Cadenhead Glen Moray 25 ans 1992

51.1% alc./vol.
KWM 25th anniversary Cask, limited edition of 246 bottles

André 86%
Fruits tropicaux, poires, melon au miel, vanille, crème brûlée, oranges, beau nez sucré invitant. La bouche est florale et très fruitée; les mêmes saveurs senties au nez s’expriment avec vivacité, mais les fruits tropicaux sont encore plus présents. La bouche affiche un petit côté presque pétillant de 7up ou de GingerAle, saveurs de jus de salade de fruits DelMonte, la mangue, le melon au miel, les oranges. Finale de bonne longueur, très douce, fruitée et sucrée.

Patrick 87%
Un whisky original et savoureux. L’ensemble est très bien balancé et le bois frais donne l’impression d’être en fait en train de boire directement du fût. Nez : Tonne d’agrumes, touche de vanille et de bois fraîchement scié. Bouche : Superbe bois épicé, agrumes, herbes fraîches et biscuits. Wow, je n’ai jamais rien goûté qui y ressemblait! Finale : Longue et marquée par les agrumes et les épices.

Martin 87%
Nez: Poires, cantaloup, punch aux fruits, orange, sucre à glacer et vanille. Bois sec. On sent anguille sous roche au niveau du taux d’alcool, un nez trop beau pour être vrai. Bouche: Tourbe et raisins blancs croquants. Rosée du matin, melon, poivre, chêne et retour des fruits tropicaux. Cannelle en puissance. Finale: Bien que l’alcool agressif se traduit en notes de cannelle, de poivre et de gomme balloune, le reste de la descente se fait sans trop de heurts, sur des accents de fruits, de bois et de vanille douce. Bien ficelé comme expérience. Équilibre: Un autre beau choix du Kensington pour leurs embouteillages anniversaires. C’est clair qu’il faut être à Calgary lors de leur 50e!

Glen Moray 12 ans

40% alc./vol.

André 86.5%
Étrange mélange de céréales un peu sèches au citron, de miel, d’herbe fraiche et de citron mûri juste à point. Une belle qualité d’exécution mais des saveurs qui me laissent froid dans l’ensemble. La bouche est légèrement plus relevée que la bouche, quelques épices au passage s’entourant d’une chorale à diverses tonalités herbeuses. Bonne dose de sucre en général, le whisky est agréable, bien que s’expriment de fortes vagues de gingembre. Le mélange gingembre-herbe se marie fort bien en bouche. On est à même de constater l’utilisation de bourbon cask de par les saveurs livrées. Puis apparaissent progressivement les nuances de miel, de toffee et de bois de chêne qui se noient dans une grosse poignée d’herbe tout juste coupée. La finale est soutenue par le gingembre et le chêne sec, de bonne longueur pour un Speysider si doux.

Patrick 79%
Nez : Orge au miel, avec une petite pointe d’alcool et de gingembre. Bouche : Alcool, malt, vanille, miel et chêne. Semble plus jeune que 12 ans… Probablement que le fût n’était pas neuf! Finale : Moyenne et portée sur l’alcool. Balance : Coûte pas cher, vaut pas cher.

Martin 79%
Levé à la lumière, affiche un or très pâle, pas même ambré. Nez: Orge typique du Speyside, avec un léger manque d’affirmation. Quelques notes florales et minérales. En-dessous de tout ça, une faible brise de caramel, vanille, orange et poire tente de se montrer. Bouche: Relativement léger, peu huileux et très sucré. Malt, vanille et chêne. Touches de cannelle et de toffee ici et là. Finale: D’une durée moyenne, la finale est poivrée de noix, de chêne et d’anis. Équilibre: Une belle nouveauté en SAQ, doublée d’un beau whisky de semaine. Vu son prix, difficile de lui trouver des défauts vraiment impardonnables.

RV 77.5%
Triple ou quadruple distillation au Speyside? Pas désagréable mais étouffé, comme si on sentait un Balvenie avec le nez un mètre au-dessus du verre. Très, mais alors trop liquide en bouche, c’est du malt qui prend trop de temps à se dévoiler avec un peu d’épice. Finale décevante avec de la feuille de jeune menthe et d’orge verte. Vraiment pas mon genre de whisky, un Speysider anonymement ennuyant.

Glen Moray 12 ans American Cask

40% alc./vol.

