Super Nikka – Limited Edition « Revival »

43% alc./vol.
Lancé en 2015 en mémoire du blend de 1962

André 87%
Superbe et vraiment approchable, le genre de whisky que tu sers aux novices et qui fera des nouveaux adeptes. Beau nez de sherry fumé et d’épices (gingembre, clou de girofle et cannelle), caramel brûlé et chêne tout juste séché, chocolat au lait. En bouche, notes de miel et de chocolat au lait, noisettes, sherry et épices, ainsi qu’une fine touche poivrée. La texture est douce et soyeuse avec une légère touche astringente, épicée et sèche en finale de bouche. Un bon whisky passe-partout, des saveurs agréables, friendly stuff.

Patrick 87%
Un grand blend, présentant une riche complexité qui demande d’avoir du temps pour la contempler dans toute sa splendeur. J’aime bien. Nez : Succulent parfum typiquement japonais présentant des herbes, des agrumes, du gingembre, des notes de café et une subtile touche de chêne fraichement coupé. Aussi, un je-ne-sais-quoi me rappelant un sous-bois après la pluie. Bouche : La première gorgée m’a surpris avec une note de fumée de tourbe qui, bien que délicate, n’est pas discrète pour autant. Ensuite, une fois la surprise passée, on y trouve aussi des notes épicées de cannelle, de poivre, de gingembre, des herbes, du miel, des fleurs et une touche subtile de vanille. Finale : Longue et savoureuse, s’étire sur les saveurs de fumée de tourbe, d’épices venant du bois brûlé et de subtiles notes florales.

Martin 87%
Nez: Une belle richesse et diversité se présente à nous. Xérès, touche de boucane, fruits secs, gingembre, bois et café moulu. Cacao. Bouche: Tourbe et épices, miel, noix et poivre. Caramel et épices en puissance. Finale: D’une bonne longueur, elle s’étire sur des notes de gingembre, de vanille, de xérès, de chocolat, de chêne et de douce fumée. Cuir. Équilibre: Superbe whisky japonais, à peine toquant sur les fruits foncés. Un solide dram.

Jim Beam Double Oak

43% alc./vol.
La septième génération de master distiller a créé une nouvelle expression non pas vieillie en un, mais 2 fûts. Comme tous les autres bourbons, Jim Beam Double Oak est vieilli dans un fût de chêne neuf toasté, puis il est transféré, pour une seconde maturation dans un nouveau fût de chêne neuf toasté.

André 88%
Typique dans le style; grosses cerises sauvages et réglisse rouge, poivre concassé et un bon taux de sucre rendant le whisky bien rond et dodu au nez. Invitant et simple. La bouche est puissante pour un whisky à 43%, grosses notes de réglisse rouge et de pelure de pommes, cerises noires et chocolat, beaucoup de poivre et d’épices en background, belles notes de cannelle, de poivre moulu et de charbon de bois vraiment brûlé. Wow, ça se boit très bien ce bourbon… Longue finale, un peu trop edgy qui coupe les saveurs de fruits et de vanille. Pour 35$, personne ne regrettera son investissement. Un bon bourbon pour le coin du feu cet été. Buy!

Patrick 88%
Ce qui m’a étonné ici, c’est le sucre qui balance admirablement bien le chêne et les épices. Bref, un très bon whiskey intense et savoureux, mais surtout un excellent rapport qualité prix. Nez : Parfum sucré, dominé sans surprise par des notes chêne, avec un peu d’épices, de cerises et de vanille. Appétissant! Bouche : Sucre d’orge, chêne épicé et légèrement brûlé, avec une touche de cerise. Finale : D’une belle longueur, sucrée, boisée et épicée.

