Woodford Reserve Sonoma-Cutrer Finish

45.2% alc./vol.

André 93.5%
Je suis sur le cul. Douceur extrême et l’intégration pleinement réussie du wine cask. Céréales de gruau aromatisées au vin rouge, les fruits sauvages divers, encore ce clou de girofle et la cannelle, de belles notes de caramel épicé. À certains égards, je lui trouve de belles similitudes avec le dernier né de 40 Creek. En bouche, texture hallucinante, les raisins rouges écrasés, les cerises, le caramel et les épices. Chaque gorgée est une autre bouffée de plaisir, c’est bien construit, la séquences des saveurs et arômes est agréable, l’ensemble est différent, unique. Finale à la fois poivrée et épicée, fruitée à souhait, avec une texture un peu sèche portée sur le bois. Certains puristes crieront à la profanation du bourbon, car j’avoue que l’on a dénaturé une peu la ligne habituelle, mais personnellement j’adore lorsque l’on fait preuve d’initiative afin de présenter du connu d’une façon si inhabituelle et de plus lorsque c’est bien conçu… Voilà, une note pleinement méritée!

Patrick 87%
Bourbon au nez, mais tellement que ça en bouche! On y retrouve tout du bourbon, mais aussi la douceur et la chaleur du vin : Chêne, cerises, raisin, une pointe de gruau. La finale apporte toutefois une sensation rappelant une bouteille de vin ouverte depuis trop longtemps. Presque parfait, vaut le coup d’essai!

Martin 86%
Nez: Le classique nez du bourbon bonifié d’une douceur et d’une tranquillité que peu de whiskys américains peuvent s’enorgueillir de posséder. Cerises noires et raisins secs, maïs sucré, vanille, quelques autres céréales, vin rouge. Le tout bardé par les lattes de ce beau tonneau de chêne. Bouche: Bien que la texture soit un peu aqueuse, un torrent de saveurs est au rendez-vous. Chêne épicé, poivre rose, cerises, maïs acéré, raisins, vanille et caramel. Finale: La planche de bois est bien gorgée de toutes les saveurs exprimées ci-haut et prends le temps de doucement nous déposer au sol. Équilibre: Une belle expérimentation qui ne dénature pas trop l’essence du bourbon en général. Il s’agit de regarder ce qui se fait sur le marché écossais avec les finitions spéciales pour voir que bien des spiritueux dits traditionnels pourraient bénéficier de ce traitement.

Woodford Reserve Straight Rye – Batch 25

45.2% alc./vol.
Élaboré à partir de 53 % de seigle, 14 % d’orge maltée et de 33 % de maïs. Bouteille #41564.

André 86.5%
Signature typique du style; céréales définies, petits fruits rouges sauvages, cerises noires, crayon de cire Crayola, sucre brun, pommes rouges, vanille et miel. Nez très doux malgré le pointu du rye. Le bouche confirme le style encore plus, avec sa texture cireuse et ses épices frivoles, les fruits rouges, le poivre, le cuir élimé, un soupçon terreux et peut-être végétal aussi (bois de chêne coupé), associé d’une généreuse dose d’épices (la cannelle, clou de girofle et le gingembre), les bonbons en forme de poissons de couleur rouge, livrés sur une couverture de toffee et de caramel. Belle texture cireuse transpercée de poivre et d’épices. La finale est soutenue, poivrée et bien épicée avec une recrudescence d’alcool en toute finale. Très bien, simple et bien conçu.

Woodford Reserve Straight Wheat Whiskey – Batch 003

45.2% alc./vol.
Bottle 2921. Woodford Reserve Wheat vient rejoindre la gamme Distiller’s Select. Inspirée de recettes traditionnelles, cette nouvelle expression est un Wheat whiskey caractérisé par la présence dominante de la céréale principale, à savoir le blé. La recette créée par Chris Morris intègre quatre céréales sélectionnées dans des proportions bien précises : 52% de blé, 20% d’orge maltée, 20% de maïs et 8% de seigle.

