SMWS 29.135 Laphroaig 17 ans

60.7% alc./vol.
« Fisherman’s Friend Aniseed Lozenges » – Distillé le 4 avril 1995, 223 bouteilles.

André 91%
Médicinal mais endormi et les mains ligotées au lit (d’hôpital). Yaourt à la vanille un peu tourbée, encore la mer et le sel de mer, les filets de pêche séchant au soleil, la savate noire. Bouche baveuse et alcoolisée, puissante. Médicinal et bord de mer, sel en fond de bouche, noix, vanille. Finale soutenue, qui s’étire en longueur, alcool puissant sans autres saveurs que celles livrées précédemment. Encore une fois distinctif et dans la ligne de la distillerie. J’adore.

Patrick 93%
Si vous n’aimez pas Laphroaig, vous allez détester.  Si par contre vous êtes fan de la distillerie, vous ne sauriez vous en passer, quelqu’en soit le prix.  Nez: Ça sent le yâble comme on aime ça!!  Algues, cendres, médicaments et fruits de mer pas frais bref, tout ce qu’on aime chez Laphroaig!  Bouche : Les fruits de mer pas frais, les algues et le sel.  Puis, un peu de sable, d’anis et de cassonade.  Finale : Très longue, mais on la voudrait encore plus longue!

Martin 91.5%
Très pâle paille, mais bien expliqué par sa tourbe et son fût de provenance. Nez: La tourbe à laquelle on s’attendait semble ici endormie, pour laisser place aux algues salées et aux coquilles de crabe séchées à l’aube sur une plage du Maine. Quelques fruits veulent briller, mais on les sent aussi paresseux que la tourbe. Bouche: Belle présence de cuir sucré et de caramel salé. Vanille et fruits juteux se battent pour le spotlight avant d’être balayés par une vague épicée d’une puissance à la hauteur de Poseidon. Genre tassez-vous, je débarque. Finale: Toujours le puissant alcool et les épices qui dominent, malgré qu’on a quand même droit ici à un petit retour de la tourbe fruitée et peut-être même à une point d’orge. Équilibre: Un excellent scotch, bien qu’on comprenne un peu pourquoi Laphroaig l’a laissé aller. Si on s’arrête à son nez réducteur, on passe à côté d’un beau plaisir.

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