54.2% alc./vol.
“Starry, starry night” – Distillé le 19 avril 1994, 538 bouteilles.
André 87.5%
Caramel bien frais avec une touche de miel, céréales Sugar Crisp, un fond maritime avec des saveurs de sel et une touche de tourbe. Pas facile d’approche ce whisky… La bouche dévoile de belles nuances de caramel, de vanille et de miel, qui se mélangent lascivement avec des embruns de sel de mer et des saveurs d’étals de poissons séchés sur le quai. La notice sur l’étiquette parle de marshmallow brûlé, j’achète ça… La bouche me déçoit un peu car l’éventail de saveurs est limité, je trouve le whisky plutôt plat dans l’ensemble. La finale est fumée et poivrée, beaucoup de saveurs de vanille et de miel avec une fine couche poudreuse.
Patrick 89%
Du bon whisky, avec tous les bons ingrédients. La seule chose qui manque pour qu’il soit parfait est un peu de magie. Mais ça demeure un très bon whisky. Nez : Bowmore comme je l’aime, le mer, le chêne, la vanille, le xérès. Avec une touche de cendre. Bouche : Xérès, cendre et fumée, sel intense, plat de bonbons, chorizo et surtout, une belle tourbe omniprésente. Finale : Longue et salée.
Martin 85%
Ambré décoloré étonnamment fade pour un Bowmore. Nez: Céréales au miel et caramel épais, un peu comme une mystérieuse recette de mon enfance où l’on retrouvait du caramel coulant en plein coeur d’un carré aux Rice Krispies. Tourbe et sel marin se chargent du reste. Bouche: Caramel salé et fumée de tourbe. Vanille et miel. Sel et cuir. Retour de la tourbe, accompagnée d’une poignée de poivre blanc. Finale: À priori fumée et poivrée, on y retrouve aussi un peu de bois et de vanille. Elle est malheureusement trop courte. Insolite, d’ailleurs. Équilibre: Un peu étrange, beaucoup des conditions gagnantes d’un excellent malt sont réunies, et pourtant…