58.9% alc./vol.
Distillé en 1997 et embouteillé en 2009, fût #6398, 208 bouteilles.
André 83%
Citron vert et frais jumelé à un fort taux d’alcool mentholé. La bouche livre des arômes de coriandre et de sucre, un mélange pas très concluant se poursuivant afin de livrer une finale à saveur de lime et de sel. Assez bizarre comme embouteillage mais définitivement pas dans ma palette de goûts personnel.
RV 79%
À tenir loin de la portée des flammes. Et des papilles. Caramel et grain assez uniformes suivis de menthe et de peppermint. En bouche, quelle mauvaise surprise, alors que le nez est évacué avec de l’hélium et de l’argon à soudure. Très weirdo, agressif, rustre mais quand même une expérience qui vaut la peine d’être vécue, une seule fois par contre.
Patrick 83%
Poivre blanc au nez. Au goût, fruits très mûrs et sucrés, suivi d’une rétro-olfaction surprenante rappelant une odeur industrielle de soudure et d’une finale plutôt salée. Une évolution surprenante, un équilibre particulier. Un whisky vraiment intéressant à découvrir à chaque gorgée, et à chaque instant de l’évolution de cette gorgée. Idéal pour l’amateur blasé par les whiskys monochromes.