Jack Daniel’s Straight Rye

45% alc./vol.
Constitué de 70% de seigle, 18% de maïs jaune et 12% d’orge malté (le N°7 est composé de 80% de maïs jaune, 12% d’orge maltée et 8% de seigle). Produit selon le même process que le Jack Daniel’s Tennessee Whiskey, à savoir bénéficiant d’une filtration goutte à goutte sur une couche de trois mètres de charbon de bois d’érable avant d’être placé en maturation dans des fûts neufs de chêne blanc américain, la différence vient ici des céréales utilisées. Lors de la prohibition, la distillerie Jack Daniel’s, forcée à arrêter sa production, a été utilisée pour accueillir un élevage de mules et d’ânes. C’est peu après cet événement, en 1941, que naîtra sur le sol américain la recette du « Mule » ! Ce Jack Daniel’s N°7 Rye est donc la base parfaite de ce cocktail mythique !

André 81%
Rye cireux, un brin d’acétone, réglisse rouge, petits fruits sauvages, cerises noires. Très velouté en bouche mais un peu volatile, la structure est fragile et diaphane, les céréales de seigle sont bien en évidence mais les saveurs un peu délavées; rye cireux et un brin terreux, réglisse poivrée, cerises noires, oranges roulées dans le caramel et la cannelle. En finale de bouche, les céréales de maïs séchées assaisonné de morceaux de bananes et de cosses de pommes rouges apparaissent aussi, avant de se terminer sur des notes de cerises poivrées et une forte sécheresse, caramel et chocolat noir.

Patrick 89%
Une belle surprise que ce nouveau Jack Daniel’s qui saura satisfaire les fans de la marque et les fans de rye en général. En tout cas, moi, j’adore, et la meilleure preuve en est ma bouteille qui se vide trop vite! Nez : Savoureux parfum de céréales sucrées où le seigle domine, accompagné d’un peu de cerises et d’une bonne dose de vanille. Bouche : Planche de chêne, seigle, épices, vanille, cerises, le tout enveloppé par du bois brûlé et recouvert de sucre blanc brûlant. Finale : D’une belle longueur, épicée et sucrée.

Martin 86.5%
Nez: Oh, le seigle est à l’honneur ici, tout en gardant le caractère JD. Maïs, vanille, menthe et bois grillé. Bouche: Pommes, vanille, caramel, fruits rouges, réglisse, rye bien frais. Finale: Le rye se résorbe un peu ici pour laisser les notes traditionnelles de Jack briller un peu. Équilibre: Bien que JD soit pratiquement la plus traditionnelle des distilleries américaines, un pilier quoi, reste que parfois innover ça peut être payant.

Pikesville Straight Rye

55% alc./vol.
Tout droit sorti de la distillerie Heaven Hill, ce produit de qualité supérieure est élaboré à partir d’un moût composé à 51% de seigle, 39 % de maïs et 10 % d’orge. Avec ses 55% de teneur en alcool, le whiskey Pikesville Straight Rye est vieilli en fûts pendant six ans. À l’origine produit par les distilleries L. Winn & Brothers depuis 1895, sa fabrication est passée entre les mains de la maison Heaven Hill après avoir connu une passe difficile pendant les années 20 et la Prohibition.

André 88.5%
Grosse réglisse bien fraiche, anis, odeurs très intenses d’épices et de poivre frais broyé, de tarte au caramel et de sirop de maïs, cerises noires, fruits sauvages, le rye donc!… La bouche est franche et directe mais hyper bien équilibrée; réglisse rouge, beaucoup d’épices dont le poivre et le clou de girofle et de cannelle, puis belle intensité sucrée tirée du maïs qui équilibre bien la volée épicée. Belle onctuosité malgré les épices tranchées. Notes de chocolat noir légèrement amer, de cerises noires, d’anis et de bois carbonisé en finale, touche d’oranges, l’alcool est aussi bien ressenti. Bien que très jeune, ce whisky livre la marchandise. L’alcool et les épices rendent le whisky un peu fougueux en bouche mais la texture et une légère touche de sucre mielleux et de chocolat lui donnent une touche plus domestiquée. Du bon jus!

