SMWS 3.251 Bowmore 17 ans

55.4% alc./vol.
Engineer’s work-bench in a boatyard – Distillé le 25 septembre 1997 – Ex-sherry

André 92%
Onctueux et tendre, amoureux et très posé. Le nez est typique des vieux Bowmore avec le sherry un peu poussiéreux et un peu savonneux, les cerises noires, caramel surchauffé, sel de mer, fumée de tourbe maritime et pleine d’enbruns salins, une pincée de gingembre et avec le temps, du toffee, gâteau aux fruits, réglisse rouge et épices. La bouche est déroutante, l’arrivée est douce et presque feutrée, approche presque apprivoisée sur les fruits rouges, les oranges et les cerises, pour ensuite se faire balayer par une ondée d’épices et de fumée de tourbe et de saveurs maritimes, les raisins secs. Le changement de cap est légèrement déroutant mais combien efficace, le genre de surprise que l’on attend d’un whisky d’exception. La texture en bouche est presque sirupeuse, very layered et sert bien de bouclier au taux d’alcool que l’on ressentira finalement un peu plus en toute finale de bouche et en rétro-olfaction en plus des solides notes de poivre noir concassé. Great stuff, pre-Suntory.

Patrick 94%
L’un des meilleurs Bowmore que j’aie goûté, ce qui n’est pas peu dire. Mais il ne se laisse pas facilement apprivoiser… J’ai heureusement eu la chance de l’essayer deux fois, et c’est alors que j’ai compris son mystère et que je suis tombé à genoux devant ce chef d’œuvre. Nez : Caramel salé, miel, sauce aux fruits et note subtile d’huile à moteur. Mon ex-beau-frère avait raison en disant « le Prestone, c’est pas parce que c’est sucré que c’est bon pour la santé » car il est certainement impossible de résister à la tentation d’en prendre un verre de trop! Bouche : Nous sommes au port de la petite ville de Bowmore: Le sel, les algues, des notes sucrées et fruitées provenant des navires de livraison qui laissent couler un peu d’huile à moteur…

Martin 93.5%
Nez: Vieux et respectable d’entrée de jeu. Sherry poussiéreux et tourbe adoucie par l’âge et la finition. Caramel salé, fumée maritime, fleur de sel, gingembre et orge gorgée de toffee. Bouche: Fruits, cannelle et poivre enflammé. Tourbe et chêne ultra-sec. La chaleur du cask strength est enveloppante. Je ne veux plus quitter. Caramel et fleur de sel. Finale: Chaude et longue, le restant de texture enrobante laissent s’étirer les saveurs à souhait, tout en nous épargnant la morsure caractéristique des expressions brut de fût. Le secret est de prendre de minuscules gorgées. Équilibre: Un grand Bowmore, et c’est tout à l’honneur de la SMWS d’avoir eu la chance de l’embouteiller. Une autre licorne qu’on ne reverra pas passer.

SMWS 33.143 Ardbeg 8 ans

59.9% alc./vol.
Thank you and goodnight! – Distillé le 24 mai 2007 – 582 bouteilles – Ex-sherry butt

André 94%
La qualité du fût de sherry ne fait aucun doute et a su donner à ce jeune et fougueux Ardbeg une souplesse et une complexité presque irréprochable. Viande fumée et marinée, fumée animale, bacon, sherry épicé, poivre noir, caramel légèrement brûlé, oranges mûres, proscuito, ananas flambés, feu de plage presque éteint. La bouche livre du sherry puissant qui se marie à merveille avec la tourbe animale et presque sauvage, l’alcool fougueux est calmé par les bras attendrissant du xérès profond et excessif. Les saveurs d’ananas flambés reviennent aussi et se mêlent de tourbe puissante et de caramel brûlé, d’épices et de poivre concassé. Oranges sanguines, cerises noires, fruits rouges. Finale épicée et tourbée, encore beaucoup d’épices et de poivre qui s’éteint lentement en bouche. Quelle présentation. Ardbeg et Laphroaig sont des whiskies que la jeune maturation peut bonifier de façon admirable. Cet opus de la SMWS en est la preuve… Buy!

