Warmbrechies Single Malt Whisky

40% alc./vol.
Distillerie Wambrechies, France.

André 78%
Sous-vêtements pas lavés. Pommes pourrîtes. Le nez se stabilise après une dizaine de minutes mais ne s’améliore pas vraiment., je dirais plutôt qu’il « désempire » ! La rétro-olfaction est sucrée et vanille mais c’est à peu près tout ce qu’il a à nous offrir. Un « passez GO et ne réclamez pas 200$ ».

RV 76%
Malt. C’est tout. Plus intense en bouche qu’au nez, mais toujours aussi banal. La finale, son meilleur point, donne des tons de grains à peine fumée, sans longueur réellement intéressante. Anodin, sinon inutile.

Patrick 80%
Nez de malt, goût absent, finale un peu tourbée et fumée. Le whisky que j’apporterais en cachette dans mon flasque à un match de football : il n’est pas mauvais, mais le même si je n’y goûte pas, je n’ai pas l’impression de manquer quoi que ce soit.

Wasmund’s Rye Spirit

62% alc./vol.
Distillé le 24 août 2009, moins de 30 jours d’âge. 1/3 d’orge maltée et 2/3 de seigle.

André 79.5%
Plus baveux au nez que l’édition single malt spirit. Le rye est bien présent et s’amuse à piquer les lèvres aidé par le pourcentage d’alcool. Il s’attache sur le bout de la langue mais disparait étonnamment en bouche. Fruits secs et céréales Raisin Brand. Les céréales sèches qui présentes au nez se sont effacées en bouche. L’alcool semble part contre s’affirmer avec plus de fermeté que dans le « single malt spirit » de la même collection.

RV 89%
Connaissez le rye. Nez discret mais bien pointé, avec un aspect fancy intéressant. Sur les papilles, wow, le grain de seigle est super bien mélangé à l’orge, de manière à ce que l’alcool ne se sent pas du tout. L’aftertaste est à la même saveur alors qu’on peut y gouter tous les détails du grain, ainsi qu’une légère cerise que l’on peut aussi sentir lorsque le liquide a suffisamment respiré.

Patrick 80%
Nez avec une légère épice, et un fruit encore plus léger, mais tout de même bien équilibré. En bouche, l’alcool en première approche, puis les épices, puis un fruité-fraises-framboises assez agréable. La finale est marquée par les fruits. L’ensemble est marqué par un alcool très fort, mais les saveurs demeurent bien assemblées. Définitivement, cette distillerie ne sait simplement pas comment faire vieillir son whisky!

Wasmund’s Single Malt Whisky

48% alc./vol.
Batch #31.

André 78%
Radis rouges. Herbeux et quelque chose de difficilement descriptible en bouche. Pas plus agréable qu’il faut. Ça cloche du début à la fin pour cette batch. Quelle débarque après la surprise de la Batch 6 qui m’avait tant impressionné. WFT Rick !!!?

RV 84%
Encore un Wasmund’s difficile à apprivoiser, mais comme une belle petite sportive en sueur, il ne faut pas se fier et laisser altérer son jugement qu’à cette première impression olfactivement à défaut de manquer toute une bouche. Fumée de cigare un soupçon cartonné accompagné d’un brin de rhubarbe. Beaucoup de rhubarbe en bouche, puis un éclair indescriptible (même après la 3e gorgée) où la foudre touche terre. La finale est de très bonne longueur, portant sur un caramel terreux apaisant. Notablement meilleur que les plus vieilles batches, avec une inclassabilité qui lui vaut des points.

Patrick 3%
AVERTISSEMENT DE RISQUE POUR LA SANTÉ – Santé Canada avise les consommateurs de ne pas prendre de ce whisky. Ce whisky ne doit pas être consommé en raison de risques de problèmes de foie, de troubles hépatiques, de troubles rénaux, de maladie des gencives et de perte de dents qu’il peut engendrer. De plus, les gens en ayant consommé régulièrement ont été atteints de troubles mentaux sévères ayant nécessité une hospitalisation prolongée. Les consommateurs de ce produit devraient consulter leur médecin s’ils présentent des symptômes tels que nausées, vomissements, crampes abdominales, fièvre, fatigue et ictère (urine foncée, jaunissement du blanc des yeux).

