59.8% alc./vol.
“Oven-Ready Moomin” – Distillé le 9 mai 2012, âgé en fûts de xérès de premier remplissage – 622 bouteilles
André 84%
Sherry avec un boisé bizarre presque off-key. Pommes caramel, prunes, figues et vieux cuir humide. La bouche est épicée et s’accompagne d’un mélange de cassonade-caramel-chocolat, de prunes, raisins secs, cuir et terre humide, ensemble presque âcre. De bonnes épices apparaissent à l’ingestion. Ça s’améliore en respirant mais sans devenir un single malt unique. La finale est franche, épicée et à saveur de raisins amers, de warehouse humide.
Patrick 93%
Après y avoir goûté, je m’en suis commandé une bouteille sur-le-champ! Merci Alexandre pour la belle découverte! Nez : Superbe, avec de beaux fruits sucrés, des pommes au caramel, du chocolat au lait et des mangues. Bouche : Du beau xérès fruité et du chocolat, avec des pommes au caramel et un peu de mangue. Simple et rudement efficace, le tout est porté par une superbe texture huileuse. Finale : D’une superbe longueur, sucrée et fruitée. 2e Tasting: 90% GlenAllachie, SMWS et xérès, c’est le genre d’achat que si tu hésites un instant, c’est trop tard, c’est parti! Nez : Du délicieux xérès savoureux, plein de beaux fruits mûrs, de crème brûlée et de pommes. Bouche : Du beau xérès chaleureux, avec des prunes, des figues, un peu de cuir, une touche minérale, de discrètes épices et quelques gouttes de café noir. Finale : D’une belle longueur, fruitée et boisée.
Martin 86%
Nez: Sherry et bois sec, raisins, tarte aux pommes, caramel, cuir, chocolat, fruits frais. Bien dosé, l’alcool prend le siège arrière. Bouche: Belle texture juste assez huileuse pour transporter les saveurs. Épices, dattes, raisins secs en puissance. Pommes confites, gingembre, cannelle et poivre rose. Finale: Chaude, longue et ultra-épicée. Raisins secs et bois humide gorgé de sherry. Touche de craie en fin de parcours. Équilibre: Un dram exceptionnel, avec comme seule ombre au tableau une pointe de minéralité qui rend le reste de la dégustation un peu pouet-pouet-sac-à-pet. Loin d’être mauvais certain, juste un grand potentiel sous-utilisé. Dommage, quand c’était si bien parti.