Rich & Rare

40% alc./vol.

André 84%
Nez tout de caramel et de pacanes, noix et un brin de bois. Bouche passablement sucrée, notes omniprésentes de caramel et de bois. Un peu déséquilibré en bouche. Vague poivrée en fin de bouche. Finale peu diversifiée, moyenne en longueur, linéaire surtout sur le sucré du toffee et du caramel.

Martin 84%
Nez: Caramel, vanille, fruits, seigle avec un léger bois poivré. Un vent de vernis domine toutefois l’ensemble. Un peu de noisette et de pralines. Céréales. Bouche: Texture plus ou moins riche, sur les épices et les fruits rouges. Bois et réglisse, crème au beurre, chocolat noir. Finale: De longueur moyenne, le bois, le cacao et les épices dominent. Avec le temps tout cela s’évapore pour ne laisser qu’un fond de diluant à peinture. Équilibre: Plutôt bien, fort sur les fruits, il reste tout de même typiquement canadien.

Masterson’s 10 ans French Oak Finished 2012

45% alc./vol.
Disponible seulement dans certains magasins des États-Unis.

André 91%
Nez de bourbon salé, réglisse et fruits rouges, rye et gingembre. Un nez typique de rye whisky canadien avec une twist salée singulière. La bouche est feutrée, arrivée fruitée, soyeuse, parsemée d‘épices et d’orange. La finale extra-douce sur la vanille et prolongée en longueur de bouche par le rye. Ma plus haute note (avec le Highwood 25yo) des Canadian whisky awards 2013 et en y regoûtant, j’y redécouvre d’autres subtilités à toute les fois. Superbe!

Highwood Distillers 25 ans Calgary Stampede Edition

40% alc./vol.
Édition limitée à 6000 bouteilles.

André 91%
Ma plus haute note des 60 échantillons notés à l’aveugle dans l’édition 2013 des Canadian Whiskies Awards. Superbe nez, très riche de crème pâtissière et de vanille. Douceur de la mie de pain chaude. En bouche, texture crémeuse et amoureuse, vraiment étonnante. Beau mélange de fruits avec une touche boisée se terminant sur des soupirs de citron et d’agrume. J’ai trouvé la finale étonnamment longue pour un whisky si doux, l’aspect crémeux aidant peut-être à garder le tout longtemps collé au palais, et les épices prolongeant élégamment l’ensemble. D’avoir la possibilité d’acheter un whisky de 25 ans de cette qualité, pour un prix si ridicule, est presque gênant.

Patrick 91%
Si tout le monde connaissait ce whisky, les whiskys canadiens seraient considérés comme les meilleurs au monde (ou pas loin en tout cas!). Nez : Parfum de bonheur total. En fait, du seigle sucré, avec une touche boisée et des notes de cerises et de vanille. Bouche : Belle vague d’épices et de sucre à l’arrivée en bouche, suivies de notes de cerises et de vanille. Le tout est complété par de subtiles notes boisées épicées et d’agrumes rafraichissantes, offrant un superbe et savoureux contraste. Finale : Belle finale sucrée et marquée par de savoureuses céréales.

Martin 91%
Nez: Caramel et épices du rye. Oui oui oui. Bois de conifères, touche de réglisse et de pâte de fruits rouges, vanille et cerise. On est sur la bonne voie. Bouche: Texture cireuse et crémeuse. Épices, bois, fruits rouges mijotés. Vanille et caramel. J’ai l’impression de déconstruire une truffe Lindt. Finale: Chaude et toujours crémeuse, tout en gardant la lame effilée des épices du seigle. Bois et fruits. Très « tundra » dans son approche. Équilibre: Un excellent dram pour se réchauffer sur le bord du chauffe-terrasse une soirée pas trop froide de décembre.

Canadian Rockies 21 ans Batch #01

40% alc./vol.
Exclusivité pour Taiwan.