Wasmund’s Single Malt Whisky

48% alc./vol.
Batch #6, 4 mois d’âge.

André 88%
Céréales mouillant dans le fond d’une brouette dont la peinture est écaillé donnant un léger goût de métal rouillé et ferreux. Sucré; bonbons aux arômes artificiels. L’arrivée en bouche est unique; claire et au goût des pastilles Fisherman’s friend et de Listerine. La finale quant à elle est une belle vague d’agrumes.

RV 81%
« Ne laisse personne indifférent » et « love it or hate it » sont des expressions trop souvent utilisés dans les critiques, mais cette fois-ci il faut bien l’avouer. Tabac très frais vraiment fort, quenouilles brûlées, presque (ou bien pour certain totalement) repoussant. Enlever le presque. Faut sérieusement compétition au Balblair 89 pour les pire nez de l’univers des whiskies, malgré qu’il soit à l’autre bout du dépotoir, plus prêt des matières toxiques que de l’égout. En bouche ça commence bien alors qu’il navigue sur de grosses vagues indescriptibles en arrivée, et la finale d’agrumes est très particulière et inattendue, avec un retour sur le cigare mais auquel tout ce qu’il y avait de désagréable se serait transformé en poussière. Des points en plus pour la particularité, or beaucoup en moins pour le nez (à 81%, imaginez la note s’ils pouvaient le corriger). Il ne faut pas toujours se fier à la première impression et ce n’est pas le genre de verre qu’on peut servir à l’aveugle ou à la bonne franquette quand on ne sait pas quoi ce servir.

Patrick 0%
(Surnommé affectueusement Wasmarde par Patrick) … Nez toxique qui rappelle l’odeur émanant des égouts sortant d’une usine illégale de produits chimiques. Le mot infect est faible. Imaginez un étang ultra acide au point que tout ce qui y plonge se met à faire des bouillons pour être rapidement décomposé. Selon le SIMDUT, on devrait apposer sur la bouteille un logo avec une tête de mort dans un octogone. Je n’ose pas y goûter. Cachez la bouteille pour ne pas que les enfants puissent s’en approcher. Cette bouteille provient probablement d’un entrepôt de matériel de torture de Guantanamo. En temps de guerre, la convention de Genève la prohiberait. Les fabricants devraient être poursuivis pour crimes contre l’humanité. Les stocks ne devraient pas être détruits car ils risqueraient d’endommager l’ensemble de la biosphère. Nous devrions plutôt les entreposer avec les déchets radioactifs au fond d’une mine abandonnée. Santorum? Compte tenu que je n’ai pas le droit de donner une note négative, je lui accorde généreusement zéro.

Wasmund’s Single Malt Spirit

62% alc./vol.
Distillé le 22 juillet 2009, moins de 30 jours d’âge. 100% d’orge maltée à la main.

André 82%
Maïs au beurre chauffé, pommes vertes. Soyeux en bouche. Au départ, le maïs se présente mais sur fond par la suite sur le mélange de grains variés. L’alcool mène le tout jusqu’en finale où le 62% d’alcool semble s’apprivoiser sournoisement.

RV 81%
D’avantage une expérience qu’autre chose, mais assez bien pour réchauffer. Violente au nez, avec de l’orge on-ne-peut-plus-standard. En bouche on dirait que ça va s’évaporer comme s’il s’agissait d’un alcool à 75% mais le liquide reste bien là avec l’orge un tantinet terreux, sans grand aftertaste sauf le grain à la base de l’expérience.

Patrick 78%
Vapeurs assez sucrées, avec soupçon de céréales. En bouche, on découvre les avantages du vieillissement en fût : Ca goûte l’alcool, et pas grand-chose d’autre! Bon, quelques épices, un peu de céréales qui semble avoir trop trempé dans l’eau. La finale est plutôt courte, mais l’ensemble manque plutôt de finesse…

Waterford Organic Gaia Edition 1.1

50% alc./vol.
Barrel types: first fill ex-bourbon casks, virgin oak casks, premium ex french oak casks, vin doux naturel casks.