Patrick 94%
Du Ardbeg de compétition, ce qui n’est pas peu dire! Impressionnant, spectaculaire, une vraie symphonie! Nez : Viande marinée dans une sauce bien sucrée en train de rôtir tranquillement sur le BBQ en dégageant une bonne dose de fumée! En fait, la viande est présentée en brochette avec des fruits tropicaux, et le BBQ fonctionne au charbon de bois! Bouche : Fumée et épicée, bref, une belle pièce de viande sur un BBQ traditionnel au charbon, ladite pièce de viande ayant préalablement marinée dans une sauce au vin. Finale: Longue et intense.

Martin 94%
Nez: Oh que c’est du tourbé complexe ça… Sherry, tourbe crasseuse, pneu usé, jerky fumé, briquettes de charbon, poivre, caramel et orange. La préscience du taux d’alcool est insistante. Bouche: Cendre, fumée de tourbe, retour des briquettes. Oranges, raisins et sherry goulu. Les épices sont au garde-à-vous, cannelle, muscade, poivre blanc et gingembre. À marier avec un beau steak de bavette mariné et son beurre aux herbes. Finale: Poivrée, longue, tourbée bien entendu. La seconde gorgée dévoile plus clairement les saveurs. Caramel et charbon. Équilibre: La SMWS frappe encore. Ayoye, Merci bonsoir certain!

SMWS 29.188 Laphroaig 17 ans

53.9% alc./vol.
Cowboy beans – Distillé le 13 mai 1998 – 246 bouteilles – Ex-bourbon

André 93%
Cowboy, wanna go for a peat ride? Wahou…. La tourbe puissante phénolique à la Laphroaig. Pansements antiseptiques, bacon fumé, épices à BBQ, médicinal à souhait mais avec une texture du garde malade blonde très sexy à la bouche pulpeuse de vanille. La bouche offre une douceur surprenante, sensation de poussière de pierre, un beau crémeux en approche puis une vague de poivre et d’épices, de saveurs médicinales puissantes, de sel de mer séché sur de vieilles cordes de bateaux érodées, fruits tropicaux frais, oranges. Quelques saveurs rappellent la pelure de pomme rouge ou les bonbons en gélatine ‘’wine gums’’, sensation de sherry même si le whisky provient de bourbon cask… Finale maritime et tourbée, superbe texture qui s’accroche jusqu’en finale de bouche. Un Laphroaig puissant et intense sur les saveurs et une texture à faire rêver.

Patrick 90%
Un autre superbe Laphroaig présenté par la SMWS. Tout à aimer, et plus! Nez : Aaaah, la superbe tourbe de Laphroaig, avec une bonne dose de goudron, des notes médicinales et du ciabatta. Bouche : Poivrée, fumée, moutarde et cornichons! Yep, assez spécial! Finale: Longue et savoureuse, avec une bonne dose de sel.

Martin 92%
Nez: La douce tourbe iodée de Laphroaig est incomparable. De belles notes de goudron alliées à d’autres de fruits rouges et de bonbons sont à l’honneur. Bouche: Sucré et tourbé, belle longueur et belle subtilité. Très peu agressif, surtout vu son degré d’alcool. Finale: Tourbe, iode, poivre, bois et céréales. Équilibre: Excellent, un Laphroaig comme il s’en fait peu. On devrait se battre pour ça au lieu d’un Cairdeas.

SMWS 29.205 Laphroaig 17 ans

58.8% alc./vol.
Two wheeled beach cruiser – Distillé le 1er juillet 1999 – 216 bouteilles – Ex-bourbon

André 92%
Le nez est étonnamment fermé au départ, je m’attendais à un déferlement de tourbe phénolique mais c’est plutôt un mélange de sel de mer et d’agrumes puissante qui assaille les narines dès le départ. On laisse respirer un peu et de savoureuses notes de salade de fruits émergent lentement recouvrant la couverture salée, les galets recouverts de sel de mer séchés au soleil, la salade de fruits dans son jus, puis des nuages de tourbe phénolique et d’asphalte chaude et de chili spices. La bouche est beaucoup plus généreuse que le nez qui est un peu plat mais qui accentue aussi la pléiade de saveurs. La texture est exquise, duveteuse et moelleuse. La finale est relevée en alcool mais très tolérable, les mêmes saveurs de la bouche poursuivent leur lancée. Superbes saveurs de salade de fruits et de tourbe phénolique et de sel de mer.

