40% alc./vol.
Ce whisky breton pur blé noir est élaboré à partir de 80 % de blé noir non malté et de 20% de blé noir malté, mélange qui renforce son caractère fruité. C’est la distillerie des Menhirs, à Plomelin Finistère qui fabrique l’Eddu affiné en fûts de cognac.
André 92.5%
Le nez se révèle au travers des volutes de céréales de blé. La bouche elle, apportes des arômes de poires et de fruits suivi de miel de bruyère. La finale est très près de ce qu’est un Bourbon américain. Je suis conquis et renversé par une si belle découverte. Malheureusement introuvable au Canada, mais impossible de ne pas en ramener si vous passez par la Bretagne. à savourer et découvrir verre après verre.
Patrick 92%
Sent le sarrasin et le sherry. Pain au gingembre. Frais, épicé, fumée, sucré. En finale, goût de biscuits brûlés.
Martin 88%
Ambre roux proche d’une bombe de sherry, mais pas tout-à-fait. Nez: On ouvre sur un petit côté de réglisse et de mélasse qui me rappelle un rhum, ou un new make au blé, justement. Blé noir, hein? On finit dans les fruits sucrés. Plutôt plaisant, mais difficile à cerner. Bouche: Framboise, bonbons sucrés, encore un doux vent de rhum, et on termine sur un retour dans la framboise. Finale: Courte mais rafraîchissante. Menthe poivrée, bonbon, sucre doux. Équilibre: Une belle et mystérieuse découverte ce blé noir. C’est le whisky que nous méritons, pas celui dont nous avons besoin.
RV 82.5%
Où le plaisir de goût un nouveau type de grain dépasse le goût du liquide qu’il est devenu. Étrange, le blé noir emprunte l’aigreur du single malt mais aussi l’aspect du fond de cendrier du Bernheim, et un peu de pêche. En bouche, ce qui me semble du seigle qui donne un goût d’orange (celle du Orange crush dégazé). Avec des aspects de whisky de micro distillerie, la finale est poivrée, assez longue, mais dans l’ensemble, c’est un beau mélange qui manque de direction, comme si l’on tentait de plaire à tous. Dans le rayon des curiosités.