André 81%
Poires nappées de vanille, marshmallows, céréales au miel, herbe verte mouillée. Oh boy… la bouche est sans passion, diluée au maximum, on ressent la dilution à l’eau, ce qui délave les saveurs; céréales au miel, herbe coupée, notes de céréales maltées, poires et abricots nuancé par une touche de gingembre. La finale est expéditive, épicée mais fade et triste. Un whisky qui manque de panache mais avec des arômes et saveurs intéressantes. Un taux d’alcool plus élevé et ne pas lui enlever ses huiles par la filtration lui donnerait définitivement plus de corps. À 40$, un bon whisky de semaine ou une bouteille pour la visite imprévue.

Patrick 75%
L’exemple typique du Speysider insipide et sans intérêt. Un verre d’Eau me donne plus de plaisir (j’ai vraiment comparé les deux côte-à-côte). Coûte pas cher, vaut pas cher. Nez : Céréales, agrumes, herbes et touche de miel. L’ensemble est léger et manque d’intensité. Bouche : Miel, épices, chêne, vanille et quelques notes florales. Pas grand punch ici. Finale : Courte et sans intérêt.

Martin 82.5%
Nez: Céréales grillées mielleuses, poires bien mûres, vanille et bois. Herbe et guimauve, agrumes et léger caramel. La table est mise. Bouche: La texture est plutôt aqueuse, mais on y retrouve tout de même de belles saveurs, si simples soient-elles. Miel et malt, gingembre et crème, agrumes et fleurs rosées. Finale: Courte et éphémère, sur des notes d’épices, de bois, de vanille et de fruits. Équilibre: Très très « basic » comme single malt. Par contre, à 40$ ça reste un deal très acceptable.

Glen Moray 12 ans Chenin Blanc

40% alc./vol.
Speyside, 1897

André 83%
Poire. Mouthfeel intéressant, sans plus. Trouvé à Park Avenue Liquor NY à 28$.

RV 86%
Summer girl, pas un top babe mais pour laquelle on détermine tout de même le regard. Foin poussiéreux du malt sans le grain. Arrivée de peu d’agrumes, assez agréable. Finale de vin douillet et fruité intéressante. Finale d’été et de fraises.

Patrick 85%
Nez: Poires vertes malteuses. Goût: le vin et le malt. Vraiment bon. Original. Super rapport qualité/prix (28-30$).

Glen Moray 125th Anniversary Distillery Edition Peated Sauternes Finish

59.8% alc./vol.
Mis en fût en 2013, embouteillé en 2022 (« auto-remplissage » exclusif à la distillerie)

André 87%
Balance parfait entre la fumée de tourbe et le Sauternes. Fruits à chair et fumée terreuse, compote de poires, oranges, chocolat noir. La bouche est terreuse, légèrement crasseuse. Chocolat noir, poires et abricots, oranges et agrumes, citron confit, vanille, accompagné d’accents verdâtres. Texture cendreuse et sèche, l’alcool en retrait. Finale moyenne en longueur, fumée et tropicale.

Patrick 92%
Oh que c’est un gros hit ça! Superbe et délicieux, toutes des saveurs que j’aime et superbement balancées: malgré la grande intensité de l’ensemble, le tout reste tout de même complexe et savoureux. Nez: Un parfum intense et débordant de saveurs: Fumée de tourbe, sucre et raisins verts. Bouche: Riche et intense, avec la fumée de tourbe, le sucre et le raisin vert. Porté par une belle texture huileuse, wow, c’est bon! Finale: D’une belle longueur, fumée et sucrée, wow c’est bon!

Glen Moray 15 ans

40% alc./vol.
Affinage et American Oak et Sherry Casks.

André 82.5%
Nez plat comme approche, un peu de gingembre et de toffee, fleur des champs et vanilla, salade de fruits, léger citronné aussi et douceur sucrée qui ressemble au bourbon cask, une touche de fruits rouges, genre marmelade de cerises et framboises, pommes vertes. La bouche évoque un baiser de céréales maltées, nappées de morceux de poires en dés couronnés de crème Chantilly, une pincée de gingembre frais épicé, fruits tropicaux, sherry effacé. La texture est diluée et hyper luquide, sans structure presque. Touche de bois sec en finale relevé par quelques épices. Finale courte, légèrement amère.

Patrick 84%
Ouin. C’est bon, mais venant d’un whisky de 15 ans, mais attentes sont déçues. Genre, je la reçois en cadeau, je vais être super heureux, mais je ne paierai jamais pour ça. Nez : Du xérès sucré, de la vanille et un peu de caramel. Bouche : Parfois, les saveurs arrivent une à la fois, mais ici, tout arrive en même temps : Chêne brûlé, xérès, caramel, vanille subtile et fruits mûrs. Finale : D’une belle longueur, marquée par le bois brûlé et les fruits mûrs.

Glen Moray 16 ans

58.5% alc./vol.