André 76%
Une tonne de vanille, tarte au citron avec crème fouettée, grains de céréales au miel. Ça sent le tonneau de bois à plein nez et l’alcool encore jeune. Je ne suis pas fan du tout. La bouche est monopolisée par l’alcool, les essences de bois sont fortes et déstabilisent l’ensemble. Encore les notes de zeste de citron et d’oranges, vanille, abricots, poires et beaucoup d’épices (gingembre, poivre), essence de bois verdâtre. Courte finale, acérée et épicée.

Patrick 89%
Un délicieux whiskey irlandais, le genre de whisky sans artifice qui tombe pile dans ma palette de goût. Complexe et raffiné, il s’agit d’un whisky qui n’est pas fait pour les masses, mais pour une poignée d’élus qui sauront l’apprécier à sa juste valeur. Nez : Un délicieux parfum regorgeant d’agrumes, mais avec aussi quelques algues, une goutte de caramel salé, du peppermint et les arômes d’un champ de céréales après la pluie. Bouche : D’abord une planche de chêne séché, puis une pointe de poivre rapidement emportée par une vague de caramel écossais. Le tout est complété par des cerises, du malt et des épices à steak Et porté par une délicieuse texture huileuse. Finale: D’une belle longueur, plutôt maltée et discrètement sucrée.

Martin 79%
Nez: Céréales jeunes, crème pâtissière, pâte feuilletée, fruits tropicaux et sucre en poudre. Touche de vanille et d’herbe. Chêne et alcool. Jeune mais tout de même appétissant. Bouche: Sucre en poudre, foin, bois, alcool, poivre et fruits tropicaux. Les tannins du bois sont ultra-présents. Trop jeune et agressif, le nez a essayé de nous prévenir, mais bon. Finale: Chaude et épicée, poivre, bois, quelques fruits à chair blanche, sucre blanc, touche de vanille. Herbe et jeunesse du spiritueux. Équilibre: Quand même un effort louable, mais ces produits doivent vraiment prendre un peu de maturité pour nous surprendre.

Waterford Peated Ballybannon 1.1

50% alc./vol.
Produit à partir d’orge Laureat cultivée à Ballybannon Farm en 2017, le malt a été tourbé à 47 ppm et a fermenté pendant 167 heures avec de la levure Mauri. Le whisky a été élevé dans des fûts de premier remplissage d’ex-Bourbon, Virgin American, ex-French Wine et Vin Doux Naturel. La batch est composée de 39% First Fill American Barrels, 21% Virgin American oak Barrels, 21% Premium French Barrels et 19% Vin Doux Naturel Casks.

André 85%
Demandant du temps afin de s’ouvrir et s’équilibrer. Nez s’ouvrant sur les cosses d’oranges et le zeste de citron, puis tourbe végétale très singulière. Le malt demeure bien en évidence comme note de tête au nez. En bouche, le whisky affiche une texture appréciable malgré de bonnes épices. Compote de banane, zeste de citron, abricots, pommes vertes, miel, vanille, fumée de tourbe terreuse et poivrée. L’équilibre général est vraiment agréable. Finale tropicale et citronnée, remplie de fumée terreuse aux accents maritimes. C’est plutôt rectiligne comme présentation mais ça a le mérite d’être bien conçu. Pas mal mon Waterford préféré de la gamme.

Patrick 89%
Un très bon whiskey présentant une belle fraîcheur, une grande complexité et une belle balance. Nez: Un mélange étonnant de fumée de tourbe et d’herbes faisant presque penser à un gin avec une bonne dose de chêne. Bouche : La fumée de tourbe est ici plus intense, mais toujours accompagnée d’herbes et d’épices me rappelant un gin, et plein de chêne cramé. Et, après quelques gorgées, j’y retrouve aussi de discrètes agrumes et des fruits tropicaux encore plus discrets. Finale : D’une belle longueur, fraîche et fumée.