André 89%
Céréales Sugar Crisp, beaucoup de miel. Ensemble doux et très silky. Très light en bouche, malheureusement un peu unidimensionnel. Très longue finale sucrée, persistant et amoureux en bouche. Rétro-olfaction sur les épices ce qui contraste fortement avec le nez et la bouche.

Patrick 89%
Superbe en bouche et parfaitement balancé, dommage que le nez soit si fade et la finale si courte. Enfin, il « score » là où ça compte! Nez : Nez plutôt fade où l’alcool semble prendre plus de place que nécessaire. Le tout complété par du seigle mielleux et fruité. Bouche : Beaucoup plus agréable en bouche que le nez le laissait présager, on y trouve de délicieuses et intenses épices du seigle, de beaux fruits, une goutte de miel et une belle charpente boisée. Finale : Un peu courte, épicée et boisée.

Premium Bottlers STRT 101

46% alc./vol.
Un vatted de 1% single malt canadien (donc Glenora en Nouvelle Écosse) et de 99% de scotch single malt de la distillerie Strathisla fait par « Premium Bottlers », le seul embouteilleur indépendant au Canada, aujourd’hui mieux connu sous le nom de Still Waters Distillery.

André 84%
Vieille souche d’arbre mouillée, épices. L’arrivée en bouche est claire et dépouillée; un peu de cuir et de tabac à pipe. La finale est très particulière à saveur de feuilles de tomate vertes et le feeling en bouche est comme si on lècherait une feuille de rhubarbe et le tout se termine sur un rappel de raisins mauves.

Patrick 83%
Nez sans grande personnalité, si ce n’est un soupçon de menthe que j’ai trouvé après que l’on me l’aie indiqué. Assez agréable au goût, menthe, orge et vanille pour adoucir la touche de personnalité qui semblait vouloir s’exprimer. La finale est moyenne mais laisse une douce chaleur satisfaisante en bouche.

Martin 85.5%
Aussi pâle qu’un sauvignon blanc. Nez: Belle petite céréale du Speyside à l’avant-plan, entourée de vanille, d’herbe, de foin et de fleurs. Rien à chier par terre, mais tout de même vachement bien pour son prix. Le degré d’alcool supporte admirablement bien le tout. Bouche: Texture assez intéressante. On y dénote un petit côté poivré, vanillé avec des pastilles et des grains d’orge bien gras, sans oublier la plus douce des pointes de cuir fumé. Finale: Une finale qui aurait gagné à être plus longue, bien qu’on aime le premier punch de menthe et de poivre pour finir en douceur sur une vague de vanille. Équilibre: Pas la fin du monde, mais belle réussite de Still Waters pour se faire un fond de roulement. Essentiellement un Strathisla 10 ans pour 50$, on serait fous de s’en passer! Je mets au défi quiconque de me trouver du Glen Breton à l’aveugle là-dedans!

RV 83%
Rien qui ne sorte de l’ordinaire mais bien agréable pour un whisky à 50$. Strathisla au nez mais un peu plus adoucit qu’à l’habitude. On dirait que la menthe a pris un petit côté de vanille, un changement qui promet pour la bouche. L’arrivée est plutôt sirupeuse mais le poivre s’exclame assez fort. La finale est trop courte mais agréable, et il faut attendre presque 30 secondes avant d’avoir un retour sur la vanille bien équilibré.

White Owl Whisky

40% alc./vol.
White Owl Whisky adopte une approche différente. Contrairement aux États-Unis, au Canada, un whisky se doit d’être vieilli pendant au moins trois ans dans des barils en bois pour être appelé whisky. White Owl contient des spiritueux ayant été vieillis jusqu’à une période de plus de dix ans. Ses responsables Highwood Distillers de l’Alberta filtrent leur whisky avec du charbon de bois jusqu’à ce que la couleur soie disparue. White Owl se veut une alternative aux autres alcools utilisés pour la mixologie et les cocktails tels que la Vodka ou la Red Bull. Ceux-ci demandaient souvent un alcool clair (ce qui n’est pas le cas des whiskies en général).

