58.4% alc./vol.
Distilleé 24-01-1997, Fût #97-1042, bouteille 112 de 342
André 89.5%
Nez crémeux, bonne présence de céréales, nez de sherry, fruité, jumelé du boisé du fût. Fort, puissant et affirmé en bouche, tout en étant soyeux et crémeux malgré le travail asséchant du fût de chêne. Avec le temps, l’évaporation de l’alcool permet à certaines notes de fruits tropicaux d’apparaitre; jus de fruits en conserve, sucre. Ces mêmes arômes s’étirent interminablement en finale surfant sur la vague d’alcool passablement relevée. À goûter cet embouteillage provenant des débuts de la distillerie, on ne peut nier que celle-ci était d’ores et déjà promise à un avenir prometteur.
Eli 89%
(OMG ! Le bouchon a cassé sous mes yeux et a doucement glissé pour finir dans le dit breuvage. Mettons le blâme sur le fait qu’il s’agissait des premières éditions. Faut agir rapidement. Pour votre information, lorsque les bouchons cassent ou se ramassent dans le fond de votre scotch, on doit quand même s’en occuper. On essaie de retirer les débris. Ou le mettre dans une bouteille. Ou verser dans un tamis et reverser dans la bouteille. En fait, on se retrouve avec un corps étranger dans le scotch et ça peut altérer le goût si ca reste trop longtemps à flotter. ) Au nez, c’est super intéressant. C’est assez fruité et on a une qui est sensiblement sucrée. On perçoit les agrumes, le ABV est aussi au nez. C’est très doux en bouche, mais je m’entendais à plus étant donné l’odeur initial qui était superbe. Les 3 et 4e gorgées sont beaucoup mieux. Ça se balance. Un fruit, une nectarine peut-être ou une pêche. Quelque chose de fibreux reste en bouche. C’est un peu agaçant. L’aftertaste apporte son lot de vanille, mais ça ne contre-balance pas le reste. Quoique ce soit un bon scotch, on peut même percevoir l’absence de maturité. Pas dans l’âge je parle, plus dans l’ensemble du goût. 5 mins de repos et bonsoir les peanuts. Miam !