Glenfiddich 15 ans Solera Reserve

40% alc./vol.

André 86%
Frais, très frais… et fruité, un peu floral, petit fond de cannelle, pomme??? Je l’aime beaucoup, il est pas trop intense; chocolat; bon malt d’initiation.

Patrick 85%
Floral très sucré, enveloppe bien la bouche; chocolat, cacao. 2ème dégustation 82%: poires, poires, poires, fonds de chocolat. Sucré.

Martin 88%
Beau coloris de “Pledge” doré. Nez: Pommes fraîches et croquantes avec bâtons de cannelle. Chêne, miel, clou de girofle et amandes. Très prometteur. Bouche: Huileux, sirop de caramel, pommes et poires, amandes, touffe et épices, particulièrement la cannelle. Rappelle une croustade aux pommes noyée dans le coulis au caramel, sans oublier sa boule de crème glacée on the side. Finale: Plaisante et épicée, criante de cannelle et de muscade, de chêne gorgé de cidre et d’amandes. Réconfortant. Équilibre: Absolument killer pour son âge. Je ne sais pas trop quelle sorcellerie ils exercent dans leurs “solera vats”, mais ça marche en ciboire.

Kim 85%
De grosses effluves de caramel, vanille, sucre, pouding chômeur se dégagent de mon verre. Au goût ,j’ai l’impression de lécher une planche de bois recouverte de caramel. Il offre une belle rondeur, un goût de dattes et de cassonade, mais avec une forte charpente boisée. Idéal pour un débutant farouche, mais rien de spectaculaire.

RV 81%
Fleurs de trèfle (sucré), beurre, très lointain épicé qui revient en finale, se réparti bien dans la bouche. Comme un GI Joe fondu dans la gravelle. Poires, mures sauvages? Chocolat. Fruits (baies) sauvages murs dans la bouche.

Glenfiddich 15 ans 102 Proof

51% alc./vol.

André 85%
Étonnamment plus arrondi que l’édition régulière. L’effet du boisé est très présente, le fruité d’une belle générosité. Le nez est plus agressif et soutenu. Sherry et boisé, chocolat noir, les dattes et la vanille, la bouche très agréable, une belle mixture bien balancée soutenue par la vague d’alcool qui fait exploser le tout en bouche. Cette même vague est rapidement calmée en finale par le sherry, le chocolat et les essences de vanille. Une belle découverte que l’on aimerait voir disponible au Québec.

RV 86.5%
Les pommes de cire, le whack-a-mole, les manèges pas tout à fait réglo; bizarre mais invitant (sauf la femme à barbe). Le Glenfiddich affublé d’une tenue de sucre et de miel de trèfle, over the hills and far away. En bouche, le toffee domine de concert avec le caramel brûlé, avant que la fleur alcoolisée ne s’empare du trône. La finale reste elle aussi atypique en conservant un sucre bien dosée et un souvenir de toile de vinyle de cirque. Aller savoir… mais quand c’est bon…

Patrick 90%
Parfum de malt et fruits mûrs. En bouche, un côté épicé est marié avec un côté raisin par un sucre très agréable et un soupçon de fleurs. La finale est sucrée et intense. Très bien équilibré, à un taux d’alcool idéal, le Glenfiddich que j’attendais depuis longtemps.

Glenfiddich 14 ans Rich Oak

40% alc./vol.
Neuf années d’un apprentissage exigeant auprès de David Stewart, son prédécesseur, auront permis à Brian Kinsman de devenir le 6ème maître de chais Glenfiddich. Et pour sa première création, il ose bouleverser le petit monde du whisky, en proposant un Single Malt fini en fûts de chêne neufs. Cette finition délicate en fûts de chêne neufs, américains et espagnols, est une première. Pourtant, Brian Kinsman a su préserver la légèreté et la richesse de nuances caractéristiques des Single Malts Glenfiddich.