Patrick 92%
Un Laphroaig extraordinairement salé, avec une bonne dose de goudron et d’épices. Bref, du Laphroaig à son meilleur.
Nez :
La mer
Qu’on voit danser le long des golfes clairs
À des reflets d’argent, la mer…
Bon bon bon… Sel de mer, goudron, algues… Ça inspire!
Bouche: Sel de mer, algues, goudron mais aussi du porc sur le BBQ et des amandes salées. Finale : Longue et fumée.

Martin 92%
Nez: Les phénols de la tourbe classique de Laphroaig sont ici un peu mutés vers un côté marin qui rappelle un peu plus le citron et la pierre lavée de Bowmore. Un tantinet déconcertant certes quand on sait ce qui repose dans notre verre, mais à l’aveugle je ne me gênerais pas de tenter un petit voyage à pied ou en vélo sur Islay. Bouche: Les épices et le poivre du cask strength essaient de prendre toute la place, mais je parviens à voir au travers des nuages des pointes de goudron, de fruits verts, de chêne et de vanille. Finale: Pas piqué des vers, comme diraient les jeunes. La chaleur, la tourbe et les notes maritimes rappellent un bon vieux barbecue sur la plage, Karate-Kid-Style, comme en ‘84 esti… Équilibre: Est-ce que la SMWS joue vraiment sur la palette gustative, ou bien juste sur notre nostalgie? M’en câlisse, c’est du bon jus pareil…

SMWS 42.20 Ledaig 10 ans

62.2% alc./vol.
Young, muscular and untamed – Distillé le 3 mars 2005 – 180 bouteilles – Ex-bourbon

André 85%
Ressemble au Bunnahabhain SMWS 10.104, la tourbe en moins. Nez un peu neutre, mélange à la fois de sucre et de saveurs maritimes. Miel, vanille, terreux, encore la vielle corde de bateau, tourbe jeune, verte et terreuse, bananes passées date, pommes vertes. La bouche est franche et poivrée, sèche aussi. La vanille, les bananes et le miel, fumée de tourbe animale bien bizarre. La finale est même un peu chlorée, bonbons casse-grippe, tourbe et fumée de tourbe verte et herbeuse. Pas un mauvais whisky mais l’amalgame des saveurs ne tombe pas dans ma palette de goûts personnels. Jamais été un fan de Ledaig et de Tobermory.

Patrick 91%
Du grand Ledaig, fumé, intense et bien équilibré. De la fumée sucrée, le meilleur dessert qui soit pour l’amateur de single malt que je suis! Bu en écoutant une comédie musicale, c’était idéal!! Nez : Une légère fumée sucrée, de l’huile végétale, du goudron et des pommes bien mûres. Bouche : Impressionnant, du sucre, de la fumée et le tout est ensuite recouvert d’épices. Bref, caramel, fumée, guimauves, épices, bois brûlé, poivre et goudron. Finale : Longue, complexe et savoureuse.

Martin 86%
Nez: Une belle fumée subtile, accompagnée de raisins verts et de fruits au sirop. Eau de rose et sucre en poudre. Bouche: Belle texture, frais et sucré, mielleux, avec une touche de jeunesse et d’épices. Finale: Poivrée, chaude et fortement épicée, notes de bois amer, de sucre chauffé et d’alcool. Équilibre: Un peu trop violent à mon goût. Un bon malt, mais qui gagnerait à être un peu dilué.