Patrick 89%
Un whisky riche et généreux, avec énormément de fruits. Pas trop subtil, mais efficace! Nez : De beaux petits fruits mûrs, de la cassonade. Très sucré et fruité. Bouche : Riche et fruité, des épices boisés et du caramel. Finale : D’une belle longueur, fruitée, épicée et très sucrée.

Glen Moray 16 ans Highland Regiments The Queen’s Own Cameron Highlanders

40% alc./vol.
Maturation en ex-bourbon cask. Glen Moray 16 ans des années 2000.

André 85%
Gummy bears sucrés, sirop de poires, abricots, baies sauvages. Alléchant et sucré, du bonbon pour les grands! Des saveurs découlant de l’utilisation du bourbon cask à son meilleur. La bouche est onctueuse, presque grasse. Rappel du sucre des gommes pour enfant, fruits à chair, beaucoup de poires et d’abricots, oranges, citron, accompagné d’une touche épicée et sèche qui gagnera en force au fil des gorgées. Finale de clou de girofle, globalement sèche et hyper fruitée. Plaisant à déguster sans trop se casser la tête au niveau complexité.

Patrick 85%
Un très bon whisky, beaucoup plus savoureux que ce que j’attendais d’un tel Glen Moray. Une belle surprise que ce scotch qui, sans être impressionnant, est très agréable à boire. Nez : Un beau parfum plein de fruits sucrés et de vanille. Bouche : Du beau xérès, du chocolat au lait, de la vanille, un peu de bois sec. Simple et rudement efficace. Finale : Un peu courte, fruitée et sucrée.

Glen Moray 18 ans

47.2% alc./vol.
First Fill American Oak Barrels.

André 87.5%
Avalanche de miel et l’habituel backbone de saveurs de salade de fruits, de citron et de jus de poires, bloc de toffee, paille, jus de pommes, oranges, abricot, vanille. Côté texture, on a fait un énorme bord en avant versus le dilué 40% des autres versions. La bouche est beaucoup plus structurée, texturée aussi; caramel, miel, toffee, vanille, poires, agrumes, gâteau aux fruits, cannelle, gingembre, bois de chêne sec, céréales séchées, oranges. Le côté mielleux a quelque chose qui me rappelle la palette aromatique du Highland Park (c’est un bon point ça). La finale est plus épicée et relevée par l’alcool aussi, tarte aux pommes, fruits tropicaux, les notes de gingembre et de poivre donnent aussi une seconde vie et propulsent la finale sur une belle longueur.

Patrick 90%
Ok, c’est ici que ça se passe. Les cask finish de cette distillerie sont d’excellents rapports qualité prix mais pas les ages statements… À moins d’y aller avec ce 18 ans! Yep, aucun regrets ici! Nez : Cassonade aux fruits des champs, avec une touche de chêne sablé. Bouche : Des biscuits à l’orge, du xérès brûlant, du chêne subtilement épicé… Ok, tout y est. Finale : D’une belle longueur, avec du bois brûlé et de la belle cassonade légèrement fruitée.

Glen Moray 1998-2018 PX Finish

45.5% alc./vol.
Maturation initiale en bourbon cask, puis réduit à 50% d’alcool avant d’être transféré dans des fût de Sherry Pedro Ximerez pour un affinage de 3 ans et demie. Cask 99913, bouteille 572 de 640

André 89%
Wow… Solide présentation. Gâteau aux fruits, raisins secs, oranges confites, réglisse rouge, caramel, toffee. Nez faste et résineux, les prunes, raisins. Incroyable texture en bouche, gras et huileux, très onctueux et qui colle partout en bouche. Tsunami de fruits macérés et de fruits séchés; raisins, prunes, dattes, figues. Le tout est nuancé par des épices pas trop puissantes, de l’anis, des réglisse rouge, cosses d’oranges, morceaux de chocolat, café bodum. Longue finale, tout en douceur, sur la force des saveurs condensées. Un solide whisky avec beaucoup de d’influences du cask finish.

Patrick 82%
Mouin… Tant qu’à faire un single cask, j’aurais choisi un meilleur fût que ça. Ce n’est pas mauvais, mais j’ai vu mieux. Nez : Parfum rappelant presque un vieux Cognac. Fruits réchauffés, un peu de bois et du carton mouillé. Bouche : En fait, ce n’est pas du carton simplement mouillé, mais plutôt du carton qui a trempé dans le xérès, et qui a servi à emballer du bois brûlé. Sur lequel on aurait mis une touche de chocolat noir. Finale : D’une belle longueur, marquée par le mélange de saveurs précédemment mentionné.