André 81%
J’adore le nez qui évoque le bourbon amadoué. Grosses notes de fruits rouges, pelures de pommes, caramel, oranges trempées dans le chocolat au lait, onctuosité moelleuse, presque réconfortante, cerises trempées dans la cire de chandelle, une touche de cannelle attendrie par les céréales de blé. Les promesses du nez ne sont pas livrées par la bouche qui est platte et diluée. Côté saveurs, on retrouve ce que le nez avant détecté, la tarte aux pommes et la pomme caramel, mais qui même à une finale dominée par les saveurs de bois sec, de bois brûlé et de rye terreux épicé. Finale épicée et aiguisée par les notes de bois brûlé. La rondeur du nez est disparue à partir de la première gorgée. Dommage.

Patrick 83%
Un bon whiskey, mais bon, ça aide à comprendre pourquoi les whiskeys de blé ne sont pas si populaires que ça. Nez : Un superbe parfum de whiskey de blé, avec des beaux fruits généreux et sucrés et une touche de bois plein de sève. Bouche : Du bois brûlé, des épices, mais le blé et les fruits sont ici beaucoup plus discrets. Le tout est porté par une texture un peu poussiéreuse. Finale : D’une longueur moyenne, marquée le blé et le bois brûlé.

Martin 82%
Nez: Vanille, fruits et céréales d’entrée de jeu. Sucre, bois et caramel. On joue safe. Bouche: Texture moyenne, le blé prend une bonne part de la scène, avec fruits rouges, épices, chêne brûlé et vanille. Forte astringence qui nous fait nous ennuyer un peu du maïs traditionnel américain. Finale: Forte et épicée, sur des notes de bois carbonisé, de vanille et de fruits en compote. Équilibre: Très très agressif. On y va fort sur des saveurs sans compromis, mais justement ça fait qu’elles ne s’entendent pas vraiment bien ensemble.

Woodstone Creek Straight Bourbon Whisky

47% alc./vol.
Batch #1, fût #1 DSP-OH-34.

André 89.5%
Préparez vous à être très étonné. Nez vinaigré accompagné de relents de remover à vernis à ongles. Un baiser de cassonade migrant sur les grains de céréales secs, la bouche est maintenant sèche également mais une larme d’amandes grillées se pointe le bout du nez. La finale est toute de sirop d’érable et de Danoises pacanes et raisins. Finale timidement fumée. Un premier essai réussi et sérieusement amical. Je serai impatient de voir leur prochaines réalisations.

RV 93.5%
À mon avis personnel, this is what microdistilling should be all about. Poudre de jus instantané et vanille, puis le gruau pêche et crème, qui se termine olfactivement dans le sirop d’érable. Un bourbon? Puisqu’il le faut. En bouche ça se poursuit sur le même thème de vanille mais des épices viennent s’y mêler, même exploser. L’aftershock est un retour sur la vanille vraiment longue pour un 2YO et est aussi légèrement cuivrée. Bourbon atypique comme pas un, mais du fait qu’il s’agit d’un première tentative, tout ce que j’espère c’est qu’ils n’ont pas égarés la recette. Et malgré les millions en essai de barils de finition des grandes distilleries, ce bourbon de nouveau baril démontre qu’une bonne recette est toute aussi efficace.

Patrick 89%
Gâteau aux fruits un peu trop cuits. En bouche, la gâteau explose pour laisser plus de place aux fruits, dont des cerises très marquées. Touche d’amande. Huileux. Touche de métal qui ne dure qu’un instant. Vanille et caramel brûlé évoluant vers le sucre d’érable. Très riche en saveurs : on découvre quelque chose de nouveau à gorgée. Arrière-goût de coke aux cerises.

Writer’s Tears

40% alc./vol.
Assemblé avec un single malt irlandais plus doux et plus rond, Writer’s Tears est un ‘Pot Still Blend’ facile d’accès au palais. Pour ce mélange d’orge malté et non malté dont résulte un Pot Still élaboré de façon traditionnelle, sa particularité est, entre tous les whiskeys d’Irlande, d’être celui qui contient le plus de ce Pot Still Whiskey traditionnel.

