64% alc./vol.
Distillé en 2009.
André 84.5%
Fumée de tourbe souple mais puissante, raisins verts séchés, maritime et affichant sans gêne ses origines. Notes d’agrumes et de suie, beaucoup d’influences tirées du fût de bourbon. Je trouve le whisky plutôt rectiligne côté saveurs et le puissant taux d’alcool ferme beaucoup des arômes plus subtils. La bouche est caramélisée, mielleuse et vanillée, sans délaisser sa tourbe omniprésente. On perçoit aussi les saveurs provenant des céréales. Malgré sa texture huileuse, le whisky est franc et tranché. La finale est moyenne-longue, portée par les salves de fumée de tourbe, le feu de pneus brûlés et d’abondantes coulées de miel.
Patrick 75%
Ca commence bien, puis ça devient malpropre, mais genre vraiment trop. D’ailleurs, un vestiaire de hockey après les séries doit sentir meilleur. Tout de même moins pire qu’un jackstrap usagé, mais reste que je me suis tout de même posé la question et que la réponse ne fut pas évidente. Nez : Ok, pas de surprise, tourbe, tourbe et tourbe. Et touche de cacao. Et aussi quelque chose de malpropre. Malpropre comme quelqu’un qui ne s’est pas lavé depuis trop longtemps (imaginez un prisonnier dans une prison du tiers-monde). Bouche : Tourbe et toujours le prisonnier malpropre. Bref, mélange de tourbe, de sueur sale et de poche de hockey d’après-séries. Finale : Longue et malpropre.