André 75%
75% (neat) / 85% (cocktail) Nez hyper léger, citron-lime, sucre blanc, très estival. Les grains de céréales sont bien présents, mais l’ensemble n’est pas tellement raffiné (du moins pour un amateur s’attendant à un whisky dans le sens propre du terme) et sans réelle sophistication. Bouche épurée, un peu fade où la l’influence du fût est un peu plus sentie. La bouche est tout de même agréablement douce mais sans solide charpente. En ce sens, il exécute pleinement son rôle à être prédestiné aux marché des cocktails, de part son côté funky et festif et son pourcentage d’alcool qui saura, pour sûr, agrémenter les adeptes de mixologie. L’amateur de whisky pur et dur n’y trouvera (probablement) pas de grand plaisir. Un joueur qui a besoin de son équipe pour le supporter, lire ici, meilleur en mix que neat – « on the rock ». (Essayez le Western Caesar: Un once et demie de White Owl, 3 larmes de Tabasco et 6 de sauce Worcestershire dilué dans 4 onces de Caesar Cocktail mix). Been there, done that. Not so WOW to me.

RV 80%
Pas vraiment comme grain whisky, mais une base intéressante et challengeante pour mixologistes. Estival avec ses agrumes acides, l’arrivée en bouche est beaucoup plus près de la vodka sucrée que du whisky, avec malgré tout un petit arrière-goût de grain qui vient donner une certaine particularité à l’ensemble. Toutefois, mélanger cet alcool à des ingrédients pour confectionner un nouveau cocktail ne doit pas être de tout repos pour ne pas se retrouver avec quelque chose qui a le même look et le même qu’un vodka de grain.

Patrick 80%
nez rappelant un vodka aux céréales. En bouche, un sucre et une épice typiquement « whisky canadien » nous rappelle à l’ordre. Touche de fruits. Finale marquée par une cassonade épicée. Ce whisky devrait pouvoir remplir haut la main sa mission de base de cocktail… Il est bon, mais pas au point de la boire seule.

Alberta Premium Dark Horse

45% alc./vol.

André 88.5%
C’est une bête qui sait très bien tirer parti du 5% d’alcool supplémentaire des autres embouteillages réguliers de la même distillerie et la couleur de sa robe n’est que le reflet de sa force en bouche, de son caractère racé. Un puissant whisky (au nez rappelant presque un whisky aromatisé) sertis d’épices poivrées et de fruits secs. Le nez, au départ parsemé d’acétone (caractéristique souvent retrouvée dans les rye whiskies) s’aplanit un peu avec l’apport des fruits et des notes de vanille (retrouvées habituellement dans les bourbons). Le brûlage intensif du fût est palpable par tout nos sens; la couleur livrée à l’œil, le nez puissant et fortement fruité et sucré, la bouche avec cet arrière-goût de brûlé et fruité, la vanille, toujours la vanille. En bouche il est plutôt robuste même si bien équilibré; réglisse noire, dates séchées, barres/collation aux fruits. Finale très soutenue, fortement épicée avec un retour sur le poivre. Un Canadian whisky non conventionnel, pas nécessairement représentatif du style mais définitivement avant-gardiste.

Patrick 88%
Nez: Végétaux sucrés er touche de cassonade.  Bouche:  Sève sucrée et cerise de terre.  Finale: Très sucrée, avec une pointe de nananne et banane verte.  Balance:  Belle complexité.  Non mais, vraiment belle.  Franchement.