André 80%
Ce n’est pas seulement l’écrivain qui manquait d’inspiration, le distillateur aussi. Très léger – pas de surprise, comme presque tout les Irish whiskies – vanille et miel, un peu poudreux aussi ou plutôt cireux, chocolat. Texture un peu plate en bouche, douceur extrême, vagues de vanille, de miel et de toffee, un twist herbeux au passage, accentué par quelques soupirs d’épices. La finale est amère un peu et les épices et le feeling de bois sec est plus apparent. L’écrivain pleure, le reviewer aussi. Rien pour aider la cause des Irish whiskies….

RV 82.5%
Juste une autre farfadette. Cuivre, fruité et cerise crasseuse, hormis la laideur du nez aurais-je à faire avec un whiskey irlandais avec de la personnalité? Outre les coups de talons sur la langue, pas vraiment. La finale mielleuse est heureusement appréciable, mais le whiskey manque trop d’uniformité. Il reste toutefois agréable, ce qui pour un whiskey irlandais est un haut fait d’arme.

Patrick 80%
Parfum très herbeux, avec touche d’huile de lin et pointe de fruits, rappelant un léger vieillissement en fût de xérès. En bouche, d’abord les fruits, puis un peu d’huile de lin. Vers la finale, il apparaît un peu d’orge. Pas mauvais, mais rien de spécial.

Writer’s Tears 2019

40% alc./vol.

André 88%
Le nez m’a rappelé certaines éditions de Two Brewers avec ses fortes odeurs de jujubes en forme de bananes. Avec plus d’attention, on est sur les notes de poires et de miel, d’oranges et d’agrumes. Hyper frais et un peu funky festif. Y’a aussi quelque chose qui me relie à l’épine dorsale aromatique du Glenlivet, les pommes vertes ou la gomme Bazooka peut-être. La bouche est douce; melon au miel, poires, oranges, miel chaud, pommes vertes, caramel onctueux. La texture quant à elle est très velvety et ronde avec quelques épices en toile de fond. Finale planante, douce et fruitée, en grande partie sucrée mais aussi épicée, caramel et miel.

Patrick 83%
Meilleur que je m’y attendais, mais je vais quand même attendre la prochaine St Patrick avant d’en reprendre. Nez : Parfum d’huile de lin, de vanille, de fruits tropicaux et de biscuits. Bouche : Du lin, du bois, un peu d’épices et de discrets fruits tropicaux. Le tout porté par une texture légèrement huileuse. Finale : Un peu courte, marquée par le lin.

Martin 89%
Nez: Céréales fruitées, touche de crème fouettée. Fruits rouges, miel et pommes mijotées. Cassonade et poivre noir. Pointe de chêne, on est dans le doux ici. Bouche: Frais et fruité, gomme balloune et bois. Herbe et fleurs roses, touche de poivre tout aussi rose, melon, miel et cantaloup, le tout dans un voile de vanille épicée. Wow, doux et complexe. Finale: Courte, mais chaude et bien ponctuée par le poivre, le chêne, les fruits, la barbe à papa et le brie fondant au miel et aux noix. Équilibre: Du beau savoir-faire de blending irlandais. Doux et caractériel à la fois, la complexité des saveurs est au rendez-vous, et nous sommes heureux d’avoir un blend doté d’une docilité qui nous offre le temps de pleinement l’explorer.

Writer’s Tears Japanese Mizunara Cask Finish

55% alc./vol.
Distillé en single pot still et affiné pendant 9 mois en Ex-Japanese Mizunara Oak Cask. 636 bottles.