Patrick 94%
Un rye extraordinaire, sublime, savoureux. Yep, oui, tout ce que je veux, oui, oui, oui!! Nez : Savoureux parfum sucré et fruité, avec de la vanille, un peu de bois brûlé. Ça semble assez traditionnel pour un bourbon, mais j’ai l’eau à la bouche comme jamais! Bouche : Du beau sucre chaleureux, de belles épices envoûtantes, quelques sublimes fruits mûrs, de la cassonade et de la vanille. Finale : D’une belle longueur, intense, sucrée et épicée.

Martin 89%
Nez: Cerise, maïs et gomme balloune. Herbe séchée, vanille et chêne. Caramel et poivre, tout cela en train de chiller sous le parasol du rye. Excellent! Bouche: Puissante et intègre, rapide sur le maïs et les épices. Planche de chêne, cerises cireuses, rye bien poivré, texture juteuse et goulue. Un petit peu de poussière, vanille et clou de girofle. On est très bien pris en charge. Finale: Cacao, vanille, bois, poivre et cannelle. Un restant de fruits de champs bien juteux nous accompagne avec un soupçon d’anis, de réglisse rouge et d’amertume. Très élégant dans sa robustesse. Équilibre: Un superbe whiskey, sa teneur en rye et son degré d’alcool sont les piliers qui rendent cette expérience unique.

Ichiro Malt Wine Wood Reserve

46% alc./vol.
Ichiro’s Malt Wine Wood Reserve est un vatted malt inhabituel puisqu’il est composé de Chichibu, de Hanyu mais aussi de single malt écossais. Cette rare expression a vieillie en fûts ayant contenu du vin rouge avant d’être affinée en barriques Ovum, qui sont des futs chêne français façonnés en Charentes par les Meilleurs Ouvriers de France de l’équipe Taransaud.

André 86.5%
Quand t’as quatre pouces de maquillage dans l’visage, c’est probablement le signe que ça cache un visage de cul. C’est un peu l’impression que donne le nez de ce whisky, noyé dans le wine cask costaud et pas subtil et le sucre. Au nez, avalanche de fruits rouges, d’épices mélangées de sucre, chocolat noir fourré à l’orange, un peu licoreux et pas subtil sur l’influence des fûts utilisés. Ce qui surprend en bouche c’est la force des notes de poivre noir broyé, de gingembre et d’épices, cintrées de notes de fruits rouges et de fruits sauvages, les cosses d’oranges, les gros raisins mauves. Il y a un off-key quelque part en bouche, un petit quelque chose dans le wine cask. La finale est hyper épicée et poivre, relativement longue, fruitée sans subtilité, avec un retour sur un mélange épicé-sucré un peu désorientant. Un whisky faisant preuve de beaucoup d’ambiguïté, parfois difficile à suivre mais aussi avec de belles saveurs et arômes.

Patrick 82%
Bon, mes attentes étaient élevées, alors oui, je suis déçu. Un whisky plutôt mono-dimensionnel, qui sera idéal pour ceux qui aiment plus le vin que le whisky! Mais pour les amateurs de whisky, on repassera… J’ai d’ailleurs tenté l’expérience avec des amis qui justement préfèrent le vin au whisky, et ils ont adorés leur dram! Nez : Parfum très marqué par un beau vin rouge sucré et fruité, avec une touche de caramel et de vanille. Bouche : Vin chaleureux très intense, chêne brûlé, caramel cramé et vanille épicée. Finale : D’une belle longueur, marquée par le bois brûlé.

