54.1% alc./vol.
Maturation initiale en First Fill Bourbon Cask et affinage pendant 10 mois en Oloroso et Pedro Ximerez Sherry Cask.
André 59%
Gâteau aux fruits nappés d’un coulis de caramel chauffé dans la poêle, framboises, cerises, prunes et dattes, oranges sanguines, fond de soufre assez intense, odeurs de fermette aussi par une chaude journée d’été et de terre humide, fromage de biquette, foin mouillé fermenté. Simonac que la bouche est bizarre… Pâte à dent à saveur d’eucalyptus, sherry terreux et fond de warehouse humide, oranges sanguines, caramel, d’épices des Caraïbes, raisins secs, dattes, prunes, tourbe terreuse intense et sel de mer mélangé de cannelle. Finale herbeuse et de fermette, tourbe terreuse humide mélangée de crottin. Ma ‘’non-amour’’ de Glen Scotia se poursuit encore une fois.
Patrick 55%
La description du whisky devrait plutôt se lire comme suit ” Maturation initiale en cask de rat mort et affinage pendant 10 mois en cask de fruits moisis. Nez : Ouf… Comme un mélange de fromage pas frais et de fruits moisis. Ok, je n’insiste pas et je plonge… Bouche : Ouf… Toujours les fruits moisis, accompagné de vodka cheap à 95% d’alcool et de bois qu’on a carbonisé pour cacher le goût venant de quelque chose qui s’était noyé dans son précédant contenu de xérès. Finale : Je ne peux m’enlever de l’esprit qu’il y a une petite bête qui est morte dans ce cask-là.
Martin 79%
Nez: Fruits des champs, sucre à glacer et une touche de crème. Semble intéressant au départ, mais une fausse note un peu sûrette se dessine doucement à l’horizon. Nope, la crème a tourné. C’est moins pire une fois que le verre a respiré, mais il y a définitivement quelque chose de louche ici. Bouche: La texture est assez agréable, les épices prennent rapidement le dessus sur les saveurs de caramel écossais, de poudre de chili et de chêne. Le xérès y est, mais on se fait vite étouffer par son degré d’alcool. Finale: Le chêne épicé et sa touche acide et métallique en font une expérience qu’on préférerait oublier rapidement. Équilibre: Je pensais que je me régalerais avec ce Campbeltown CS, mais comme je me trompais. Ses qualités rédemptrices sont plutôt peu nombreuses et se situent plus en bouche et en finale. L’expérience dans son ensemble m’apparaît en-dessous des attentes à tout le moins. Next!