André 93%
Équilibre, du début à la fin. WOW. Nez de pommes vertes, poires, vanille crémeuse, fruits tropicaux, oranges et cerises/réglisse rouge. La texture en bouche est divine, licoreuse et grasse, qui annihile l’alcool. C’est doux et soyeux en bouche, un vrai charme. Après quelques gorgées, notes herbeuses et végétales, crème glacée à la vanille, poires, ananas, melon au miel. Belle fraicheur générale. Savoureux. Finale de pommes vertes, melon au miel et gomme balloune, sucre à glacer. Un whisky gourmand, alliant équilibre et texture incroyable jumelé d’une palette aromatique hors-norme.

Patrick 91%
Wow, le meilleur des whiskys irlandais et japonais réunis dans une bouteille. Un chef d’oeuvre! Nez: Un délicieux parfum typique du délicieux Mizunara, débordant de mangues juteuses, et de vanille. Bouche: Un beau mélange de chaleur et de fraîcheur. Chaleur de l’alcool, du bois et des prunes, fraîcheur du Mizunara, des fruits tropicaux et des pommes jaunes. Finale: D’une belle longueur, avec du délicieux Mizunara qui enveloppe le tout délicieusement.

Martin 90%
Nez: Menthe et pomme croquante. Vanille et bois sec. Un peu d’herbe et de citron par moments. Assez doux pour le degré d’alcool qui s’en vient. Bouche: Crémeux en bouche, miel et vanille, fruits rouges et pommes vertes. Poivre, cannelle et touche d’ananas. Très bien construit. Finale: Longue, chaude et épicée. Une vague de sucre à glacer balaie tout ce qui se trouvait sur la planche de Mizunara. Équilibre: Un excellent Irish, qui garde sa douceur sans sacrifier son punch et sa personnalité unique. Bel alliage de force et d’origine du fût.

Wyoming Whiskey Double Cask Finished in Sherry Cask

50% alc./vol.
Mashbill de 68% de maïs, 20% de blé et de 12% d’orge maltée, vieilli pendant 5 années en new charred oak cask et affinage en PX sherry cask.

André 89%
Pari audacieux mais payant cette collaboration bourbon-sherry. Le nez est rond, la conjonction des céréales de maïs et du xérès s’adaptent avec conviction. Au nez, passablement de sherry et de fruits rouges, belle onctuosité apportée par le maïs, mélanges de fruits séchés et de barre au chocolat Cadbury Fruits et noix, vieux cuir et réglisse rouge, nail polish remover. Superbe texture en bouche, mélange de réglisse et de fruits sauvages séchés, vieux livre à la couverture de cuir, raisins secs. Cette belle texture est probablement aussi aidée par l’apport maternel du blé, déjà que le xérès arrondissait lui aussi énormément l’ensemble. La finale est portée par le gingembre, le clou de girofle et une pincée de poivre broyé naviguant dans un océan de fruits rouges et de xérès. Belle présentation avec pas mal de singularité mais aussi dans le respect du style comme toile de fond. Le genre de whisky qui convertit les non-adeptes au bourbon. Buy!

Patrick 93%
Wow, c’est bon ça! Je ne comprends vraiment pas pourquoi ça a pris plus de 100 ans à l’industrie du bourbon de réaliser que le xérès, qui fonctionne si bien avec le scotch, pourrait aussi faire de petits miracles aux États-Unis. Fuck la modération, à consommer sans retenue ! [AVERTISSEMENT LÉGAL : Québec Whisky décline toute responsabilité si vous êtes assez épais pour me prendre au mot]. Nez : Pur parfum de bourbon-bonbon, gorgé de fruits, de sucre, de caramel, de vanille et d’une note de… Heu, bourbon? Bouche : Oh, c’est bon ça! Fruité et boisé intense, avec une bonne dose d’épices venant du bois brûlé, le tout sur un fond de cassonade et de céréales qui complètent l’ensemble avec brio. Finale : D’une belle longueur, fruitée et épicée.

Wyoming Whiskey Small Batch

44% alc./vol.

