40% alc./vol.
Produit à partir d’orge tourbée en provenance de l’île d’Islay, ce single malt, vieilli en fût de sherry, a été affiné dans des fûts de chêne de l’Oregon.
André 87%
Goûte le sabot de mouton; les mitaines quand tu te morves l’hiver quand il fait « fucking frette », le p’tit goût de sel, mais après l’avoir redécouvert, la note à considérablement augmenté. Feeling de pierre de savon. Malheureusement la note se fait écorcher dû à la bouche qui manque de texture et de structure. Finale salée et mentholée style pastilles casse-grippe. Beau tour de force qu’on soit aux États-Unis pour un single malt qu’on jurerais Islay !
Patrick 77%
Oui, Goûte définitivement la laine mouillée; Goût de tôle! 2eme tasting 85% Tourbe et pointe de fumée et quelques grains de poivre. En bouche, fruits, caramel, un soupçon de fumée, quelques épices et de la sève amère. La finale s’étire sur un sucre et une épice agréable. Le tout est un mélange de saveurs un peu bizarres qui, sans être désagréable, n’a pas su me convaincre hors de tous doutes. 2eme tasting 85% Tourbe et pointe de fumée et quelques grains de poivre. En bouche, fruits, caramel, un soupçon de fumée, quelques épices et de la sève amère. La finale s’étire sur un sucre et une épice agréable. Le tout est un mélange de saveurs un peu bizarres qui, sans être désagréable, n’a pas su me convaincre hors de tous doutes. 3eme tasting 85% Nez: Feu de camp éteint dans lequel on avait mis pas mal n’importe quoi. Genre un mélange de plastique brûlé, de laine mouillée brûlée et un tout petit peu de bois. Bouche: Toujours la laine mouillée et le plastique brûlé… Finale: Donne l’impression de licher le fond du foyer de fonte. Balance: Vraiment un côté bizarre et intense.
Martin 75%
Couleur très neutre, moins orangé qu’un bourbon, mais plus qu’un scotch vieilli en fût de bourbon. Nez: Fumée de tourbe aux fruits des champs. Certains pourraient avoir tendance à penser à un Islay, mais la framboise et le cuir nous emmènent ailleurs. Le nez est plutôt jeune et fringuant pour un malt à 40%. Bouche: Miel et pierre avec un goût très plat, très fade. On fait ensuite place à un peu de caramel et beaucoup d’amertume. Manque d’unité et d’équilibre. Vieux caoutchouc moisi. Finale: Courte avec un cuir qui se lave prestement à l’eau stagnante. Équilibre: Dur à croire que c’est américain. Un effort honnête, mais qui passe à quelques lieues de la cible.
RV 90%
Laine fumée et agressive au nez spécialement pour seulement un 40%. Vague de tourbe légèrement agrumes sucrée suivie de la tourbe qui s’éteint un peu vite et qui laisse la langue fatiguée mais repue d’avoir su affronter une aussi belle tempête, avec l’œil tranquille de sucre en son centre. Un whisky bien particulier qu’il ne faut pas manquer, en espérant que Clear Creek se garde quelques barils de côté, car quelques années de vieillissement de plus pourrait mettre mon top 5 en péril.