Speyburn 10 ans (nouvel embouteillage)

40% alc./vol.

André 79%
Nez à prédominance de cerises, puis d’oranges soutenu par un apport de sucre appréciable à peine atténué par un filet cendreux. Sucre à la crème. Assez simple en bouche où les notes fruitées se poursuivent sans trop de vigueur et d’expression et une finale qui s’estompe sur un effet de corde rêche, le gingembre et un toffee mal cuisiné. Il ne faut pas le laisser trop longtemps dans le verre pour on voir les arômes disparaitre incroyablement rapidement.

RV 77.5%
Surprenant qu’un whisky aussi ordinaire ait pu mérité un distillerie bottling. Ça sent le pas propre ça! La terre du jardin au début du printemps, avec du jus de compost. Plus tard vient le caramel, sur fond d’oignons. Le goût est malheureusement dans la même veine, avec de la vieille tourbe défraichie. Par contre en finale, c’est mieux balancé, alors qu’on retrouve des saveurs végétales et terreuses, un peu générale mais pas si mauvaise. Ou plutôt pas trop mauvaise. Mais globalement, c’est vraiment trop ordinaire.

Patrick 79%
Menthol au nez. Je n’aime pas la menthe dans mon whisky. Au goût, la menthe laisse place aux agrumes puis au caramel en finale. Un malt assez simple, plutôt frais, à servir en apéritif. Pas de fautes, mais rien pour écrire à sa mère. A moins de collectionner les distilleries, j’aimerais qu’on m’écrive pour m’expliquer pourquoi quelqu’un irait acheter ce whisky sans grande personnalité.

Dry Fly Washington Wheat Whiskey

40% alc./vol.
Fait à 100% de blé.

André 80.5%
Compote de fruits et yaourt à la vanille, zeste d’orange. Très léger et approchable, à la limite féminin. Les wheat whiskies ont cette propriété d’être d’une douceur tellement réconfortante, c’est comme un « home sweet home » version whisky. En bouche il présente par contre un peu trop d’ambivalence et malgré ce panier de fruits et de vanille au miel, il ne trouve pas la réponse au moyen de se départir d’un fond de bouche un peu rêche désagréable. Dans l’ensemble, le nez est le meilleur partie de l’expérience qu’on aura à déguster ce whisky… ce whisky un peu trop « bof » !

RV 87%
En bordure du sentier en dehors des sentiers battus. D’emblée : ce whiskey mérite vraiment de respirer, pour découvrir du beau sucré, du beau sirop, de la citrouille et même du gruau. Se présente doucement sur les papilles, avec la cendre bizarre du Bernheim. La finale est toutefois teintée de levure et d’herbes étranges. Un buffet de pain aux herbes pour le moins audacieux et un novateur whiskey de blé de bon goût.

Patrick 81%
Parfum de souffre et de paille. Mouin. En bouche, céréales sucrées typiques du blé. La finale est courte et sucrée. Très léger, facile à boire, facile à oublier.

Martin 79%
Nez: Vanille et baies séchées nous prennent d’assaut. Une fois qu’il a respiré, il s’ouvre sur un ensorcelant air d’orange et de blé grillé. Un chatouillement qui m’évoque un Triscuit égrainé dans du Crown Royal. Bouche: La magie commence. Moyennement visqueux, franchement vanillé par son passage de 18 mois en fûts de chêne neufs. Et au sommet de la cloche, le blé vient briller. C’est tellement doux, c’est beaucoup trop bon. Comme l’aurait dit le Doc Mailloux s’il y avait goûté: “C’est propre, et c’est bon!” Finale: D’une bonne longueur, avec un blé qui ne se cache pas. Équilibre: À part le nez qui n’en dit pas assez long et la finale qui rend moins justice à son goût, ce whisky est surprenant. On croirait même y déceler parfois de la citrouille. Un whisky du temps des récoltes. Un whisky de terrasse à la brunante.

Belgian Owl 24 mois

46% alc./vol.
Fût #427-29-77, embouteillé le 25 février 2010.