Martin 86%
Nez: Vin rouge et malt, petits fruits et chêne, fleurs et raisins. Très sucré, peut-être un peu trop même. Cacao et poivre noir. Bouche: Sucre d’orge, vin rouge, raisins, chêne et épices. Orange, cassonade, retour du sucre. Le fût de vin cache beaucoup trop la ligne directrice de cet embouteillage. Finale: Chaude, porte bien les saveurs susmentionnées sur une longueur agréable. Mais tel que discuté, nous sommes ici un peu trop sur le cask finish versus le caractère propre du malt. Équilibre: La finale résume bien ce qui arrive quand on se la joue un peu trop avec des fûts spéciaux. Un whisky aux saveurs intéressantes individuellement, mais qui se perd un peu dans ce qu’il aspire à être.

1835 The Lone Star Texas Bourbon

45% alc./vol.

André 73%
Dans le monde bouillonnant et de l’explosion de l’intérêt marqué pour le whisky, plusieurs compagnies coquilles profitent de l’engouement général afin de s’approvisionner dans des producteurs grossistes et n’ont souvent même pas d’alambics pour distiller. Ça semble encore le cas ici, comme le label l’indique ‘’embouteillé’’ au Texas… et non ‘’distillé… Les sourced whiskies sont définitivement à tuer le marché petit à petit et miner l’appellation ‘’micro-distillers’’. Le nez est insipide et générique, aucune originalité, on fait dans la présentation straight to the point, bar none, case closed; fruits rouges sauvages, cerises, réglisse, cannelle, cassonnade et le bois brûlé. Cela ne présage rien de bien palpitant… La bouche est livrée avec aucune passion, l’alcool est en avant-plan et malmène les saveurs de réglisse poivrée et épicée. Le bois brûlé aussi ressort beaucoup et le whisky est franc et tranché en bouche. Bon, pour 30$ je n’avais pas de grosses attentes… La finale est sur l’alcool frelaté dans laquelle marine des fruits rouges et de la réglisse. Le prix ne fait pas foi de tout mais dans le cas présent, à 30$us, c’est du vol pur et simple. Trump devrait monter son mur autour du siège social du distributeur.

Patrick 85%
Un très bon whiskey, avec une palette de saveurs très traditionnelle pour un bourbon. Mon bug est que non seulement il s’agit d’un « no age statement », mais c’est aussi un « no distillery statement ». Une pratique que je trouve déplorable. Ok, le whiskey est bon, mais si vous lisez ceci, achetez donc quelque chose dont vous connaissez le vrai producteur. Nez : Parfum de caramel légèrement épicé avec une pointe de cerise. Bouche : Délicieuses épices, bois brûlé et cassonade. Finale : D’une belle longueur, marquée par les épices typiques du bourbon.

Booker’s ‘’True Barrel’’ Batch #2017-01E

62.70% alc./vol.
6 ans 1 mois

André 93%
On a beau dire, avec les dernières frasques de Trump, qu’en tant que Canadien on devrait boycotter les produits Américains, une fois qu’on a goûté ce whisky, il sera bien difficile de s’en passer et de ne pas succomber à l’envie d’acheter la bouteille si l’on en trouve. Le nez est d’une richesse incroyable; cannelle, rye, réglisse, fût carbonisé, grosses cerises noires, presque des prunes de part l’amplitude des fruits rouges bien mûrs, la pelure de pomme rouge et le chocolat noir aux épices, les amandes non salées. Texture onctueuse en bouche en arrivée, puis plus costaud et effilé, grosse vague de poivre et de cannelle, d’anis et de réglisse, de cerises noires, de chocolat noir fourré d’épices et de poivre. On ressent bien l’effet de chacune des céréales composant ce superbe whisky. Longue finale, poivrée et épicée, beaucoup d’astringence et de sensations brutes provenant du bois de chêne brûlé. Saveurs et alcool version cask strength. Love it!

Patrick 86%
Pour amateur de bois brûlé intense. Pas le Booker’s le plus subtil que je n’aie jamais vu, mais ça reste très agréable. Nez : Parfum sucré, avec des notes de réglisses à la cerise et vanille. Bouche : Bois brûlé intense et les épices qui y sont associées. Mais vraiment, le mot clef ici est « intense »! Finale : D’une belle longueur, marquée par le bois brûlé.

