61.3% alc./vol.
Distillé en 2013 et fabriqué à partir d’orge provenant d’un seul champ, sur une seule année (2012), à la ferme Octomore, à moins d’un mille de Bruichladdich, et entièrement mûrie sur Islay, embouteillée sur l’île. Vieilli en fûts ex-bourbon provenant des distilleries Beam, Heaven Hill, Buffalo Trace et Jack Daniel’s pendant six ans dans le warehouse 16 de la distillerie. Taux de phénols de 114 ppm, édition limitée de 24000 bouteilles.
André 90%
Très maritime et médicinal, le bois de chêne est bien affirmé, arômes de citron et d’agrumes, lime. Un peu fermé comme palette d’odeurs mais une présentation juste et efficace. À l’aération, les notes de tourbe industrielle prennent place. En bouche, la texture est hallucinante malgré l’alcool musclé, des notes verdâtres apparaissent peu à peu. Citron, ananas, lime, fruits tropicaux, bananes vertes, la tourbe est médicinale, sale et maritime. Finale longue et alcoolisée, sur le citron et la lime et la tourbe puissante.
Patrick 84%
Un peu décevant pour un Octomore… J’aime bien l’idée du terroir et de l’orge d’Islay, mais bon, ici, on aurait mieux fait de prendre de l’orge canadien! Nez: Mélange de fumée de tourbe poivrée et… De sueur? Ça me donne l’impression d’être dans le vestiaire de la distillerie après une journée de travail éreintante! Bouche : De la fumée de tourbe huileuse et poivrée et de la cendre encore chaude. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par la cendre et un côté malpropre.
Martin 90%
Nez: Sucre d’orge à l’hôpital, agrumes et leur zeste, vanille et bois. Manque un peu de personnalité ou de diversité dans sa palette, du moins pour une ligne de la réputation d’Octomore. Fleur de sel. Bouche: Tourbe camphrée, épices du tonnerre, agrumes, chocolat blanc et cassonade. Quelques pousses vertes, texture bien à point. Finale: Ici la tourbe devient huileuse, presque comme dans un moteur. Menthe, fruits, chêne et poivre. Longueur et chaleur enveloppantes. Équilibre: Un bien beau produit. Encore une réussite, en quantité limitée malheureusement.