André
Ce sont plus les agrumes qui mettent la table pour cette expression de 24 mois. Une larme de citron, de crème de meringue, d’eau de rose et de cannelle. Un joli mélange où chaque élément trouve sa place. La bouche est également plus fidèle au nez; une belle sensation crémeuse s’affirmant par des notes de vanille et de miel. La finale est un dessert bien présenté de poires poêlées, agrémentées de vanille, de miel et de morceaux de bananes.

Wiser’s Legacy

45% alc./vol.

André 94%
Nez fruité à souhait sur fond tapissé de bourbon et de cerises marasquin masquant le sec du rye. La cannelle et la canne à sucre font leur apparition accompagné de réglisse et il s’arrondit encore agréablement au nez même si il ne réussit pas à éclipser sa provenance de rye canadien. La bouche est généreuse, ample et soyeuse, les fruits règnent et dominent le tout d’une main feutrée et mais fort bien maitrisée. La balance est exceptionnelle sur une finale en duo épices-fruits rouges jumelé d’une pointe orangée. Il aura fallu attendre à la mi-décembre pour trouver mon whisky canadien de l’année. J’en suis encore sur le cul.

Patrick 90%
Au nez, un mélange de rye et de bourbon… Un bon mélange d’épice et un subtil arôme de Caribou sucré qui donne le goût de continuer la dégustation!! Au goût, mon Dieu! On dirait plutôt qu’on vient d’ouvrir un vieux grand cru de Bordeaux d’au moins 1973… Jusqu’à ce que les épices viennent nous rappeler qu’il s’agit d’un rye! Le tout finit dans la vanille nous laissant deviner tout le temps que ce whisky a passé en barrique. Une belle complexité, un excellent équilibre et surtout de l’originalité. Mon whisky canadien de l’année 2010.

Martin 92.5%
Belles grandes jambes langoureuses sur une toile de fond d’ambre généreux. Nez: Explosion de rye mentholé au départ. On poursuit avec un faible mais équilibré caramel, avec chêne, érable et pommes rouges. On fait volte-face ensuite sur un raz-de-marée de seigle. Bouche: Très crémeux au niveau de sa texture. Épices du rye, poivre blanc, pommes et chêne grillé. Vanille et clou de girofle. Tout-à-fait impressionnant. Finale: Relativement longue et bien poivrée de vanille, de bois et de pommes. Équilibre: Une grande réussite de Wiser’s, et un beau “statement” de qualité pour le whisky canadien. On espère que ce n’est pas un accident, car il vient se hisser tout près de la gamme Forty Creek.

RV 87%
La fille du grand boss: un peu trop de bon goût, une approche un peu hautaine, mais sympathique et dont le sourire nous laisse un très bon souvenir. À l’ouverture, indéniablement un rye, mais après avoir passablement respiré, les oranges sortent, suivi d’un nail polish lustré, puis de cannelle. L’arrivée est essentiellement fruitée, puis vient le rye, de plus en plus épicé. Me fait beaucoup penser au Highwest Rendez Vous. La finale est dans le même thème, avec un bel équilibre au niveau des épicés, et l’aftertaste surprend un peu avec des notes de blés d’une durée remarquable, tout un whisky, classy et épicé.

Canadian Club 30 ans

40% alc./vol.
Embouteillage en édition limitée de 15,000 bouteilles lancé en 2008 afin de souligner leur 150eme anniversaire.

André 88.5%
Seigle, framboises, boisé avec rappel sur le toffee, les cerises et le chocolat Cadbury fruits (raisins) et noix, miel. Il est étonnant de constater combien l’arrivée en bouche est sharp, bien relevée par les fruits et aussi asséchée par les céréales. Le bois est plus du style bois fraichement coupé alors que l’on se serait attendu à un bois doux et gorgé de whisky surtout après un séjour de 30 années en barrique. Jus en poudre, brise de citron. Finale soutenue où les fruits continuent leur influence, forte présence de poivre (et de gingembre ?). Un bel embouteillage mais trop cher payé en comparaison de certaines autres expressions trouvables sur le marché.

