40% alc./vol.
André 81%
Nez de fruits (pommes) s’accompagnant de vanille et de notes boisées. C’est très approchable et il laisse planer une douceur fruitée agréable. En bouche, les bananes et les fruits secs avec une épice asséchante. Je n’aime pas l’effet que cela donne en bouche, on dirait qu’il y a un déséquilibre dans l’ensemble, apportée par les épices. De plus la texture (quelle texture ?) en bouche est vraiment ordinaire. La finale est sur des notes d’épices et de bois sec. Pour le prix, une autre déception irlandaise et la beauté du décanter est le seul souvenir que l’on en gardera. Une fille avec un cul d’enfer mais sans aucune personnalité (pis oui la personnalité c’est important).
Patrick 88%
Au nez, sucre et biscuits d’avoine. Notes florales… En fait, fleurs poussiéreuse. Texture en bouche très douce, très velouté, féminin en fait. Très mielleux. Sucre d’orge. Orge tout court aussi. Un whisky dessert. La finale s’étire sur l’orge et le miel.
Martin 87.5%
Nez: Caramel, beurre, caramel, biscuits, caramel, vanille, caramel, sucre d’érable en forme de petites feuilles d’érable. Suivi de pain d’épice bien sûr. Je ne sais pas trop, on dirait que tous les whiskies irlandais me font penser à Noël. Ça me gonfle parce qu’on est juste en février. En se remettant le nez dedans une autre fois, l’érable se fait beaucoup plus prononçé. Finalement c’est pas si pire, le temps des sucres s’en vient… Bouche: Citron et autres agrumes en puissance. J’avoue que je ne m’y attendais pas du tout. Mais tout de suite après, tout le sucré décelé au nez déboule telle une avalanche qui ne veut pas se faire attendre. Finale: Longueur moyenne, juste assez vanillée et épicée. Représentative de la triple distillation typique des whiskies irlandais. Équilibre: Extrêmement bien balancé. Un beau voyage. Un cachet très cossu et un emballage sexy avec la petite pièce d’or qui pendouille au goulot…