40% alc./vol.
Patrick 80%
Nez : Puissant zeste d’orange qui nous vient sans surprise compte tenu du nom. Et encore! Le zeste est vraiment intense! Donc, zeste d’orange, clou de girofle et un peu d’écorces qui commencent à moisir. Bouche : Zeste d’orange, chêne… Goûte un peu l’eau. Finale : Longue, mais aqueuse. Balance : Pffff… Je crois qu’il s’agit d’un bon produit, mais je ne suis pas amateur du genre, et je ne fais pas partie du public cible. Je n’ai pas été capable de finir mon verre d’une demi-once. Bof.
Martin 76%
Couleur jaune assez pâle, et surtout assez bien dissimulée par le brun de sa bouteille. Nez: Vague d’Orange Crush en pleine face. C’en est presque pétillant.Touche de bois mouillé et de clou de girofle, mais ça reste envahi de liqueur (dans le sens de soda) à l’orange. Bouche: Doux au début, avec une légère vanille qui se fait rapidement étouffer par un zeste d’orange qui, allié au taux d’alcool, nous replonge net-sec dans l’orangeade. On aurait d’ailleurs aussi bien pu appeler ça Orangeade et non Orangerie… Finale: Gâteau à l’orange qui s’estompe dans le fond d’un gallon de Sunny-D. Je ne déteste pas l’orange dans la vie de tous les jours, mais là c’est un peu trop toquant à nom goût. On dirait des vitamines pour enfant. Équilibre: Je peux comprendre que ça irait bien avec un bout de chocolat ou de gâteau Opéra au dessert, mais je ne peux vraiment pas appeler ça un whisky, et personne ne le peut non plus, légalement du moins. C’est ce qui explique un peu aussi mon ambivalence face à quelle note conférer à l’Orangerie. Je ne peux pas lui donner une bonne note pour la même raison que je ne peux pas lui donner une note de merde, ce n’est pas du whisky. Point final. Expérience tout de même amusante.