43% alc./vol.
Patrick 86%
Malgré un nez insipide, au goût le blast d’orge pur nous surprend. Un scotch simple, mais appétissant. Une référence en terme de SM des Lowlands. En finale, peut être les agrumes, mais très légèrement.
43% alc./vol.
Patrick 86%
Malgré un nez insipide, au goût le blast d’orge pur nous surprend. Un scotch simple, mais appétissant. Une référence en terme de SM des Lowlands. En finale, peut être les agrumes, mais très légèrement.
43% alc./vol.
Patrick 85%
Orge et fruits (pomme et fruits murs), typiquement Highland.
43% alc./vol.
Patrick 89%
Peat et fumé au nez, typiquement Islay. Au goût, peat, iode et algue. Vanille? Un fois de plus, Dun Bheagan nous surprend avec des scotchs pourtant jeunes et si savoureux. Wow. Méchant bon investissement!
43% alc./vol.
Fûts #3869 et 3874, édition limitée à 2400 bouteilles.
André 85%
Plus discret et doux, la tourbe est bien là mais semble ne pas vouloir s’afficher avec beaucoup de force. En bouche, il est presqu’aussi effacé, sans toutefois se départir de ses origines tourbées et maritimes. Finale plus affirmée mais manquant dans l’ensemble de caractère et de muscle. Pourrait bien servir d’introduction aux whiskies du genre sans trop être déboussolé.
RV 86.5%
Un souper au Saint-Hubert; pas de surprise, on connait la place mais la bouffe se veut toujours réconfortante. Sel et tourbe, ça ressemble une fois de plus à du Bowmore, car on y sent même le côté d’agrume, quoique léger. Très jolie bouche, pas vraiment complexe mais tellement typique d’Islay. En finale, jet de pierre à savon qui s’allonge de manière aigre et confortable. À moins que ce ne soit un Bowmore, aucune surprise dans ce single malt, mais un goût très approprié.
43% alc./vol.
Fûts #304595 et 304609, édition limitée à 5400 bouteilles.
André 83%
Étrangement absent et légèrement accentué de notes de vin blanc sucré et d’un timide brûlé en arrière-plan. Une texture sans grand intérêt et une finale qui tente de sauver la mise. Décevant et oubliable.
RV 83%
Un voyage anonyme en contrée peu connue, mais sans attrait véritable. Assez différent du 1997, la tourbe est six pieds sous terre, ce qui semble à prime abord déplacé mais n’est pas désagréable non plus. Sur la langue, prend beaucoup de temps à se déclarer, dans les mêmes instances qu’au nez. La finale démarre de façon décevante et est à oublier, mais l’aftertaste beaucoup plus rond est de bien meilleure facture. Pas nécessairement type, sans faute, mais j’ai un peu de misère à lui trouver une raison pour y revenir.
Patrick 88%
Nez d’une belle intensité de tourbe et de fumée sèche, le tout chassé par un vent du large. En bouche, la saumure, très salée, qui laisse transparaître la tourbe et un fond un peu terreux… Ce qui est somme toute plutôt agréable. La finale fumée et salée, est d’une belle longueur. Dans l’ensemble, une belle bête fougueuse mais qui se laisse tout de même approcher. Idéal pour le Sunday Night Football.
43% alc./vol.
Fûts #6255 et 6264, bouteille #5376.
RV 86.5%
Le sel du Bowmore, le poivre du Talisker mais l’équilibre du Caol Ila. Vraiment dur à identifier, surtout qu’à mesure de respirer, les agrumes du Ardbeg sortent elles aussi. En bouche, on retrouve le sel et la tourbe, pas très agressifs. En finale, c’est le sel du Bowmore qui ferme la marche pour une procession assez longue. Comme ça, je pointerais Bowmore, mais à peu prêt tous les distilleries d’Islay pourrait clamer sa provenance, mis à part peut-être Lagavulin. Une des meilleures introductions à Islay pour les néophytes, à prix raisonnable.
46% alc./vol.
Sherry butts, fût #315764 sur 315770, 5376 bouteilles.
Patrick 90%
Une belle surprise que cet embouteillage mystère. Toujours est il qu’il s’agit d’un digne représentant d’Islay! Nez : Belle tourbe délicieuse, portée par les arômes fruités du xérès et une fumée envoutante rappelant un excellent cigare cubain. Bouche : texture huileuse, idéale pour la chaleureuse fumée de tourbe. Ici encore, le xérès et les notes rappelant un bon cigare viennent compléter le tout avec brio. Finale : Longue et savoureuse, marquée par la fumée de tourbe et le xérès.