Waterford Peated Fenniscourt 1.1 Single Malt

50% alc./vol.

André 78%
Je comprends le concept derrière l’idée mais le rendu final ne me plait pas vraiment. Parfait pour expliquer qu’est-ce qu’une céréale séchée ou parfumée au feu de tourbe mais passé ça, il en reste quoi? Au nez, forte présence de phénol un peu crasseux et terreux, de céréales séchées et de citron, de gingembre, touche d’agrume également. On fait le tour rapidement. L’ensemble est très rectiligne et peu challengeant. La bouche est maltée et fumée, linéaire, à la fois herbeuse et poivrée, fraiche aussi sur les agrumes citronnés. Finale terreuse, tourbée et céréalée.

Patrick 85%
Un très bon whiskey tourbé, ça va m’en prendre une bouteille! Je suis heureux de voir Waterford entrer dans la game des whiskeys tourbés! Nez: De la belle fumée de tourbe fraîche et huileuse, avec des épices du bois et un je-ne-sais-quoi me rappelant le côté sauvage des rhums agricoles. Bouche: Toujours la fumée de tourbe fraîche et sauvage, du bois épicé et une touche sucrée. Finale: D’une longueur moyenne, fumée et fraîche.

Martin 79%
Nez: Pneu chauffé, tourbe, fruits sucrés, herbe fraîchement coupée gorgée d’essence pour moteur à deux temps. Bouche: Orge, vin chaud, épices, fruits tropicaux. Fumée, caoutchouc, Lawn Boy. Finale: Un peu de bois, un peu plus d’épices, le tout étouffé par trop de tourbe mal adaptée au reste de l’expérience. Équilibre: Peut-être que cette obsession de Waterford avec le terroir devrait être revue? J’ai peine à trouver un embouteillage qui me plait.

Waterford Single Farm Origin Ballykilcavan Edition 1.1

50% alc./vol.
Distilled 2016, Bottled 2020. 3 ans, 11 mois, 18 jours, temps de fermentation de 150,5 heures. L’orge semé le 19/03/2015, récoltée 17/08/2015, arrivée à la distillerie le 26/01/2016… et beaucoup plus d’informations peuvent être trouvées via le code sur la bouteille via la page d’accueil de la distillerie. Très geek comme approche!

Le terroir selon Waterford. L’orge, à l’origine des arômes complexes des Single Malts, est influencée par le sol sur lequel elle pousse. Par la terre qui nourrit ses racines, par le microclimat grâce auquel elle se développe, par son terroir. Cette vérité, longtemps sous-estimée, est au cœur du projet Waterford, initié dans la ville irlandaise éponyme, par le célèbre Mark Reynier qui a travaillé avec Jim McEwan a la renaissance de Bruichladdich. Inspirée par les plus grands vignerons du Monde, Waterford transpose sans rel âche au Single Malt la même démarche intellectuelle, la même méthodogie et la même rigueur. Favorisés par l’exceptionnelle richesse du terroir Irlandais mais aussi grâce à un outil industriel de haute technologie, les Single Malts Waterford repoussent les frontières de l’authenticité et de la traçabilité, chaque édition limitée est un Single Farm. L’expression de la complexité d’un seul terroir, d’une seule ferme, d’une seule récolte… Un lieu, une ferme, à la fois !

Waterford est un manifeste radical, un défi intellectuel porté à l’univers des whiskies, une philosophie qui rejette le statu quo. Utilisant de l’orge 100% irlandaise, reconnue comme la plus qualitative au monde, la nouvelle gamme Single Farm Origin est une série d’éditions limitées de whiskies naturels à la provenance ultra pointue qui révèlent le terroir irlandais ferme par ferme, lieu par lieu. Ils sont l’expression de la précision et de la rareté, dévoilant les arômes et saveurs de l’orge issue de fermes irlandaises de petite taille et variant à chaque récolte.

