44% alc./vol.
André 81.5%
Le maïs est à l’honneur au nez, crémeux et sucré avec une touche de poivre. Les fruits rouges et la cerise noire apparaissent après quelques temps mais ne sont pas nécessairement évidentes dès les premiers instants dans le verre. En bouche, le whisky offre une force inattendue et les épices et le poivre donnent un boost étonnant à la bouche douce et sucrée apportée par le maïs. Les saveurs sont très génériques et n’offrent pas grandes surprises (cerises, fruits sauvages, pommes rouges, poivre, épices). La finale ramène la douceur des céréales au tapis, le maïs est sucré et bien balancé avec les épices et le poivre. Légère sensation de cire sur une pomme rouge en toute finale de bouche. Cela me rappelle aussi les saveurs de tubes en cire avec du jus de fruits artificiel dedans (ne me demandez pas le nom de ça..) Rien de nouveau et d’exotique, rien de singulier, juste du bon bourbon représentatif.
Martin 84%
Nez: Maïs, poivre et gomme balloune. Bois, foin et touche de cerise. On est ici bel et bien dans le territoire du bourbon classique. Vanille aussi. Bouche: Poivre, vanille maïs et bois sec sec sec. Les épices du taux d’alcool sont assez acérées, mais ça se prend tout de même bien. Rien de trop maladroit à date. Finale: Assez douce comparé à l’expérience en bouche. Cannelle, poivre, cerise, bois, maïs et lointaine vanille. Équilibre: Comme on dit, un solide bourbon classique, mais qui s’empêche de réinventer la roue. Ceci dit, assis sur une terrasse à Austin, TX, je ne me ferais pas prier pour en savourer un dram.