45.1% alc./vol.
Distillé en 1933 à la Distillerie Bernhein et entreposé à la distillerie Stitzel-Weller.
André 82%
Bois brûlé, réglisse et pomme caramel, cèdre rouge, chandelle de cire, clou de girofle, épices des Caraïbes, touche de solvant à peinture. La bouche est remplie de cerises noires, grosses notes de bois carbonisé, très poivrée et épicée aussi, caramel brûlé. Je suis étonné que le bois brûlé ait autant monopolisé la bouche. J’espérait quelque chose de beaucoup plus doux et raffiné. La texture est elle aussi decevante, diluée et sans côté gras ou huileux. Finale moyenne en longueur, relevée par les épices et le poivre, réglisse et bois calciné.
Patrick 84%
Un bon whiskey, et sans grande surprise compte tenu de son âge, plutôt boisé. Nez: Du chêne sucré, du cuir, un peu de vanille, une touche de caramel et une goutte de miel. Bouche: Beaucoup de bois sec et brûlé, une bonne dose d’épices et du chocolat noir. Finale: D’une longueur moyenne, et bien boisée.
Martin 85.5%
Nez: Le caramel chauffé et le bois carbonisé sont les premiers arômes qui nous prennent d’assaut. Poivre noir, rhum, sucre brun et fruits secs. Bouche: Maïs lointain, vanille et bois brûlé. Sucre en poudre et eau d’érable. Poivre et cannelle en puissance. Le bois fait un retour en fin de bouche. Une bonne montagne russe de saveurs intenses. Le degré d’alcool parait plus fort qu’en réalité. Finale: On redescend un peu du nuage, tranquillement sur la planche de bois brûlé, avec les fruits secs, la cerise, la vanille et le maïs. La sécheresse en bouche domine è la fin. Équilibre: Un bourbon à première impression bien agréable, ou à dominance de chêne, mais aussi avec de belles saveurs sucrées et fruitées. La finale laisse un peu sur notre appétit, surtout avec les attentes élevées que peuvent être attendues d’un whisky de cet âge. Je ne cracherais pas toutefois sur une bouteille.