Glenmorangie – A Tale of the Forest

46% alc./vol.
Le séchage de l’orge avec des plantes était une pratique courante et Glenmorangie l’a fait revivre ici après une série d’expériences. Des baies de genévrier, de l’écorce de bouleau et des fleurs de bruyère, ainsi qu’un peu de tourbe ont été utilisés pour cuire l’orge au four afin de créer un Glenmorangie « aussi luxuriant et feuillu que la forêt elle-même », selon les mots du Dr Lumsden. Le whisky dans des fûts de bourbon comprenant de nombreux Refill Casks.

André 82%
Oranges, anis et vanille au départ, une touche citronnée et végétale également. Les tonalités boisées sont importantes. La bouche est boisée et herbacée, bois de chêne séché, fruits tropicaux, citron, abricots, oranges, gazon fraichement toudu. La bouche est relevée et épicée, la texture est un peu quelconque. La finale est sèche, poivrée et gorgée de fruits tropicaux. Un bon whisky, juste sans particularité et aucune singularité.

Patrick 92%
J’ai attendu plus de 15 mois pour écrire cette évaluation tellement ce whisky est déconcertant. Un scotch extraordinaire comme je n’en ai jamais vu, à mi-chemin entre un gin et un scotch. Extraordinaire ! Nez : De l’herbe fumée, du genévrier, de la coriandre, de l’écorce de bouleau, de la bruyère, du pin, de l’eucalyptus et de l’orange amère. Envoûtant ! Bouche : De la fumée, du chêne, une touche sucrée subtile, avec du genévrier, de l’écorce de bouleau, du pin, de la bruyère, de l’eucalyptus, de l’orange amère, de la coriandre et une belle note sucrée, ainsi qu’une délicieuse texture huileuse, nous rappelant qu’il s’agit bel et bien d’un scotch et non d’un gin ! Finale : D’une belle longueur, boisée, herbeuse et sucrée. 

Martin 85%
Nez: Fumé, floral et herbeux. Définitivement hors normes. Genevrier, eucalyptus, anis même. Quelques fruits avec un peu de cassonade. Bouche: Ample texture, on y ajoute sucre brun, raisins, cuir fumé, herbe, chocolat noir, mûres et root beer. Touche de lavande? Finale: Épices, cacao, raisins, cuir et touche forestière. Équilibre: Un dram disons unique, on croirait le rejeton bâtard du scotch et du gin. On arrête pas le progrès.

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