Jim Beam Double Oak

43% alc./vol.
La septième génération de master distiller a créé une nouvelle expression non pas vieillie en un, mais 2 fûts. Comme tous les autres bourbons, Jim Beam Double Oak est vieilli dans un fût de chêne neuf toasté, puis il est transféré, pour une seconde maturation dans un nouveau fût de chêne neuf toasté.

André 88%
Typique dans le style; grosses cerises sauvages et réglisse rouge, poivre concassé et un bon taux de sucre rendant le whisky bien rond et dodu au nez. Invitant et simple. La bouche est puissante pour un whisky à 43%, grosses notes de réglisse rouge et de pelure de pommes, cerises noires et chocolat, beaucoup de poivre et d’épices en background, belles notes de cannelle, de poivre moulu et de charbon de bois vraiment brûlé. Wow, ça se boit très bien ce bourbon… Longue finale, un peu trop edgy qui coupe les saveurs de fruits et de vanille. Pour 35$, personne ne regrettera son investissement. Un bon bourbon pour le coin du feu cet été. Buy!

Patrick 88%
Ce qui m’a étonné ici, c’est le sucre qui balance admirablement bien le chêne et les épices. Bref, un très bon whiskey intense et savoureux, mais surtout un excellent rapport qualité prix. Nez : Parfum sucré, dominé sans surprise par des notes chêne, avec un peu d’épices, de cerises et de vanille. Appétissant! Bouche : Sucre d’orge, chêne épicé et légèrement brûlé, avec une touche de cerise. Finale : D’une belle longueur, sucrée, boisée et épicée.

Jim Beam Jacob’s Ghost

40% alc./vol.

RV 76.5%
Après savoir-faire, une mauvaise traduction de nouveau faire. Œuf à la coque légèrement vinaigré, on se sent loin du champs. Très vinaigré, il n’y a pas à dire, et disons un peu de poussière kentuckyienne. En bouche, le grain se présente, mais toujours trempé dans le grain. La finale s’amorce bien… mais on retourne le vinaigre. Dommage, venant d’une des distilleries majeures, je m’attendais à un produit beaucoup plus maitrisé, mais celui-ci échoue davantage que réussit.

Patrick 79%
Nez: Caché par les fortes effluves d’alcool, on détecte quelques notes de cerise, de maïs et de chêne. Mais ça reste subtil. Bouche : Assez sucré, marqué par le maïs et quelques notes boisées. Finale : Courte et sucrée. Balance : Un bon produit (j’ai de la misère à appeler ça un whiskey), mais qui devrait définitivement être utilisé uniquement en cocktail, car seul, à la température pièce, j’ai bien de la misère à y trouver du plaisir.

Jim Beam Red Stag

40% alc./vol.

André
Cerises au carré !!! …Tant au nez qu’au goût. Un exercice sur la non-subtilité des fruits. Ok pour un one night mais pas la bouteille que tu gardes pour toutes les occasions. À utiliser comme coulis pour les gâteaux ou, comme dirait Borat, comme « pussy magnet ». La note: difficile à coter, plus un freak show dans la section bourbons..

RV 72.5%
Cerise et canne de noual avec backwiff de sirop pour enfants aux cerises. L’attaque du sirop est beaucoup trop forte, et donne envie de faire la même face que lorsque mes parents m’obligeait à en prendre. En 50ml et à 1.50$, j’ai pas trop l’impression de mettre fait avoir, mais un 750ml, c’est 700 ml de trop.

Patrick
Cerises. Ou plutôt bonbon aux cerises. En fait, le nez sent la même chose qu’un concentré liquide de bonbon aux cerises. Au goût, on semble avoir mis un peu d’alcool dans le bonbon aux cerises. Définitivement trop sucré à mon goût, mais saura plaire à celles qui ont la dent sucrée et qui n’aiment pas nécessairement le whisky. Doit être délicieux avec un dessert. A ne pas conserver avec vos bourbons, mais plutôt avec les desserts ou dans votre arsenal de séduction pour elle. Hors catégories, trop sucré seul, mais excellent avec un cocktail ou un dessert.

