50% alc./vol.
André 84%
Fût de port/sherry bien en évidence mais n’impressionne pas de par sa finesse et sa rondeur et l’apport fruité habituellement présent dans de tels embouteillages. Les fruits, gâteau aux fruits, des épices, cerises marasquin, fond de chocolat et de brown sugar, cannelle. La qualité du fût laisse à désirer, il y a un fond de sherry oxydé pas agréable qui refait continuellement surface en bouche. Le whisky sera plus pointu en finale, les épices prendront de la force ce qui accentuera le taux d’alcool. La longueur en bénéficiera et sera de bonne longueur mais qui n’apportera rien de plus que senti et goûté précédemment.
Patrick 82%
Nez : Porto, chêne et céréales. Bouche : Une belle chaleur, fruits intenses et chêne. Finale : Assez longue et chaleureuse. Balance : Bien, mais sans plus.
Martin 86%
Très riche ton de roux absolu. Nez: On y découvre peu à peu des effluves de fruits séchés, de dattes et d’épices, encore une fois proches du xérès, même si l’on sait pertinemment que la finition est faite en fûtailles de porto. Bouche: On reste dans les fruits, mais confits cette fois-ci, toujours avec des dattes et des pruneaux épicés en puissance. Le chêne et l’orge continuent toutefois à chevaucher le tout avec grande aisance. Finale: Moyennement longue mais combien chaude, sur des notes d’agrumes, surtout d’orange. Équilibre: J’aime beaucoup, spécialement pour une première incursion chez Benromach, je veux y retourner. Dans la catégorie “porto”, on préfère le Glenmorangie Quinta Ruban, mais le Origins Port Pipes se défend tout de même exceptionnellement bien.