André 91%
Wood finish au visuel et à l’olfactif…et en bouche. Fumée sucrée, raisins blancs, sucre de bois. En bouche, ce sont plus les zeste d’oranges et les fruits confits qui apparaissent avec ferveur. L’alcool est plus relevé en bouche, et on ne devinerait jamais qu’il est seulement embouteillé à 40% d’alcool, l’effet en bouche est plus soutenu qu’un single malt habituellement embouteillé à ce degré d’alcool. La finale est clean, sur des notes de sucre en cube et de bois. Ça sent la naïveté du whisky livré « tel quel », parce que le résultat donné après la maturation était plus qu’à la hauteur. À la différence des derniers embouteillages de Glenmorangie, où même si les notes présentées ici sont du même acabit et le résultat en bouche du même genre, celui-ci ne sent pas « l’arrangé » et le défini mais plus la naïveté du résultat inattendu tout en étant superbe.

Patrick 90%
Chêne et épices au nez. Définitivement boisé, il semble très bien porter son nom. En bouche, la texture est riche et huileuse, et le goût offre un agréable mélange d’épices, de cannelle et de cassonade, le tout marié par un chêne puissant et une touche de vanille. La finale s’étire agréablement longtemps, ce qui est une belle surprise. Le mélange est parfait, l’équilibre atteint, et il est idéal autant en mode « dégustation » qu’en mode « j’ai soif! », le tout pour un rapport qualité/prix qui devient de plus en plus rare! Me rappelle le whisky bu directement au fût, ce qui est plutôt rare, encore plus compte tenu de son taux d’alcool.

Martin 89.5%
Ambre riche et précieux comme un rayon de miel doré. Nez: Le fût de chêne saute au nez, suivi de malt grillé, de beurre fondu et de caramel. Légères épices, avec fruits et fumée de bois. Bouche: Texture assez riche et empreinte de chêne grillé. Douces épices, muscade, cannelle et poivre blanc, qui fondent en bouche comme du beurre. Caramel salé. Finale: Moyennement longue sur vanille, épices et miel. Équilibre: Une incroyable marche de plus sur le Glenfidich 12 ans, en plus à un prix qui ne ruinera pas beaucoup de gens. Un petit 3% d’alcool de plus les mecs?

RV 86%
Glenmorangie, n’est-ce pas? Au nez, c’est le bois et le miel, un peu vert dans les deux cas. L’arrivée se poursuit dans la même mode, alors que les deux opposants s’offrent des volées franches et sucrées. En finale, le bois remporte le point avec un goût de beam de pin fraîchement coupée. À la manière du regretté Artisan Cask mais en moins élégant, s’il avait été Glenmorangie il aurait probablement perdu quelque points au niveau de l’originalité, mais venant de Glenfiddich et à un prix comparable à l’infecte Special Reserve, il s’agit d’un choix beaucoup plus judicieux.

Glenfiddich Caoran Reserve Peated (ancien embouteillage)

40% alc./vol.
Le Caoran (prononcer Kou-Rane) résulte de l’assemblage de fûts de bourbon, de fûts de sherry et de quelques fûts ayant préalablement contenu des malts d’Islay.

André 79%
La célébrité n’est pas nécessairement gage de succès. Le nez est incroyablement doux et passablement fruité, avec un côté effervescent pas désagréable du tout. Si la tourbe est là, elle est bien discrète. Céréales Puff saupoudrées de sucre, de vanille, un peu de boisson à l’orange Fanta. La bouche est inexpressive et nous refroidit pas mal, surtout qu’au nez il semblait invitant. Texture plate et molle où la fine tourbe demeure bien cachée en laissant l’avant-scène aux fruits qui ont déjà perdu de leur vitalité. Finale pétillante mais sans originalité. Un whisky que j’aurais pu simplement sentir sans m’en abreuver.

