ou entrepôts relativements secs, mais plus de 70% d’alcool pour un whisky, disons que cela est définitivement hors-norme. Cadeau du proprio et distillateur Étienne Bouillon, ce whisky a autant de générosité que son propriétaire. Approche micro-distillery et très ‘’du grain à la bouteille’’, le nez est musclé et sur les stéroïdes alcoolisées. Il faut définitivement faire abstraction de l’important taux d’alcool qui vous agrippe le nez férocement. Au départ, les céréales et le twist agricole et small batch, les poires, le caramel, la meringue et la tarte au citron, le miel chaud. Sans dilution, j’avoues que ça déménage pas mal, alors j’ajoute quelques larmes d’eau. Poires, amandes, crème brûlée, beurre baratté (sans sel), la pomme verte, les céréales. L’apport du fût de chêne est important mais le spiritueux a tout de même su garder son épine dorsale unique. Le whisky développe de pulpeuses notes d’épices en finale de bouche pendant que l’alcool tient la note avec la même conviction que la cantatrice Bianca Castafiore drapée dans son étoffe de canelle et de gingembre. La qualité du distillat et le choix des fûts est visiblement (et gustativement) juste, le résultat est une expérience en soi. Attachez vos ceintures car lorsque que le pied appuiera sur l’accélérateur, vous aurez droit à toute une virée…

Patrick 88%
Avec un tel taux d’alcool, on ne peut pas se surprendre d’une telle intensité. Définitivement pas un whisky de tous les jours mais vraiment trippant à déguster! Nez : Savoureux parfum de céréales sucrées et légèrement fruitées, le tout avec une touche de meringue. Bouche : D’une rare intensité, avec des agrumes, des noix, un peu de bois, des pommes vertes, du chêne et énormément d’épices. Finale : Un peu sèche, épicée, boisée et marquée par les céréales.

Box Single Malt Whisky « The Messenger » 3 ans

48.4% alc./vol.
Bottled November 2015. Édition limitée de 8169 bouteilles. 76% de la recete provient d’une maturation en fût de chêne américain de 130 litres et 24% provenant de fût de shery Oloroso. 7% de la recette contient du whisky tourbé de la distillerie.

André 81%
Belles notes de vanille et du bois de chêne, notes verdâtres, eucalyptus, genre menthe tourbée finiment. Le nez dégage des arômes de jeune distillat passablement influencé par le bois, rendu presque végétal… Je ne suis pas conquis. Le whisky se développe lentement en bouche, encore sur la menthe et l’eucaplyptus un peu tourbé, la vanille s’est transformée en quelque chose qui ressemble plus à du caramel, poignée d’amandes non-salées, bois vert, herbe, poires, céréales maltées, puis volée d’épices et de poivre. À l’aération, quelques notes de fruits rouges bien discrètes. Finale de poires, d’épices et de poivre. Un whisky n’ayant peut-être pas encore assez acquis de caractère et de personnalité propre, grandement influencée par le fût et le bois.

Patrick 89%
Un très bon whisky épicé et fumé. J’aime bien! Nez : Parfum de jeune whisky marqué par les agrumes et de l’eucalyptus. Bouche : Bois épicé et fumé, avec un peu de poivre, de vanille subtilement sucrée et d’eucalyptus. Savoureux! Finale: D’une longueur moyenne, un peu sèche et très épicée.