47% alc./vol.
Distillé le 3 avril 2007. Stranahan est un whisky Américain produit à Denver, au Colorado. Il est distillé à la micro-distillerie Stranahan, fondée en 2004 par Jess Graber, George Stranahan et Jake Norris, qui fut la première micro-distillerie à se voir accorder une licence pour distiller du whisky dans l’état du Colorado. Stranahan whisky est conçu avec de l’eau puisé des montagnes Rocheuses, filtrée à travers du charbon de bois et 80% de l’orge utilisé est également cultivé localement dans les Rocheuses. Le new spirit est élevé pour une période de 2-5 ans en nouveau fûts de chêne fortement carbonisés et sont vieillies en entreposage contrôlé. Chaque tonneau peut contenir 200 litres et seulement 12 fûts sont produits chaque semaine.
André 85%
Tarte à la rhubarbe, cerises, bière pression, malt. En bouche, les épices gagnent le combat malt la bière au goût de mais le malt se relève de son k.o. et revient en force jumelé d’une bonne poussée de sirop de raisins. En dessous de mes attentes personnelles (qui étaient très hautes) mais loin d’être une déception ou un embouteillage à éviter.
Patrick 88%
Nez de tarte aux pommes et rhubarbe. En bouche, arrivée sucrée qui confirme le nez. Touche de brulé en rétro-olfaction. Donne l’impression de marcher dans un champ d’orge après un orage électrique. La finale est sucrée, maltée et légèrement métallique.
Martin 85%
Nez: Fraise, pommes et rhubarbe. Raisins très rouges, quelques grains avec un peu de chêne. Bouche: Fraises et herbe, orge et sirop simple. Vanille, épices et caramel. Cannelle et bois. Finale: Longue avec de grosses notes de cannelle, de caramel et de fruits rouges. Poivre blanc. Équilibre: J’aime bien le produit dans son ensemble, bien qu’il essaie de nous surprendre violemment en finale. Honnête et particulier. J’aime.
RV 84.5%
Très raisin (rouges et secs) avec un soupçon d’orge et de poche de jute. Se présente avec davantage de grains, mais une fois à l’intérieur révèle son côté beaucoup plus houblon. En finale, trop peu subtil avec des élans de bières qui auraient bénéficié d’une voie plus tranquille, malgré le raisin qui vient sauver partiellement ce qui pourrait être un échec. Or il est très changeant, et un soir me plait tandis que l’autre me déplait donc dans l’ensemble, une curiosité qui vaut le risque d’être essayée.