RV 78%
Un appel a personne. Nez insipide, qui demande une grande inspiration pour ne serait-ce qu’un peu de grain trop standard. L’Irlande – le cote ennuyant de ses whiskies – se poursuit en bouche, alors que les secondes s’écoulent et que n’arrive pas grand-chose; rien en fait. La finale est a mi-chemin entre le Canada et l’Écosse, disparu dans une mer liquide et fade. Une bouteille lancée pour on ne sait quelle raison. / 2eme tasting 84% Crasseux, la cendre de cigarettes d’un bingo illégal de p’tits vieux dans Hochelaga-Maisonneuve. En bouche, vraiment surprenant, c’est un peu le Glenfiddich Special Reserve qu’on retrouve, si ce n’est qu’affublé d’une légère fumée de cigare. La fumée revient en finale, pour ensuite migrer vers les épices en aftertaste. Toute une surprise quand on est habitué aux insipides Special Reserve et 18YO de la distillerie, un risque très intéressant lorsqu’on arrive à la croiser.

Patrick 86%
Cendres, épices, paradoxalement très doux pour les saveurs que l’on y retrouve. J’aime le mélange cendre-épice et douceur. Dommage et incompréhensible qu’il soit si dur à trouver.

Glenfarclas 40 ans

46% alc./vol.

André 87%
Forte arrivée à l’odeur de vernis à bois qui nécessite de le laisser respirer longuement avant d’en libérer les secrets et là, il s’avère très différent; raisins secs trempés dans le chocolat, cerises, caramel, bois du fût imprégné de sherry, cire d’abeille. Le sherry moins subtil en bouche mais tout en étant plus envahissant. La texture est maintenant plus huileuse mais très rectiligne au niveau des arômes car fortement dominé par le sherry et un côté “cerisé”. La finale est un peu courte, offrant caramel brûlé et un bon boisé.

RV 88%
Un meuble qui à défaut d’être extravagant, est très bien entretenu et qui a conservé son lustre. Bois très profond, l’âge et la classe se font immédiatement sentir malgré les arômes distinctivement fruités de la distillerie. L’arrivée est à mi-chemin entre le caramel et le bois, mais en finale, c’est la ripe, l’écorce les épines et les branches qui fouettent le palais. Peut-être un peu trop réservé en aftertaste, mais bien équilibré. D’accord, peut-être que l’attente ne valait pas financièrement le coup, tout comme son prix respectable mais quand même élevé, or ça reste vraiment très bien au niveau gustatif.

Patrick 91%
Raisins et fruits très marqués au nez accompagnés d’un chaleureux boisé « ciré ». L’arrivée en bouche est particulièrement agréable. Riche, chaleureuse, fruité, épicée, boisée avec une petite touche de fumée, avec un délicat mélange de chocolat noir et de caramel qui marie admirablement l’ensemble. Mais quel ensemble ! Vraiment exquis et riche en saveur, un whisky de la plus grande qualité! La finale, tout autant chaleureuse, s’allonge agréablement à notre plus grand plaisir. Un chef d’œuvre de complexité et d’harmonie dans le style « whisky chaleureux ayant vieillit dans le xérès ».

Glenfarclas 31 ans 1974 Cask Strength

57% alc./vol.

André 89.5%
Passer plus de 30 ans dans un fût de sherry ne se fait pas sans laisser de traces. Ça sent le bois gorgé et transpercé par le xérès. Un whisky lourd et costaud au nez. Du caramel, un nez amplement fruité (raisins secs principalement) cintré de bois de chêne assaisonné de sherry. Cette valse fruitée se poursuit en bouche sur la pâte de fruits et les raisins secs, en se présentant sous forme de texture liquoreuse fortement sucrée. Étant amateur d’affinage en fût de sherry, cette version comble mon amour pour ce type de finition. Les raisins se modifient un peu par la suite pour prendre un petit côté poudreux qui me fait penser au Kool Aid à saveur de raisins avec, en arrière-plan, une base résineuse. L’alcool s’est effacée presque complètement et le 57% d’alcool est presque imperceptible. Il se niche exclusivement en gorge et disparait de la bouche, confirmant un whisky d’âge respectable. Notre attente sera récompensée et la maturation de 31 ans aura porté fruit. Superbe ! … en autant que l’on aime les whisky puissant en sherry / xérès.