André 92.5%
Nez hyper soyeux présentant une volée de cerises marasquin et d’oranges, une bonne dose de vanille boisée, style typique bourbon mais avec un bel accent épicé que l’on pourrait associer à certains rye whiskies. Bien qu’il ne semble pas contenir de rye, le whisky, doux au départ puis plus soutenu, poivré et épicé par la suite, offre une belle évolution fruitée en bouche. Mais majoritairement les saveurs proviennent du maïs. Le sucre et le miel sont agréables, les fruits omniprésents, la cannelle frétille sur la langue, le mélange cerises et orange vraiment agréable. La finale est fruitée mais offre aussi un filin de sécheresse épicée et cireuse. Un superbe whisky, variété des saveurs, équilibre et expérience générale (presque) sans reproche.

Yamazakura Blended Whisky

40% alc./vol.

André 73%
Vous n’avez pas encore ouvert votre bouteille et avez encore votre reçu de caisse en main ? Je vais vous faire économiser 60$ aujourd’hui… Nez un peu sans attraits et anonyme, quelques notes de fruits étouffées, légère fumée en toile de fond, fine sensation cireuse qui me rappelle les crayons de cire cassés. En bouche, la texture est flat et diluée, aucune passion, mais pas nécessairement sans attraits. Je ne connais pas la proportion de grain whisky mais la bouche est synonyme de whisky à forte utilisation de whisky de grains pas cher. Question de pousser l’affront comme il se doit, on réduit le tout à 40%. Dommage que le prix n’ait pas suivi en ce sens… Donc, revenons à la bouche, car il le faut. Whisky de grain, l’orge maltée, texture effilée (et ce n’est pas dû au taux d’alcool), fruits distants dans un nuage de fumée presque évaporée, miel avec une petite maigre poussée épicée en finale. En fait c’est la partie la plus intéressante de ce whisky. La rétro-olfaction offre aussi une certaine prestance fruitée avant le reflux de grains whisky bon marché. La première idée qui m’est venue en tête en prenant ce whisky sans prendre de note c’est qu’à l’aveugle, j’aurais peut-être misé sur un Johnny Walker Red, qui est vendu 28$. Je dois avouer que c’est environ le prix que j’aurais payé pour ce whisky. Deuxième pensée : c’est avec des whisky comme ça que les novices se lancent dans le milieu du whisky et disent ensuite que le whisky… c’est mauvais… Mais bon, si vous tenez vraiment à l’acheter, attendez au minimum un 15% à la SAQ (un 15% de mémoire ça n’arrive pas…) Je suis quand même curieux quand ça dit “de qualité supérieure”. Supérieure à quoi ?

Patrick 70%
Si vous prenez plaisir à boire ça straigth, vous avez définitivement un problème de consommation d’alcool. En fait, dans les pays où la législation définissant le whisky est le moindrement sérieuse (ça exclu malheureusement le Canada, mais on peut se consoler en se disant que le Japon est 100 fois pire à ce chapitre), ce liquide n’est pas considéré comme un whisky. Bref, plutôt infect, à éviter. Nez : Parfum faisant penser à de l’alcool plutôt jeune. En fait, ça sent l’alcool et le nettoyant industriel avec un logo SIMDUT de tête de mort. Yep, ça donne pas le goût d’y goûter. Bouche : Ok, ce n’est pas si pire, ça goûte l’alcool un peu sucré, voire une note de caramel. Finale : Courte, portée sur l’alcool et le caramel.

Martin 74%
Nez: Assez fade, un peu de fruits baignant dans un sirop alcoolisé, avec une pointe de céréale à peine fumée. Bouche: Bien mielleux et sucré, texture tout de même agréable. La proportion de grain est ici fort exagérée. On y ajoute un peu d’épices pour un résultat ma foi fort décevant. Finale: Épicée, mais courte et insipide, avec un restant de fruits et de bois sec. Équilibre: Bien peu de qualités ici. Réajustez le rapport grain/orge maltée et haussez un peu le taux d’alcool, on verra où ça peut nous mener. Mais ne m’insultez pas en m’en demandant 60$ la bouteille.