43% alc./vol.
Une édition limitée de la marque Jack Daniel’s No. 7, White Rabbit célèbre le 120ème anniversaire de la fondation du Saloon du même nom, le tout premier bar au monde à proposer Jack Daniel’s à ses clients. Avant que Lynchburg ne devienne un « dry county », Mr Jack ouvrait en 1892 deux bars: le White Rabbit Saloon & le Red Dog Saloon. Le White Rabbit Saloon était un lieu où les clients côtoyaient Mr Jack et ses amis, dans une atmosphère détendue. Lem, le neveu de Mr Jack, reprit le bar de son oncle et perpétua la tradition en ouvrant d’autres saloons dans les villes environnantes jusqu’au début de la Prohibition, où il fut contraint de cesser ses activités. Fermé en 1909, le White Rabbit n’a jamais ré ouvert. Cette version sera suivie d’une deuxième, Red Dog, créée pour célébrer l’histoire d’un autre saloon fondé par Jack Daniel.
André 81.5%
Vanille et caramel, bananes, un peu d’épices. Bouche d’une extrême douceur, la vanille en avant-plan, le miel aussi et la banane qui s’était pointé au nez. Les épices et l’alcool se ressentent bien en bouche aussi, la texture par contre manque de consistance et de cohésion. Finale bizarre de bacon à l’érable et de vanille. À la limite, pourrait passer pour un whisky aromatisé. Le lapin peut retourner dans son chapeau.
Patrick 86%
Nez : Huileux, cerises, cassonade et touche de chêne brûlé. Semble plus intense que le régulier. Bouche : Cerise, caramel maïs et chêne brûlé! Le tout avec une belle note de chêne et de toasts brûlé. Finale : Toast brûlées et quelques épices. Une belle longueur. Balance : Pas de doute, c’est du Jack! Très semblable à l’édition régulière, mais plus intense. Bref, j’aime un peu plus. A ce prix-là, aucune raison de s’en priver.