46% alc./vol.
André 83%
Crème Chantilly et vanille. Tarte aux pommes vertes, citron. Pétillant et belle fraicheur au nez, très délicat. En bouche; fond de céréales et de vanille accompagné d’un côté pétillant très agréable. Le plus bizarre, c’est la finale salée, laissant une couche rugueuse sur les dents et les gencives. Cela étonne, surtout en opposition avec les éléments livrés au nez. The Gentle Dram, avec un brin d’audace.
Patrick 83%
Au nez, notes surprenantes de sel, avec un chêne humide. En bouche, une belle chaleur provenant d’un chêne mielleux, mais toutefois avec une touche brûlée. La finale sucrée s’étire sur une note brûlée. Pas de fautes dans ce whisky, mais rien pour me faire dire « wow ». En effet, bof.
RV 84%
Surtypé, bon représentant d’un whisky aux limites de l’authentique. Lait au cerise et au grain, quoique volatile le sherry est impossible à ignorer. En bouche habillement la cerise s’étend sur un lit de céréales au miel. L’aftertaste est un peu moins agile, aux allures de baril un peu trop brûlé, en concluant avec force un whisky un peu trop typé mais facile d’approche.
Eli 84%
Il y une certaine fraicheur estivale au nez. Une cerise rouge très présente – un vin de porto évident. Au goût, j’aime bien, belle rondeur. La recette n’est pas nouvelle, mais je ne crois que ça augure bien quand même. La finale est poivrée. Un poivre rouge plutôt sec. Son enrobage est rassurant. Je perçois une petite pointe de menthe discrète au tout début et ça rend le tout intéressant. La menthe, c’est généralement assez gagnant chez les dames, ça devrait l’être aussi chez les monsieurs – ça pourrait leur faire du bien. C’est doux, un tentinet crémeux, plutôt soyeux. Milky and shinny.