52.4% alc./vol.
Vieilli en refill American Oak casks, édition limitée de 2700 bouteilles seulement.
André 84%
Agrumes et gingembre, très influencé par le bois un peu verdâtre, herbe verte mouillée, un peu franc au nez, ormis pour les odeurs de vanille crémeuse. En bouche, les céréales et les agrumes, la pomme verte, la texture est huileuse mais l’ensemble est un peu robuste et épicé; poivre noir, menthe verte & eucalyptus, miel, vanille, agrumes, poires. Jumelé avec l’alcool, le poivre aiguise la finale, le whisky est puissant et astrigent. Finale de raisins verts, agrumes, céréales au miel se drapant de poivre, gingembre et d’épices. Point fort; texture, points faibles; astringence et trop franc en bouche.
Patrick 92%
Ce scotch m’a offert une superbe expérience de dégustation : l’évolution des saveurs tout au long de la dégustation saurait satisfaire le plus blasé des amateurs de whisky. Son seul défaut est d’être si rare! Nez: Parfum de pommes vertes et d’agrumes, d’orge et de chêne subtil. Bouche : Ooooooh. C’est de l’excellent whisky ça messieurs-dames. De l’orge, du bois, de la vanille sucrée, du caramel, un peu de bois fumé et épicé… Complexe et savoureux. Finale: Très longue, s’étire sur de délicieuses notes boisées et épicées.
Martin 84%
Nez: Gingembre mariné et céréales. On s’attendrait à un plus grand potluck venant d’un malt de cet âge. Pomme croquante, butterscotch et vanille. Touche de crème anglaise. Plus on le laisse respirer, plus je regrette mon commentaire précédent sur son côté ennuyeux. Légère pointe de bois et de poivre blanc. Bouche: Fruits blancs, agrumes, bois, menthe, herbe et raisins verts croquants. Moins de tannins et plus de fumée augmenterait l’expérience, qui jusqu’ici m’épate moins qu’anticipé. Finale: Poivre, miel et chêne. La texture semble vouloir s’essouffler un peu à cette étape. Agrumes et quelques fruits tropicaux ne sont pas assez pour ramener la coupe à la maison. Équilibre: Très affirmé pour un whisky de cet âge qui devrait normalement être bien plus suave et subtil. Je ne déteste pas cependant certaines notes plus vertes ou blanches disons, mais à l’aveugle je me serais perdu dans le champ.