57.9% alc./vol.
André 89%
Culture de framboises dans un champs de tourbe. Pansements et antiseptique, asphalte chaude après la pluie, phénolique et médicinal, sel de mer, oranges et framboises. La bouche est riche et généreuse, la texture souple mais sans support gras ou huileux. Le tout demeure tout de même très agréable. Les notes de phénol et d’antiseptique explosent en bouche et s’allie à la vague d’alcool. Ananas flambé, oranges, framboises, vanille, citron, poires. Savoureux. J’ai une teinte herbeuse au fil des gorgées subséquentes, le sel de mer aussi colle en bouche. La finale est tourbée et phénolique, assaisonnée d’anis et de poivre, eucalyptus, médicinale comme on l’aime.
Patrick 90%
Un beau Laphroaig intense et crasseux comme j’aime. Encore une valeur sûre! Nez : De la fumée de tourbe, du goudron, des agrumes, du sel et une touche sucrée très discrète. Bouche : Intense, avec de la fumée de tourbe enveloppante, du sel omniprésent, de la cendre et une note de sucre d’orge. Finale : D’une belle longueur, marquée par la fumée de tourbe et le sel.
Martin 91%
Nez: Les fruits des champs semblent vouloir damer le pion à la tourbe classique de la distillerie. Mais tel une éclaircie après la pluie, on retrouve rapidement la belle tourbe phénolique et les embruns marins propres à nos attentes envers un Laphroaig. Oranges et sucre blanc viennent compléter l’équipe. Bouche: Vanille, cassonade et sucre granulé. Quelques fruits rouges avec une touche de bois viennent attendre la tourbe crasseuse, et personne ne sera déçu sur ce plan-là. Finale: Pas de pointe d’anxiété à l’horizon, toutes les saveurs nous tiennent ici par la main pour terminer l’expérience en beauté et en douceur. Équilibre: Un embouteillage d’exception, un dram fumé, fruité, fort et doux à la fois, un bel exemple comme quoi une distillerie peut jouer sur de multiples tableaux à la fois avec un rendu exceptionnel. Bravo.