Jim Beam Repeal Batch

43% alc./vol.

André 87%
Petits fruits rouges sauvages roulés dans le poivre, crème vanillée onctueuse, toffee, cerises noires, cannelle, caramel. Texture ronde et onctueuse en bouche, presque huileuse, avec des notes de panier de fruits rouges, de cerises et de pommes sur lequel on a versé un coulis de caramel fondu et une pincée de poivre et de cannelle. La finale offre des notes de bois carbonisé et de bonnes épices, des fruits secs. Bonus de points pour le prix ridicule pour un bourbon très honnête.

Patrick 90%
Ça faisait peut-être trop longtemps que je n’avais pas goûté à un Jim Beam. J’avais oublié à quel point ça pouvait être bon. Nez : Oh, ça sent le bon Jim Beam ça! Du beau maïs sucré, des cerises et une touche de bois brûlé. Bouche : Du beau bois brûlé, quelques épices, des cerises sucrées et une touche de maïs. Finale : D’une belle longueur, du sucre et les fameuses cerises de Jim Beam.

Jim Beam Rye

40% alc./vol.

RV 81.5%
Cuirette et vinyle surchauffé ainsi qu’abricots séchés. L’arrivée est plutôt tranquille mais révèle une belle surprise lorsqu’on l’avale, avec un punch de rye et de dates. La finale revient un peu platitudement au rye et sa longueur est presque déficiente. Probablement tout indiqué pour les cocktails, et straight il se boit encore mieux que son frère blanc de recette traditionnel.

Jim Beam Rye Pre-Prohibition Style

45% alc./vol.

André 82%
Attaque de rye au nez, c’est jeune et pointu comme présentation, fruits rouges, clou de girofle, gingembre et poivre moulu, terreux et très direct sur le seigle. La bouche est cireuse et très poivrée, très épicée aussi, la texture au départ douce et caramélisée recouvre au départ la langue et le palais et fait barrière à l’arrivée soudaine et puissante du seigle épicé et poivré. Sensation cireuse, bonbons en forme de poisson rouge et blancs, céréales concassées ainsi qu’une dualité épicée et sucrée. Belle amalgame de caramel, de vanille et de sucre brun. Le whisky gagne définitivement à respirer… Finale épicée et poivrée, tranchée malgré la texture légèrement cireuse. Une belle approche sur le style mais les saveurs bien poivrées et épicées, jumelé à la sensation sèche en bouche déstabiliseront probablement quelques amateurs. Pour le prix, ce whisky est honnête mais encore faut-il que vous aimiez le style.

Patrick 86%
Un bon rye qui offre un excellent rapport qualité/prix, et qui n’est donc pas disponible au Québec par le fait même. Nez : Délicieux parfum qui est représentatif de ce que j’aime dans un rye. De belles épices, ainsi qu’un peu de chêne et de vanille. Bouche : Ici, les épices explosent avec des éclats de bois en flammes! Le tout est complété par de belles notes de céréales. Finale : Longue et savoureuse, comme on les aime.

Jim Beam Single Barrel #4.612

47.5% alc./vol.
Fût 4.612, embouteillé le 28 mai 2014.

Patrick 89%
J’ai toujours été fan des bourbons de Jim Beam, et ici, Jim est à son meilleur! Nez : Maïs sucré, fruité, épicé et surtout marqué par le chêne brûlé. Bouche : Belle arrivée chaleureuse et épicée, avec évidemment par le chêne brûlé et quelques cerises. Aussi des touches de cassonade et d’épices à steak. Le maïs et le seigle s’expriment définitivement bien dans cette expression. Finale : Longue, savoureuse et épicée.

Jim Beam Single Barrel #JB6354

47.5% alc./vol.