Martin 88.5%
Nez: Vanille mielleuse, seigle torréfié, caramel, un peu de bois brûlé, fruits des champs. Une touche d’érable mais si subtile que j’en suis à me demander si ce n’est pas encore ma fibre fédéraliste qui me joue des tours. Je le laisse s’ouvrir pour découvirir de la barbe à papa à la deuxième visite. Riche, entier, je dirais même distingué. Bouche: Sucré, crémeux, vanillé, toffee, épices, seigle grillé, lavande, gingembre et dattes. D’une douceur et d’une complexité qui nous font aisément sourire. Finale: Inépuisable, le sucre reste en bouche, main dans la main avec les épices du seigle. Juste assez suave. Équilibre: J’en veux plus encore. D’une ahurissante complexité pour un rye. Je voudrais dire encore doux, mais c’est plus que ça, le seul mot qui me vient en tête vient de l’anglais smooth. Lisse, non. Doux, non. Fluide, non. Disons que c’est un whisky doté d’une grande finesse, mais je ne suis pas entièrement satisfait de ce descripteur non plus. Je vais en ce cas laisser en guise de clôture la parole à une légende de l’ouest canadien, Wayne Gretzky:
« On pogne pas les mouches avec du vinaigre… »

RV 87.5%
Cute Petit film amnésique où les sympathiques personnages dépassent le scénario. Avec des effluves de cerises, d’érable et de râche, le whisky aromatisé ne semble pas si loin que ça. Très pesant sur la langue, le rye canadien s’incruste et la chaleur du 45% est bénéfique à l’expérience. Finale plus conventionnelle où le bois et le maître d’œuvre, dans un dernier mouvement à la longueur digne de ses aînés. Oubliez la couleur, oubliez la distillerie, oubliez l’absence d’âge; vivez simplement l’expérience.

Alberta Springs 10 ans

40% alc./vol.
100% Rye. Disponible au Nouveau-Brunswick et en Ontario.

André 88%
Simple is beautiful. Vanille, fruits, épices, bois. Sucré avec passion, épices, peppermint, Finale plus relevée où le bois et les épices prennent encore plus leur importance. À défaut de sortir des sentiers battus, on mise sur l’exactitude du rôle des éléments et de la balance avec laquelle ceux-ci sont présentés.

Patrick 85%
Nez: Rye, chêne et vanille. Goût: Puissant rye suivi de vanille, puis vanille et encore vanille. Finale: Relativement courte, la vanille se transformant graduellement en caramel écossais. Commentaire final : On aurait plus envie de le mâcher que de la boire!!! Idéal pour affronter la récession : Pas cher et délicieux!

Martin 86%
Nez: Vanille et bois, avec une pointe de rye et de lointains fruits rouges. Eau d’érable et touche de poivre. Bouche: Sucre brun, eau d’érable, caramel. Pincée de poivre, bois et quelques céréales. Le rye revient nous voir pour fermer la boucle. Finale: Assez relevée et chaude pour une expression disons « average ». Notes de poivre, de bois et de sucre d’érable. Équilibre: Un excellent rapport qualité prix, si seulement encore une fois il était disponible ici.

RV 75%
Pas cher mais vaut son prix. Canadien à la rhubarbe tellement fruité qu’on pense qu’il n’est pas fait a base de grains mais à base de fruits divers. Exactement même chose en bouche mais un peu plus aigre, presqu’à la Wisers, mais en moins bon. Encore plus aigre en finale (qui est heureusement courte), plus ça va et pire il est.

Wiser’s Legacy

45% alc./vol.

André 94%
Nez fruité à souhait sur fond tapissé de bourbon et de cerises marasquin masquant le sec du rye. La cannelle et la canne à sucre font leur apparition accompagné de réglisse et il s’arrondit encore agréablement au nez même si il ne réussit pas à éclipser sa provenance de rye canadien. La bouche est généreuse, ample et soyeuse, les fruits règnent et dominent le tout d’une main feutrée et mais fort bien maitrisée. La balance est exceptionnelle sur une finale en duo épices-fruits rouges jumelé d’une pointe orangée. Il aura fallu attendre à la mi-décembre pour trouver mon whisky canadien de l’année. J’en suis encore sur le cul.