Patrick 90%
Caramel épicé, fruits mûrs et odeur de « shed à bois ». En bouche, fruits mûrs, bois brûlé, sucre du maïs, cacao, soupçon de cigare… Une belle complexité digne des plus grands whiskys de dégustation. LA finale s’étire longuement, marquée par les fruits mûrs et le cacao, mais aussi par des agrumes, et des fleurs, sans perdre de vue le petit côté boisé. Un excellent produit, mais dont le prix fera qu’on le gardera pour un cadeau à un client à l’étranger (bref, pour impressionner et dont on pourra déduire le coût sur notre rapport d’impôt!).

RV 87.5%
Dans la pièce maîtresse du Club canadien, tout y est superbement mais trop feutré. Belle profondeur immédiatement sentie avec le sucre cristallisé et le caramel du bois brûlé; très bonne démonstration de l’influence incontournable du fût. En bouche, davantage varié avec la tire, une pointe de caramel et une touche de cerise et de sherry, voire même un peu de rye. Une belle réalisation mais je lui préfère encore les autres canadiennes qui savent plus s’affirmer, telles que Wiser’s Legacy et Forty Creek.

Chivas Regal 12 ans

40% alc./vol.
Ce célèbre Scotch Whisky comprend dans son assemblage des single malts en provenance de plusieurs distilleries, notamment Strathisla, Longmorn, Glen Keith, Benriach, Braeval etc… Parmi les multiples whiskies qui composent Chivas Regal 12 ans, figure Strathisla, un joyau du Speyside issu de la plus vieille distillerie encore en activité.

André 77%
Un des premiers scotchs que j’ai goûté. Offre un nez évoluant sur les fruits de la passion, la gomme balloune Bazooka rose et le melon d’eau. Très fruité et doux; approchable. En bouche, eee…c’est…plat ?!? Une mini vague de pêches et d’oranges peut-être et c’est tout. Je me suis demandé le pourquoi de la notoriété allouée à ce produit et j’ai lu la critique de Murray (car je m’engageais vers une critique destructrice mais que j’avais un doute si minime soit-il) et je dois dire que j’aborde entièrement dans son sens (ce n’est pas toujours le cas). Bien correct pour agrémenter une soirée, mais pas celle que tu ramènes à la maison pour bai**r ou pour marier.

RV 80%
Un beau standard d’étalonnage, la mesure sur laquelle je juge les autres blends mais ne fracasse rien. Petit fruité d’oranges sucrées, mais toutefois assez mélangé, avec la menthe du Strathisla. L’orange se poursuit sous le palais, cette fois-ci fumée, avec un peu de noix, avec une longueur adéquate pour l’aftertaste malgré un goût qui n’est pas des plus palpitant.

Patrick 82%
Léger et légèrement fumé… En bouche, huileux, fumé, phénol, assez riche. Pomme au caramel. Finale peu intense, mais relativement longue.

Martin 71%
On dit que le Chivas aurait été le whisky préféré de Frank Sinatra et de Tom Waits. Ont-ils du goût? C’est le moment de s’en assurer. Nez: La couleur d’un ambre léger le rend très alléchant. Au nez il est boisé, vanillé. Ça m’évoque la pomme de tire d’Expo Québec derrière un voile d’épices. Il finit par s’ouvrir sur une touche de décapant à saveur de mûres. Chaotique mais étrangement tentant. Bouche: Tout de suite lorsqu’il me tombe sur la langue il me remémore avec violence ces paroles de Lyne la pas fine: “C’est pas que c’est pas bon… C’est juste dénué de saveur. J’vais me faire un sandwich à la place”. Je le tourne et le retourne en bouche quelques secondes pour enfin trouver quelque chose. Petits fruits, chêne sucré et savonneux, rien de grandiose. Tombe un peu à plat, surtout comparé au nez. Finale: Menthe sucrée, chêne grillé. Excessivement succincte et je ne m’en plains pas. Équilibre: Chute vertigineuse. Le nez m’a fait oublier tout préjugé que j’aurais pu avoir, mais la dure réalité m’a giflé lors de l’arrivée en bouche. En plus avec sa brève finale, je comprends pourquoi ils en ont jeté 6000 gallons dans les égoûts la semaine dernière. Une chance qu’ils produisent d’autres expressions plus agées qui sont saluées par la critique, tout n’est pas perdu. Mais aujourd’hui pour 20$ de moins je recommande à la place un blend canadien de qualité supérieure au service de Sa Majesté, Crown Royal bien entendu.