SMWS 42.21 Ledaig 9 ans

59.4% alc./vol.
Ploughman’s on the beach – Distillé le 5 octobre 2006 – 216 bouteilles – Ex-bourbon

André 85%
On est définitivement près de l’océan dans cette présentation; sel de mer, filets de pêche érodés par le temps, fruits de mer, feu de plage, tourbe terreuse mouillée dégageant des effluves grasses et très fumées. La bouche offre des saveurs d’eucalyptus, d’herbe verte mouillée côtoyant la mer, embruns salés, feu de plage éteint par la tempête, tourbe poissonneuse et salade d’agrumes. Le whisky est franc en bouche avec une montée abruptes d’épices et d’alcool. La finale est longue, sèche et tourbée, beaucoup de notes vertes, presque végétales.

Patrick 89%
Un whisky intense et savoureux avec une tonne de sel et une belle fumée. Du bon Ledaig. Nez : Sel intense, algues, un peu de fumée et BBQ de fruits de mer. Bouche : Fumée et sel intense, pneus en train de brûler et poivre déchaîné. Finale : Longue et poivrée.

Martin 88%
Nez: Gros sel, algues, pierre lavée, tourbe maritime. On pass par tous les clichés de la mer avant de tomber sur des notes disons plus continentales. Tourbe, bois carbonisé, terre humide, fruits frais, crème et vanille. Touche de poivre et d’eucalyptus. Bouche: Fumé, tourbé et herbeux. La texture est grasse et transporte bien les saveurs poivrées de vanille, de bois, de fruits tropicaux et d’herbe. Le gros sel maritime domine le tout. Finale: Chaude, longue et poivrée. Épices, chêne, fruits, miel et sucre doré. Salade de fruits. Équilibre: Acéré c’est certain. Mais ce n’est pas désagréable. Un beau Ledaig qui présente tous les plus beaux atouts tourbés de Tobermory. Un autre bon coup de la SMWS. Dans la catégorie valeur sûre on ne fait pas beaucoup mieux.

SMWS 10.104 Bunnahabhain 8 ans

60.3% alc./vol.
Wild and Untamed – Distillé le 10 décembre 2007 – 174 bouteilles – Ex-bourbon

André 87.5%
Belle tourbe verte phénolique, jambon fumé, feu de plage, élans maritimes, vanille, poires, vieille corde pour tenir les bateaux au quai rongée par le sel de mer. Me fait un peu penser à la tourbe des jeunes Kilchoman en bourbon cask. La bouche est franche, poivrée et phénolique. Au départ, la texture préserve la bouche de la vivacité des saveurs mais une fois avalé, le whisky est un peu imprévisible et fougueux; tourbe verdâtre, impression de jeune whisky de part la vigueur du whisky dans son ensemble. Beaucoup de poivre broyé, de sel de mer et de phénols en finale de bouche. Une belle jeune expression de Bunna, bien tourbée de surcroit mais peut-être un peu trop vif et imprévisible en bouche.

Patrick 91%
Une méchante belle surprise, présentant une tonne de fumée et de poivre. Bunnahabhain à son meilleur. Wow. Nez : Parfum de tourbe sauvage, avec des notes d’allumettes et du thon grillé. Appétissant. Bouche : Épicée, fumée et poivrée. Finale : Longue, fumée et épicée.

Martin 90%
Nez: Belle tourbe un peu crasseuse, terre humide, allumette craquée, poivre, cuir et miel. Bouche: Poivre, bois, tourbe et miel. Un superbe amalgame de notes d’Islay. Finale: Poivre blanc en puissance avec tourbe fulgurante. Boisé et crasseux à souhait. Équilibre: Solide malt d’Islay, qui serait excellent même dilué à un taux d’alcool inférieur.

SMWS 10.101 Bunnahabhain 9 ans

60.9% alc./vol.
A storm cloud of flowers – Distillé le 6 octobre 2006 – 204 bouteilles – Ex-bourbon

André 78%
Bananes, vanille, ananas, pâtisseries qui rappellent certains Glenmorangie, agrumes, oranges. La première impression va à la texture très ronde et huileuse en début de bouche. Fruits tropicaux et agrumes, vanille goulue, oranges, puis sensation de pierre à savon un peu bizarre, de new make spirit, de bois vert mentholé déstabilisant. Finale salée et épicée, alcool acéré et un équilibre complètement gâché. C’est arrivé tellement rapidement et sournoisement que l’on en reste complètement déstabilisé. Ouch…

