40% alc./vol.
André 71%
Poires trempant dans leur jus presque ranci, miel, malt verdâtre encore mouillé trempant dans un baril de chêne pas encore sec, vanille, côté zesty, alcool encore jeune. Agréable texture en bouche, crème pâtissière, fruits tropicaux, malt vert, pincée de citron, poires, pelures de bananes, pointe de cannelle. Les saveurs s’étiolent rapidement en bouche, aucune longueur et la sensation de whisky diluée gagne rapidement l’ensemble des saveurs. Finale liquide et éphémère, poires et fruits tropicaux, diffus et anonyme.
Patrick 65%
Oh que c’est méchant ça. Tellement mauvais, je ne peux pas croire qu’on ait embouteillé ça sous le propre nom de la distillerie. Ceci étant dit, le mot « propre » ne m’est pas spontanément venu en tête en goûtant ce whisky. Nez : Oh que ça sent mauvais: ça me fait presque penser au jus qu’il y a dans le fond de mon bac à compost. À moins que ce ne soit une toilette bleue dont on a pas fait le ménage depuis trop longtemps, compte tenu des notes chimiques qu’on y retrouve aussi. Bouche : Définitivement plus la toilette bleue que le bac à compost, c’est comme trop chimique. Finale : Trop longue.
Martin 75%
Ambre pâle, or léger. Nez: Miel floral, avec notes de poire, d’orange et même de lime. Faible malt derrière tout cela, mais il est difficile de se faire un portrait précis tellement le nez est diffus. Bouche: Minéral sur des saveurs de sucre mielleux, limette, poire et cumin. Encore plutôt confus et propulsé par une vague d’alcool jeune mal placée. La lime aide à étouffer la minéralité exubérante de cet embouteillage, mais à peine. Finale: Très courte avec des accents de poire sèche qui déboulent rapidement sur un retour de la vague d’alcool mentionnée précédemment. Cruel manque de complexité. Équilibre: Tant qu’à se garder une expression de base, vaudrait mieux coller au 12 ans. Même pour le prix, donne plutôt envie de se tenir loin des Lowlands. Un bon coup de la SAQ de ne pas rentrer ça en succursale.