45.5% alc./vol.
Batch #302.
André 86.5%
Canne à sucre, vanille, caramel, bonbon sugar candy, rye, cerises. Nez super agréable, simple et sans prétention, cozy. Texture amoureuse en bouche, mais un peu plus épicée (rye ?) même si il s’amourache de saveurs de sucre à pâtisserie et de gingembre, de poivre et de cannelle. La finale déçoit de par son manque de singularité et de structure et manque un peu de finition. Une belle surprise qui prend fin un peu trop abruptement.
RV 82.6%
Auto-tanponneuse: loisir de grands pour petits. La douceur de la barbe à papa, davantage fête foraine que sport extrême. En bouche, le jus de pomme un aigre s’étire jusqu’à la finale où je ne croirais pas avoir à faire avec un bourbon, mais un whisky au milieu de l’Atlantique entre le Canada et l’Écosse.
Patrick 92%
Nez: Sublime mélange d’épices de rye et de bourbon confirmant ce qui est écrit sur la bouteille! On y retrouve aussi des notes de chêne et de cuir, l’ensemble étant chaleureux et réconfortant. Bouche : Magnifique ensemble d’épices, de cuir, de cerise, de caramel légèrement brûlé et de chêne. Finale : Longue, épicée et chaleureuse. Balance : Mon whisky américain favori en 2013. Quelle complexité, quel équilibre! J’en ai bu 2 bouteilles rapidement et si il était disponible au Québec, il s’agirait de mon dram de tous les jours.
Martin 87%
Couleur riche et cuivrée tel un porto, ça revient souvent. Nez: Peu vanillé, le chêne et le seigle semblent prendre le dessus sur le maïs. Une infime touche de cuir et de menthe l’arrondit un peu et lui confère un aspect plus travaillé. Bouche: Vanille épicée, cannelle et caramel. Après menthe poivrée et fût de chêne, tel l’Ouroboros on revient sur du caramel, légèrement salé cette fois-ci. Finale: Les épices s’étirent peu mais sont plutôt intenses par rapport à la durée de la finale. Comme quoi chaque fois qu’une lumière brûle deux fois plus, elle brille deux fois moins longtemps. Et vous avez brûlé on ne peut plus brillamment, Roy. Équilibre: Un heureux accident. La preuve que bien que les bourbons en général sont bons, il ne faut pas hésiter à parfois faire des mélanges audacieux.