The Hive 12 ans

40% alc./vol.

RV 85%
Camp de pêche avec une gaufre fraise et menthe et l’ours qui arrive avec la patte encore toute mieilleuse. Le nez est par contre plus vert que sucré, quelques épices et des feuilles douces qui tombe sur le sable. Arrivée mieilleuse en bouche (enfin le hive) toujours soutenue par les épices (safran et cannelle). Finale plus équilibrée mais une fois de plus les épices s’affirment sans crier, dans une longueur conséquente pour un 12 ans. Très beau vatted d’introduction, franc et simple, et pour les connaisseurs, le genre dont on aimerait en connaître la composition.

Patrick 82%
Parfum de fleurs, d’épices et présentant une très subtile herbe. En bouche toutefois, les saveurs susmentionnées semblent se présenter en “tapon” et être mariés par une saveur et une texture de poussière. On détecte aussi une petite note rappelant un gin vers la finale, qui est d’ue longueur moyenne. Bof.

Macallan 20 ans Masters of Photography édition Andrew Watson

43% alc./vol.
Bouteille #446 de 1000.

André 92.5%
Nez très riche, le sherry est goulu et rond, noble, d’une belle richesse. Beaucoup d’amandes et du sucre brun caramélisé, un peu d’épice et passablement de fruits. La bouche est relevée, un peu sèche, rehaussant l’impression du taux d’alcool. Céréales Sugar Crisp et oranges, céréales Puff ! Le sherry épicé est plus consistant en bouche mais l’ensemble est soyeux et d’un équilibre certain et affirmé. Léger cireux encore une fois en finale et une symphonie sur les différentes tonalités de sherry qui s’étirent longuement en toute finale. Balance, complexité, savoir-faire. Du Macallan comme je l’aime.

RV 86%
De haut en bas. D’une sage finesse de l’usuel bois caramélisé léger de Macallan, le raisin est volubile, beaucoup plus que le reste de ses frères et soeurs de distillerie. En bouche, le caramel est particulier mais le bois semble trop fort… confirmé en finale òù le liquide démontre que le baril était possiblement un peu trop profondément brûlé. Et la déception finale (ou initiale?) pour ce whisky se trouve au niveau de son prix autoprohibitif, car ce n’est pas une douzaine de jolis clichés (contenant dans le packaging de ce dernier) qui vont me faire avaler les 1000$ pour un whisky avec la moitié de l’âge de ses confrères de portefeuille.

Patrick 93%
Riche xérès et profond chêne noirci. En bouche, un xérès suave, une vanille profonde, une petite cerise, toujours le chêne. La finale est d’une longueur moyenne et d’une richesse sublime. Quel ensemble! Quelles saveurs! Wow. Ok. Vraiment un whisky dans une classe à part.

Martin 90%
Nez: Cognac et raisin. Chêne chêne chêne, le tannin du fût est ultra-présent. Bouche: Énormément ample et chaleureux. Boisé et vanillé. Délicieux mais pas fait pour tout le monde. Finale: Plaisant, long et épicé à souhait. Équilibre: Excellent whisky, mais qui a une somme pareille à consacrer à une bouteille? J’y donne tout de même un 9 sur 10, mais est-ce une note influencée par le prix de la bouteille?

Macallan 1824 Ruby

43% alc./vol.

André 87.5%
Gâteau de Noël avec garniture de chocolat, du caramel et des oranges, un nez bien garni, rond et amical. Arrivée en bouche sur des notes de cire d’abeille puis de chocolat noir amer, de caramel chauffé et de vieux fût de bois gorgé de whisky. Je n’apprécie pas particulièrement la rétro-olfaction bien amère que les épices n’arrivent même pas à cacher complètement. Mais plus j’étire le temps à le décortiquer, plus je l’apprécie.