Patrick 90%
Au nez, un mélange de rye et de bourbon… Un bon mélange d’épice et un subtil arôme de Caribou sucré qui donne le goût de continuer la dégustation!! Au goût, mon Dieu! On dirait plutôt qu’on vient d’ouvrir un vieux grand cru de Bordeaux d’au moins 1973… Jusqu’à ce que les épices viennent nous rappeler qu’il s’agit d’un rye! Le tout finit dans la vanille nous laissant deviner tout le temps que ce whisky a passé en barrique. Une belle complexité, un excellent équilibre et surtout de l’originalité. Mon whisky canadien de l’année 2010.

Martin 92.5%
Belles grandes jambes langoureuses sur une toile de fond d’ambre généreux. Nez: Explosion de rye mentholé au départ. On poursuit avec un faible mais équilibré caramel, avec chêne, érable et pommes rouges. On fait volte-face ensuite sur un raz-de-marée de seigle. Bouche: Très crémeux au niveau de sa texture. Épices du rye, poivre blanc, pommes et chêne grillé. Vanille et clou de girofle. Tout-à-fait impressionnant. Finale: Relativement longue et bien poivrée de vanille, de bois et de pommes. Équilibre: Une grande réussite de Wiser’s, et un beau « statement » de qualité pour le whisky canadien. On espère que ce n’est pas un accident, car il vient se hisser tout près de la gamme Forty Creek.

RV 87%
La fille du grand boss: un peu trop de bon goût, une approche un peu hautaine, mais sympathique et dont le sourire nous laisse un très bon souvenir. À l’ouverture, indéniablement un rye, mais après avoir passablement respiré, les oranges sortent, suivi d’un nail polish lustré, puis de cannelle. L’arrivée est essentiellement fruitée, puis vient le rye, de plus en plus épicé. Me fait beaucoup penser au Highwest Rendez Vous. La finale est dans le même thème, avec un bel équilibre au niveau des épicés, et l’aftertaste surprend un peu avec des notes de blés d’une durée remarquable, tout un whisky, classy et épicé.

Canadian Club 30 ans

40% alc./vol.
Embouteillage en édition limitée de 15,000 bouteilles lancé en 2008 afin de souligner leur 150eme anniversaire.

André 88.5%
Seigle, framboises, boisé avec rappel sur le toffee, les cerises et le chocolat Cadbury fruits (raisins) et noix, miel. Il est étonnant de constater combien l’arrivée en bouche est sharp, bien relevée par les fruits et aussi asséchée par les céréales. Le bois est plus du style bois fraichement coupé alors que l’on se serait attendu à un bois doux et gorgé de whisky surtout après un séjour de 30 années en barrique. Jus en poudre, brise de citron. Finale soutenue où les fruits continuent leur influence, forte présence de poivre (et de gingembre ?). Un bel embouteillage mais trop cher payé en comparaison de certaines autres expressions trouvables sur le marché.

Patrick 90%
Caramel épicé, fruits mûrs et odeur de « shed à bois ». En bouche, fruits mûrs, bois brûlé, sucre du maïs, cacao, soupçon de cigare… Une belle complexité digne des plus grands whiskys de dégustation. LA finale s’étire longuement, marquée par les fruits mûrs et le cacao, mais aussi par des agrumes, et des fleurs, sans perdre de vue le petit côté boisé. Un excellent produit, mais dont le prix fera qu’on le gardera pour un cadeau à un client à l’étranger (bref, pour impressionner et dont on pourra déduire le coût sur notre rapport d’impôt!).

RV 87.5%
Dans la pièce maîtresse du Club canadien, tout y est superbement mais trop feutré. Belle profondeur immédiatement sentie avec le sucre cristallisé et le caramel du bois brûlé; très bonne démonstration de l’influence incontournable du fût. En bouche, davantage varié avec la tire, une pointe de caramel et une touche de cerise et de sherry, voire même un peu de rye. Une belle réalisation mais je lui préfère encore les autres canadiennes qui savent plus s’affirmer, telles que Wiser’s Legacy et Forty Creek.