Patrick 79%
Nez suave, bois brûlé, fruits mûrs et touche d’agrumes. En bouche, caramel herbeux, touche de menthe, métal. Finale boisée intense et vanille. Ensemble de saveurs plutôt bizarre. Saveurs trop riches et, je me répète, bizarres.

Glenfarclas 15 ans

43% alc./vol.

André 84%
Très raisin, me rappelle le sac de Kool-aid qu’il fallait mélanger avec de l’eau. En bouche très clair et pas très huileux, très liquide, sherry et raisins très présents. Pas désagréable du tout mais loin d’être inoubliable pour le prix payé.

Patrick 84%
Nez ordinaire mais goût super. Explosion de saveurs. Caramboles du Brésil, papayes, fruits tropicaux. Arrière goût de sherry. Un peu décevant pour le prix mais quand même intéressant.

Martin 87%
Ambré orangé à la terre de sienne. Nez: Raisin, chapelure de biscuits graham, cassonade, dattes, cannelle, muscade, subtil clou de girofle. Xérès juteux et mature. Latte de chêne trempée dans le miel. Bouche: Fruité et sucré au départ, ensuite les épices savoureuses du xérès embarquent assez rapidement et nous font voyager sur de belles pointes de bois et de raisins secs. Vin rouge, cerise et frangipane aux amandes. Finale: Sherry cask et poussière sur une bonne longueur qui saura nous garder au chaud lors des pires tempêtes de janvier. Cerise et encore cerise. Chocolat noir. Équilibre: Un grand sherry bomb digne de ce nom, et un whisky à stocker ne serait-ce pour son prix par rapport à sa mention d’âge.

RV 80%
Une toile avec une belle scène d’arrière-plan gâchée par une tempête de coups de pinceaux et de vernis qui rend l’ensemble loin d’être réussi. Très bel équilibre au nez, avec un juste milieu entre le bois et le raisin encore une fois très caractéristique, quoique peut-être plus sucré qu’à l’habitude. L’arrivée est tranquille, en pente ascendante, mais seul du bois vineux l’accompagne et triomphe en finale avec du foin brulé détrempé. Dommage, tout avait si bien commencé avec un beau nez et une bonne attaque, mais quand ça se termine en pagaille totale…

Glenfarclas 21 ans

43% alc./vol.

André 85%
Abondamment fruité avec toujours cette grappe de raisins frais au nez, le sherry, les pommes et une insolente touche de fumée. J’aime la simplicité complexe des Glenfarclas, ce côté fruits frais estival, le sherry pétillant. Il ne faut pas se laisser aller au seul fait de son arrivée en bouche fluide et épurée car la livraison de fruits est abondante en bouche, le chocolat noir en addition chevauchant cette belle vague d’alcool étonnamment relevée d’ailleurs. Finale sur les fruits, jus de raisins et les grains d’orge. Longueur plus qu’appréciable surtout pour des saveurs si fraiches et légères.

Patrick 87%
Un très bon whisky, qui gagnerait à être embouteillé à un taux un peu supérieur pour lui permettre de montrer ses vraies qualités. Nez : Raisins mûrs, chêne et épices très subtiles. Bouche : De belles saveurs sucrées et fruités où le raisin domine, le tout enrobé de chocolat et de caramel. La sensation en bouche fait penser à des céréales pétillantes. Finale : D’une longueur moyenne et chaleureuse.

Martin 84.5%
Nez: Le sherry cask discret est au rendez-vous. Raisins secs, vin, toffee et pelure d’orange. Touche de noix et de cacao, de fleurs et de petits fruits rouges. Malt grillé et bois sec pour arrondir le tout. Bouche: Miel et cuir, belles saveurs sucrées et à peine fumées, mais la texture laisse à désirer. Un peu de fumée, d’épices et de bois pour finir. Finale: Longue et chaude, bien garnie des saveurs exprimées précédemment. Équilibre: Habituellement on aime bien que l’âge d’un whisky ait adouci son parcours de saveurs fortes, mais ici on y est allé un peu fort. Peut-être qu’en embouteillant à 46% on aurait pu sauver les meubles.

