55.3% alc./vol.
André 83%
Deux pelletées de raisins secs… et une poignée de cosses d’oranges. Chocolat noir et gingembre. Odeur un peu bizarre difficile à cerner, cela ressemble à des saveurs de céréales macérées. La bouche est soutenue, les épices de bonnes force et l’alcool aussi. Raisins secs, fruits cake, beaucoup d’épices, cerises noires, suivies d’oranges et de chocolat avec comme toile de fond les céréales maltées un peu surchauffées. Praline ou marzipan peut-être. Finale poivrée, épicée et de moue de bière. Un profil aromatique singulier tout comme la plupart des Deanston. Pour les hardcore sherry fans.
Patrick 78%
Pas mauvais, mais plus étrange que vraiment bon. Me fait penser à un Slyrs de 8 ans (une micro-distillerie bavaroise), un whisky que j’avais qualifié de « prometteur ». Eh bien, ici, après 20 ans de vieillissement, il semble que les promesses n’ont pas été tenues. Nez : Au premier abord, c’est plutôt surprenant. Puis, après l’avoir laissé respirer et y avoir un peu réfléchit, j’y trouve des zestes d’orange, des raisins secs et du chocolat noir. Mais ça demeure surtout un peu bizarre. Bouche : Vin épicé intense, du sucre brûlé évoluant vers une bonne amertume, des raisins secs et du chocolat très amer. Le tout ayant un peu trop chauffé et coller dans le fond du chaudron. Finale : D’une belle longueur, et marquée par l’amertume du chocolat noir.