40% alc./vol.
André 83%
Nez habituel fruité à la signature de Glenrothes, avec ce petit côté poussiéreux que l’on retrouvait dans les anciens embouteillages. Pruneaux et raisins secs, un peu de discrètes épices. Belle douceur en bouche, encore les fruits; oranges, fruits secs, toffee. Finale en pente douce, sans éléments supplémentaires à ceux présentés précédemment au nez et en bouche. Un Glenrothes représentatif sans hauts faits d’arme et aussi sans ratés.
Patrick 87%
Beaux fruits au nez, chêne… Définitivement vieilli en fut de xérès. En bouche, les fruits et le xérès prennent énormément de place. Une touche d’épices et de poivre vient lui donner un peu plus de profondeur. En finale, le chêne revient en force et s’étire moyennement. Un très bon whisky qui gagnerait à être embouteillé à un taux d’alcool plus élevé.
RV 88%
Est-ce que le master distiller s’en tient à son style par prudence ou assurance? C’est l’orange du Glenrothes, encore plus en version marmelade que les autres éditions. L’arrivée est large, puissante, une immense orange lisse et confite ayant écrabouillé un peu de menthe. On conclut le tout par du concentré d’oranges, légèrement brûlé par son caramel mais aucunement par le chêne du baril. L’orange est un peu trop en focus dans cette version, mais chose certaine, elle est délicieuse.
Eli 81%
Une odeur d’orge qui n’accompagne pas le goût. Une pincée de sucre…plus de type « Splenda » cependant. C’est très sérieux et austère. Une finition qui manque d’amour et de réconfort. C’est très « eau » inspiré. Ce n’est pas surprenant du début à la fin. Il s’ouvre avec le temps, comme ça devrait être et à ce moment ont remarque un tantinet de fruit qui se rapproche plus de la datte. La sensation de la fibre de la datte qui reste dans les joues.