RV 83%
Vente en vrac. Très présent olfactivement, rempli d’odeurs connues et conventionnelles. quoiqu’exacerbées d’une touche verte. Moite en bouche, le malt reste suspendu au-dessus de la langue avant d’y pénétrer lentement tout en la piquant. Ce whisky se conclut encore une fois de manière conventionnelle avec du Dalmore et du Glendronach, avec un caramel trop brûlé qui semble davantage appuyer la couleur que le goût. Le nez est bien; la sensation sur la langue est bien aussi; mais ça ne reste qu’un whisky bien.

Glenfarclas 17 ans

40% alc./vol.

André 85%
Plus frais au nez, avec des pointes de tranches d’ananas et de fruits confits – encore une fois – et de sherry, mais cette fois-ci de manière plus pausée. Les épices sont toujours présentes mais jouent leur rôle plus en sourdine. Une fois en bouche, il s’est arrondi (un peu trop à mon goût) et perd de sa vigueur, s’étant un peu trop assagit. Une fois ingurgité par contre, l’alcool semble plus fort et engourdit et picote la langue de façon surprenante. La rétro est plus épicée et boisée que fruitée et la sensation sur la langue est toujours d’une belle longueur. L’épine dorsale de Glenfarclas (sherry, épices, fruits) y est toujours mais de façon fortement différente.

RV 84%
Là pour tenter de corriger les erreurs du passé (le 15YO)? Un autre Glenfarclas dans le même ton, avec le raisin un peu plus effacé derrière une sensation olfactive de cuivre. En bouche, il doit reposer longtemps avec qu’il ne goûte quelque chose de plus typé qu’un alcool générique, mais la finale, avec cette fois-ci un raisin un peu plus vineux, est la bienvenue, et laisse un goût apaisant.

Patrick 85%
Il faut reconnaître une chose à Glenfarclas : Quand on aime le style, peu importe quelle bouteille on prend, on est jamais dépaysé. La distillerie a un style propre et ne s’en écarte guère. Arôme de fruits confits épicés et légèrement brûlés. Au goût, vanille, raisins, fruits confits, léger chêne. La finale manque un peu d’intensité mais compense par une belle longueur, une belle texture et une rare complexité : marquée par le xérès, les épices, le raisin et bois. Un beau rapport âge/prix.

Glenfarclas 15 ans

46% alc./vol.
Ce Speyside est vieilli dans des fûts ayant contenu du sherry.

André 89.5%
Baiser de fruits secs, sucre brûlé caramel écossais. Bouche à saveur de raisins secs, de rhum fortement sucré. La finale change le ton par ses épices et offre une longueur très surprenante. Vraiment bien et un rapport qualité-prix comme il reste fort peu.

RV 82.5%
Glenfarclas avec un masque de bois qui cache trop ses traits caractéristiques. Au nez, on replonge encore dans le raisin sec, cette fois-ci davantage boisé, avec peu d’essences mais beaucoup de tannins. Il tarde à livrer en bouche, et goûte davantage les feuilles que les raisins. La finale est dans le même équilibre, mais je suis tiraillé entre les belles notes de bois et le fait que le raisin n’est pas assez fort. Mais bon, puisqu’en aftertaste le raisin se détecte un peu, je ne peux pas le trouver mauvais, mais il aurait pu être meilleur. Honnête, un peu trop dispendieuse mais vaut la peine d’être essayée.

Patrick 88%
Huileux et enrobant, bien balancé. Tout y est, un nez où perce la fumée et la tourbe à travers une dominance de sherry et les fruits confits. En bouche, le sherry prend beaucoup de place et la fumée suit pas loin derrière. Texture agréable et bonne persistance. Jamais déçu par ce scotch.