Cette première édition de Ballykilcavan a été distillée à partir de l’orge cultivée par David Walsh-Kemmis dans le comté de Laois, à côté d’une ancienne région boisée, sur un des meilleurs terroirs pour la croissance de l’orge destinée au maltage.

André 81%
Première images au nez, les éditions Bruichladdich Islay Barley. À la fois végétal et agricole. Raisins verts, bananes séchées, poires, caramel, l’orge maltée et l’ananas. La bouche est musclée mais crémeuse à la fois, un peu sur le bois sec, sur les bananes et la purée de poires, caramel et vanille, une touche citronnée, la banane verte aussi. Une fois ingéré, notes de pommes rouges et vertes saupoudrées de poivre concassé. Finale d’herbe épicée, de miel et de malt séché. Le concept est intéressant mais mérite, je crois, une dégustation comparative side-by-side avec les autres expressions de la série.

Patrick 89%
Un très bon whiskey tout en subtilité. Wow, l’avenir du whiskey irlandais me semble bien radieux! Nez : Un beau parfum de malt délicatement sucré, des fruits tropicaux et delà vanille. Bouche : On a versé quelques gouttes de lait au chocolat sur les céréales, qui sont servies dans un bol de chêne. Le petit déjeuner est complété avec des pommes vertes, des bananes bien mûres et un trait de caramel et de vanille. Finale : D’une longueur moyenne, boisée et subtilement sucrée.

Martin 84.5%
Nez: Poires et raisins blancs. Eau de rose et miel dilué. Touche de caramel, voile de mélasse du new make. Le jeune whisky n’est jamais loin dans ces premiers embouteillages de la distillerie. Bouche: Céréales, bois vert, herbe séchée, agrumes, vanille, poire croquante et rosée du matin. Sucre d’orge et poivre viennent compléter ce tableau. Finale: Chaude, épicée, poivrée et astringente. Bois, herbe, fruits rouges, caramel et vanille. Herbe encore, pousses vertes. Équilibre: Bien que ce malt apparaisse très jeune, surtout au nez, les saveurs en bouche le démontrent moins. Plus la dégustation avance, plus on voit une certaine expérience derrière ce malt. J’aime bien.

Waterford Single Farm Origin Ballymorgan Edition 1.2

50% alc./vol.
Fruit d’une combinaison de US First fill casks, US new oak casks, French Oak caks et fût de vin doux naturel.

André 84%
Nez très rond, presque sirupeux. Confiture de poires et agrumes, cannelle fraiche et fruits sauvages. Les céréales meublent la bouche et s’allient aux arômes du nez fruité. La cannelle est plus intense et poivrée aussi, mélange d’agrumes et de citron, oranges et fruits rouges. L’alcool est bien ressenti en finale de bouche. Finale de céréales trempées dans le caramel, accent terreux, grosse cannelle, poivre et le bois de chêne séché.

Patrick 79%
Ça aurait pu être très bon, mais on dirait qu’un je-ne-sais-quoi de passé date s’est glissé dans la recette. Nez : Toujours les notes de malt typiques de Waterford, mais avec ici des herbes séchées, des pommes rouges, une touche de fenouil et… un petit quelque chose qui a dépassé sa date d’expiration. Bouche: Des céréales un peu moisies, des pommes rouges, du fudge… Et de l’anis et du poivre. Finale: Un peu courte, avec un mélange d’épices à steak et de chêne.

Martin 82%
Nez: Céréales et crème. Pommes vertes et petits fruits tropicaux croquants. Cannelle et purée de fruits à chair blanche. Pincée de poivre blanc. Bouche: Verte et fraîche, avec les épices qui s’en mêlent assez tôt dans la démarche. Bois sec, fruits tropicaux, agrumes, particulièrement l’orange. Finale: Une fois les épices adoucies, on lève le rideau sur des notes de chêne, de crème, de terre, de malt et de caramel. Les fruits sont laissés pour compte. Équilibre: Assez agressif dans l’ensemble. Bien que nombre de whiskys s’en tirent plutôt bien à un jeune âge, il ne faut jamais sous-estimer la valeur ajoutée de laisser le spiritueux vieillir plus. Je suis patient.