Patrick 80%
J’ai beau être un fan fini de la SMWS, ici ils ont été un peu trop pressé d’embouteiller le whisky. Trop jeune, pas assez complexe et trop agressif au niveau de l’alcool. D’ailleurs, il ne devait pas s’agir du meilleur choix de fût, car j’ai rarement goûté un whisky de 9 ans goûtant autant le new make! Nez : Céréales, sciures de bois, bois de santal et caramel subtil. Bouche : Toujours les sciures de bois, des agrumes et une tonne d’épices. Finale : Longue et forte en alcool.

Martin 81%
Nez: Vanille, chocolatines de la boulangerie locale, colle à timbre, la jeunesse de l’alcool nous rattrape prestement. Quelques fruits tropicaux. Bouche: Vanille, explosion de sucre blanc. Poivre, bois, feu roulant. Très agressif. Finale: Pierre lavée, rock fizz. Les épices, la cendre et le degré d’alcool obscurcissent bien des saveurs qui auraient pu briller ici. Équilibre: Je comprends le concept du single cask et j’ai toujours habitude d’accueillir les taux d’alcool élevés à bras ouverts, mais dans le cas de cet embouteillage, ce n’est pas un whisky qui nous laisse le luxe de l’apprivoiser. Peut-être est-ce à son détriment.

SMWS 121.88 Arran 15 ans

53.8% alc./vol.
Licking the wooden spoon – Distillé le 20 avril 2000 – 227 bouteilles – Ex-bourbon

André 82%
Une soirée au cinéma : Popcorn au beurre, vanille, sucre à glacer, menthe fraiche, miel. Le nez est un peu déroutant, on ressent l’apport de l’influence maritime mais les céréales mêlent la donne. La bouche est légèrement salée, encore le popcorn au beurre. Le mélange avec la menthe surprend un peu et tranche encore plus avec le mélange de vanille fraiche et de miel. Saveurs de bois de chêne séché en finale et de sucre à glacer, sensation un peu sèche malgré les saveurs dans l’ensemble sucrées. Bizarre à tout point de vue.

Patrick 86%
Un très bon whisky, idéal pour débuter une soirée de dégustation de whiskys cask strength. Nez : Parfum mielleux, avec du popcorn au beurre. Bouche : Très boisé, avec une bonne dose d’épices et un peu de beurre. Finale: Longue et épicée.

Martin 84.5%
Nez: Miel, fleurs blanches, sel et orge. Beurre et subtilité. Approche toute en douceur. Bouche: Plus agressif qu’au nez, miel et sel, beurre et fleurs. Légère amertume de new make. Finale: Boisée, épicée et amère, ce qui vient un peu couillonner l’expérience. Équilibre: Un bel embouteillage somme toute, mais la SMWS nous a habitués à mieux.

SMWS 121.81 Arran 15 ans

55.2% alc./vol.
Intense, lively and delicious – Distillé le 2 décembre 1999 – 286 bouteilles – Ex-bourbon.

André 88.5%
Vanille, sucre à glacer, miel, melon au miel, petit twist avec des aromates maritimes, agrumes, une pointe de citron, oranges. La texture est incroyablement duveteuse en bouche et les saveurs intenses; cerises marasquin, agrumes, oranges, citron, pommes vertes, toffee. Le tout se termine par des épices soutenues en finale de bouche, cannelle, fruits rouges, réglisse, gâteau aux épices. Cette jeune distillerie n’a définitivement pas fini de nous surprendre.

Patrick 90%
Un superbe Arran, présentant de surprenantes saveurs compte tenu de son « CV ». J’adore, complexe et superbement équilibré. Nez : Mmmm… Sucré, avec des notes de miel, de gaufres belges, des fleurs, des guimauves, de la rhubarbe et un peu d’épices. Bouche : Intense et relativement complexe, avec du bois, de la cannelle, des noix de Grenoble et un peu de raisin enrobé de chocolat. Finale : D’une belle longueur, marquée par les raisins dans le chocolat.