Evan Williams White Label « Bottled-in-Bond »

50% alc./vol.

Patrick 89%
Un très bon whisky, le genre de bourbon qu’on pourrait boire à tous les jours surtout à un prix si raisonnable. Dieu bénisse les « Bottled-in-Bond »! Nez : Cassonade sucrée avec des notes de cerise et d’orange. Appétissant. Bouche : Un délicieux mélange d’épices et de sucre, avec une bonne dose d’oranges et de bois brûlé. Finale : D’une belle longueur, avec les épices du bois brûlé, la cassonade et une touche d’orange.

Hillrock Double Cask Rye

45% alc./vol.
Barrel no.76

André 94%
Du gros rye… mais présenté avec beaucoup de raffinement. Le nez est licoreux, rond et amoureux, ce qui est étrange vu les odeurs habituelles épicée et poivrées. Donc, réglisse rouge, grosse chandelle de cire, cerises noires, toute-épice, poivre, oranges, chocolat noir, café noir, fruits séchés, cannelle, beaucoup de caramel brûlé aussi. La bouche est bold, grosses cerises noires, les pommes caramel de Beauce Carnaval, oranges, poivre, clou de girofle, caramel, léger carbonisé, petits fruits sauvages, chocolat noir amer, café noir. La bouche n’offre que peu de surprise et livre dans l’ensemble ce que le nez avait annoncé et même la texture onctueuse est reflétée sur la langue et colle partout en bouche. Belle finale, bien ronde et longue, onctueuse et fruitée avec une rétro-olfaction de bois brûlé. Un whisky avec une structure incroyable et une divine texture.

Patrick 78%
Décevant, un autre exemple de whisky où on a mis plus d’efforts dans le packaging que les fûts. Nez : Eeech… Il y a quelque chose de pas correct ici. Genre une bouteille de vin laissée ouverte sur le comptoir pendant un mois… Bouche : Savoureux et intense, avec du sucre et du bois brûlé, mais toujours une petite touche de vin passé date. Finale : D’une belle longueur, marquée par les épices et le vieux vin chaleureux.

Whistle Pig Farmstock Crop 001

43% alc./vol.
Recette provenant d’un mélange de 20% de rye whisky d’un an de la ferme Whistle Pig, 49% d’un rye whisky provenant de Alberta Distillers et de 31% de rye whiskies américains âgés de 12 et 13 ans provenant de MGP en Indiana.

André 83.5%
Nez un peu fermé et réservé, abondantes notes de vanille tirées du bois de chêne, soupirs de rye en background, caramel chaud, épices des Caraïbes, poivre, cannelle, fruits rouges, réglisse. Tout est là mais sans passion, sans rien pour vous accrocher à votre verre. La bouche a cet aspect cireux que l’on retrouve souvent dans les rye whiskies, genre crayon de cire Crayola, la terre battue séchée, une pointe d’acétone, cerises noires, pommes, oranges, réglisse, petits fruits des champs, le tout soulevé par de puissantes notes de poivre, de cannelle et d’épices. La finale est moyenne longue, sur le rye poivré et épicé. 90$us… pour le rendu final, ce whisky est vraiment trop cher payé. Si vous aimez le rye, tentez de mettre la main sur les anciennes versions originales dont le whisky provenait de Alberta Distillers, vous en aurez pas mal plus pour votre argent.

Patrick 88%
Un très bon rye, avec tout ce que j’aime dans ce type de whisky. Riche, intense et superbement équilibré. Nez : Parfum assez typique pour un Rye, avec un beau mélange de sucre, d’épices et de discrets fruits des champs. Bouche : Un superbe rye bien épicé accompagné de bois brûlé, mais tempéré par un peu de sucre, de fruits des champs et de vanille. Finale : D’une belle longueur, très épicée et légèrement boisée.