André 85%
Cerises noires, chandelle de cire, rye épicé et fruité, cannelle, caramel, barbe à papa, fruits secs. L’effet du maïs est bien ressenti au nez, qui est onctueux et sucré. La bouche est plus musclée et épicée; beaucoup de cannelle, de poivre broyé, saveurs de bois carbonisé, cerises et fruits sauvages, oranges, vanille et sucre. La finale est moyenne-longue, poivrée et épicée. On a droit ici à un bourbon honnête, offrant un taux d’alcool appréciable, saveurs dans la ligne directrice sans trop s’éloigner du style. Les amateurs de JB seront heureux, les amateurs de whisky aussi mais les grands amateurs le trouveront peut-être un peu trop ‘’corporate’’ dans l’approche et le style.

Patrick 86%
Un bourbon, voire un Jim Beam tout ce qu’il y a de plus typique. Bref, pour ceux qui aiment Jim Beam. Nez : Fruité, un peu de chêne et sucré avec un mélange de sucre brun et de cassonade. Vraiment appétissant! Bouche : Délicieux, sucré, fruité, le tout complété par une belle dose d’épices venant autant du seigle que du bois brûlé du fût.

Jim Beam White Label

40% alc./vol.
Marque phare de la distillerie dont il porte le nom. 4 ans de vieillissement.

André 81%
Très volatile au nez. Fruits confits, cire & réglisse rouge. Y’a un hic en finale, un cireux , comme si nous étions à Expo Québec et que la pomme de tire avait été mal lavée avant d’être trempée dans le mélange. La finale gâche malheureusement le plaisir.

RV 78%
Cendreux, vert mais aussi ennuyant que la visite à la distillerie. La platitude se poursuit en bouche mais mis a part un faible kick en finale, trop anodin. Kid Rock a beau vanter ses mérites dans Early Morning Stoned Pimp, ce n’est vraiment pas un American Badass Bourbon.

Patrick 80%
Légeeeeeer!!! A moins que ce soit fugitif, fugace ou passager… Cassonade épicée et très fruitée. Quand même bon, en fait le meilleur bourbon pour les cocktails, ce qui explique sûrement son succès commercial. Idéal pour vos drinks estivaux favoris, à commencer par le Mohito au bourbon. Mélangé, la note que vos invités vous donneront ne dépendra que de vos talents.

Martin 73%
Belle étendue de couleurs entre l’ambre riche et le caramel pâle, tonalités classiques de bourbon. Nez: Une fois les premiers vents d’éthanol et de carton mouillé apprivoisés, on parvient tranquillement à se délecter sur des douces notes de vanille, de cerise et de Nutella. Un nez de bourbon assez classique, sans surprise et sans ambition. Bouche: Doux et léger, relativement ample et sirupeux. La cerise et la vanille tentent une remontée, mais beaucoup trop pusillanime. Finale: D’une longueur raisonnable avec une touche de chêne typique d’un bourbon, toutefois plus timide. Équilibre: Ma première impression est que ça reste un bon mixer. Mais bon, c’est quand même un whisky appréciable, même s’il aurait tiré profit d’un coup de pied au cul de l’ordre de 3 à 5% sur son degré d’alcool. D’un autre côté, l’avocat du diable dit que pour le prix qu’il en coûte, on serait mal placés pour se plaindre…

Jim Beam White Label (2010)

40% alc./vol.

André 87%
Tout aussi typique que Jim Bram peut le faire; avalanche de petits fruits rouges, cannelle et réglisse rouge, fût brûlé, oranges, vanille, miel. Beaucoup d’influences du maïs en bouche, onctuosité intéressante, beau taux de sucre qui calme les épices, on dévine aussi le charred du fût avec les notes de bois carbonisé en background, vanille crémeuse, une touche d’épices tirées du seigle aussi. Avec le temps, la texture devient plus cireuse même si hyper fruitée. Finale de bonne longueur, poussée par les vagues épicées du rye un peu terreux.