RV 88%
Est-ce que l’aristocratique Macallan aurait été inspirée des leçons du pompeux Docteur? Très fruité dès le nez, il semble y avoir une lointaine pointe de souffre, facilement oubliable lorsque le moelleux liquide chaud se présente sur les papilles en picotant. Avec de l’orange et de la marmelade, on parle enfin d’un très bon whisky. La finale est longue, sucré de sa marmelade, entre le raisin et l’orange, avec des tendances de Glenmorangie (mais les bonnes tendances) sauf au niveau du prix. Un très bon un whisky, mais entre très bon et excellent le fossé dépassant les 300$ est malheureusement trop large.

Patrick 85%
Parfum de xérès et de chêne brûlé. En bouche, vanille et chêne brûlé baignant dans le xérès et le raisin. Un peu “râpeux” comme texture. La finale est d’une longueur moyenne et plutôt douce. Un bon whisky, sans plus.

Martin 86%
Nez: Raisin sucré rappelant le Aberlour 12. Caramel et gingembre. Chêne et xérès. Épices et chocolat. On croirait que ce scotch est en constante mutation à même le verre. Bouche: Raisins blancs. Un peu huileux en bouche. Fruité et floral. Par moments fait diverger mon esprit vers certains whiskies irlandais. Finale: Peu complexe mais agréable. Déscend tout en douceur. Équilibre: Malheureusement une moins belle surprise que le Sienna. Pour 350$, je ne croirais pas que le Ruby en vaille la peine. Au risque de me répéter, le Sienna vaut par contre amplement son 175 douilles.

Macallan 1824 Sienna

43% alc./vol.

André 83.5%
Le crescendo de fruits se poursuit… plus fruité encore que le Amber; confiture de fruits et purée de raisins. Le côté pâte de fruit est plus prononcé. En bouche, on ressent aussi assez bien la différence du taux d’alcool majoré de 3%. Le fût de sherry en bien en avant-plan. Je commence à retrouver ce qui faisait que Macallan me plaisait, ces arômes et saveurs de fût de sherry très concentrés, leur ligne directrice. Je dirais par contre que ces embouteillages sont malheureusement très différents de la version précédente. Le style de sherry démontre moins de candeur, moins d’austérité aussi. Plus je découvre la nouvelle gamme, plus je trouve frappante la ressemblance avec certaines éditions de Glenfarclas. Mais si j’ai un Glenfarclas 15 ans à environ 90$, pourquoi je paierais un Sienna 180$ ?

RV 81.5%
Comme l’âge, le prix n’est pas toujours synonyme de qualité. Dès le nez de plastique étrange, on dirait que ce whisky souffre d’un baril de finition qui exacerbe la balance. Toutefois, il y a un beau raisin, mais la pièce maitresse est toujours le baril, jusqu’à la finale où le plastique est de retour en version plus boisé et vanillé. Enfin, à plus de 150$ pour un whisky sans mention d’âge, difficile d’acheter l’expérience, spécialement lorsque la finale est plus ou moins longue.

Patrick 90%
Lourd xérès avec des touches d’abricots. En bouche ,une incroyable impression de chaleur. J’ai rarement vu un xérès aussi puissant dans un whisky. Petite touche de caramel aussi. Belle finale longue et fruitée. J’a-d-o-r-e!

Martin 91%
Nez: Agrumes, fruits secs, épices. On sent le chêne européen. Celui qui le laisse s’ouvrir se voit récompensé par des notes de miel et de noix. Bouche: Épices, fruits, mini fumée. Une belle ampleur qui remplit la bouche. Chaud et moelleux. Moelleux. Qui veut un whisky moelleux? Whisky moelleux pour tout le monde! Finale: Assez longue, chaude et réconfortante. Très agréable. Sa longueur est la seule chose qui vient nous empêcher de déscendre la bouteille en une soirée entre potes… Équilibre: Plein d’émotion, chaleureux, automnal, soirée de septembre ou d’octobre sur la terrasse avec chandail de laine, Mon chalet au Canada… Qui a besoin d’eau quand on a du Macallan Sienna? Vraiment difficile de mettre plus de mots là-dessus. Vraiment mon coup de coeur de la 1824 series…