Martin 87%
Un feu roulant d’orange vif saute aux yeux. Nez: Douce tourbe grasse avec des accents de gazon terreux. Caramel, bois, bruyère et algues séchées. Orange et soupçon de cuir. Bouche: Arrivée en bouche sèche et tourbée. Légère mais pas trop. Avalanche de fruits et d’herbe. Finale: Longue, poivrée et fumée. Vent de tourbe et de fruits, festival du peated sherry cask. Équilibre: Un malt intéressant, un beau dram qui réchauffe au coin du feu.
43% alc./vol.
Embouteillé en 2014, fût #707351/707363, 5376 bouteilles.
André 86.5%
Miel et vanille fraiche, tourbe et petit côté médicinal à la Laphroaig, sable de plage et sel de mer mouillé, eucalyptus. La tourbe et le côté maritime, tourbé et médicinal est plus prédominent en bouche en plus d’offrir une palette de sucre et de menthol et d’eucalyptus. La texture est agréable mais sans grande complexité, mais la vivacité du jeune whisky a bien été maitrisé. La bouche se développe ensuite vers les notes citriques, d’oranges et d’agrumes arrondis par les notes de toffee et de caramel légèrement brulé. Et puis, étrangement apparaissent les vagues de sel et de poivre noir. La finale est un peu courte pour les saveurs supportées par l’alcool, sans être décevant en soi. Un whisky agréable versus le prix déboursé mais qui n’a pas le hook accrocheur de bien des éditions officielles de distilleries de l’Ile.
Patrick 91%
Un Islay comme on les aime. Relevé, complexe, savoureux, intense et tout de même bien balancé. Il m’inspire une soirée entre amis, sur le bord d’un feu de camp. Nez: Fumée de tourbe salée, avec une touche fruitée et un peu de poivre. Bouche : Fumée poivrée et tourbée, sel, céréales et épices. Puis, une autre vague de tourbe salée. Finale : Longue, très savoureuse, marquée par le sel et les cendres.
43% alc./vol.
Casks 707241 & 70753 , 5280 bottles.
André 85%
Beau single malt, avec beaucoup de tourbe au nez et de la fumée médicinale, feu de plage avec du bois légèrement mouillé en train de brûler, filin de sel, camphre, bonbons casse-grippe. Ensemble un peu éventé comme si l’on regardait à travers un filtre un peu flou, un croquis photo de David Hamilton version alcoolisée. À l’aération, le whisky lâche maintenant quelques salves de fumée malpropre presque industrielle, charcoal brûlant un peu lointain, bonbons casse-grippe sucrés, fumée médicinale, fruits tropicaux, ananas, agrumes, Saveurs super intéressantes mais on dirait que l’ensemble des saveurs est un peu dilué et fade, manque de punch. Dommage car les saveurs sont superbes. La finale est axée sur la tourbe médicinale, beaucoup de poivre aussi et le camphre presque éphémère qui disparait progressivement laissant une sensation de suie de charbon. Pour le prix, superbe achat. Ressemble à du Lagavulin 8 ans.
Patrick 86%
Un superbe rapport qualité-prix! Habituellement, je préfère mes scotchs plus forts en alcool, mais ici, compte tenu du prix qui en fait un whisky de tous les jours, c’est juste parfait! Nez: De la belle fumée de tourbe médicinale, du sel et quelques agrumes. Bref, que du bonheur en perspective. Bouche: Une belle grosse dose de sel et de fumée de tourbe, quelques agrumes et de la cendre. L’ensemble est frais et facile à boire. Finale: D’une longueur moyenne, marquée par les cendre et le sel.
43% alc./vol.
Bottled 2016, Cask #705443-705458, Limited Edition of 4800 bottles
André 63%
Sérieux, quand j’ai gouté ça pour la première fois, ça trouvé ça horrible. D’avoir à y revenir et en faire la review m’effrayait un peu. Au nez, coton à fromage (avec du fromage passé date encore collé dedans), vieilles oranges sanguines, tourbe discrète et fût virgin oak parfumé à l’orange, pincée de sel de mer. Ça sent aussi le bas de laine porté par quelqu’un qui sent des pieds. La bouche est insipide, aucune texture, liquide comme de l’eau parfumée. Poussière de craie, tourbe effacée, terre humide dans le vieux warehouse, oranges. Même après 30 minutes dans le verre, ça sent encore le p’tit fromage et la saumure. Finale sucrée et salée, avec une tourbe diluée, de très courte longueur. Heureusement, Benoit avait offert le Lagavulin 19 ans Feis Ile 2019 pour se faire pardonner ce whisky très douteux. J’ai offert le reste de mon verre au Dieu du Drain de l’évier.